60. Louis Vuitton

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C'étais comme un putain de shoot d'adrénaline, mais sa ne me déplaît pas c'est plutôt agréable.

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-une simple griffure peux en faire saigner une autres.

PDV Dario:

Mon esprit était embrouillé depuis hier la lettre et les photos, sa allais de plus en plus loins au fond ça me faisait chier qu'elle ai à subir ça.

Ça me foutais la haine de s'avoir qu'il s'en prenais à quelqu'un que je portait dans mon coeur, j'avais envie de retrouver celui où celle qui aurais fait ça le torturer jusqu'à la mort. Lia je la connaissais mieux que personne même si elle ne s'avais que ce que je voulais lui dire a propos de moi ou d'elle, je s'avais que dès qu'elle a su qu'elle était plus asthmatique elle allais fumer des joint ou des cigarettes.

Mais je préfère qu'elle le fassent avec moi plutôt qu'avec un de ces gars complètement bourrer, j'espère juste qu'elle ne finira pas comme moi je m'en voudrais jusqu'à ma mort si elle deviens comme moi.

Que moi je nuit à ma santé je m'en fou mais qu'elle le fassent elle je m'en foutais pas. Je ne sais pas quelle sorcellerie elle ma lancer pour que je m'inquiète au temps d'elle, que rien que de la voir me faisait battre mon cœur à la chamade comme une grosse bouffer d'air frais.

C'étais comme un putain de shoot d'adrénaline, mais sa ne me déplaît pas c'est plutôt agréable.

Je rentre dans la salle de bain mouille mon visage d'eau froide l'essuie puis me regarde dans le reflet du miroir. J'avais tellement peur qu'il lui arrive quelque chose.

L'eau de la douche se coupe.

-passe moi une serviette s'il te plaît

Je lui tant tournant ma tête, elle sort de la douche enveloppée d'une serviette.

Des goutes d'eau défiler sur son corps qui fumer de la chaleur de l'eau qu'il quelque second contre sa peau nu.

Elle est parfaite.

-je vais me mettre en pyjama tu peux sortir..?

Je me tourne face à elle.

-et si je restait.

Je m'approche d'elle comme un prédateur prêt à attaquer ça proie.

-et si je te regarde te déshabiller juste devant moi.

Elle rester sans mot, j'aimais jouer avec elle c'était drôle de voir ça tête décomposer.

C'était mon plaisir personnel.

Son dos heurta le mur de la salle de bain le laissant le droit de me coller un peux plus à elle.

Sa main tiens la serviette pour être sur qu'elle ne tombe pas, j'approche mon visage du siens ma mains se baladant sur le haut de sa poitrine jusqu'à son coup.

J'enfuie ma tête dans son cou pour y poser des baisers.

Un léger gémissement sort de ça bouche me satisfaisant encore plus.

Entre les griffes de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant