Chapitre 45

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«Vas-y Lou, tu es crevé » me dit Max alors que je suis en train de nettoyer la dernière table de la taverne

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«Vas-y Lou, tu es crevé » me dit Max alors que je suis en train de nettoyer la dernière table de la taverne.

Pour être honnête, je ne suis pas fatigué seulement blessé depuis ce matin ce qui m'empêche de partager l'euphorie de toute la journée, si bien que je ne suis pas montée sur scène.

«Diane » m'appelle Max alors que je relève la tête vers lui «Rentre chez toi » m'ordonne mon ami alors que je lui souris directement.

Je pose mon torchon, je vais vers l'arrière et je prends ma cape et mon sac avant de revenir vers la salle.

«Bonne nuit » me dit Lizzie dans une brève accolade.

«Bonne nuit » dis-je.

«Rentre bien ma Lou » s'exclame Jo en embrassant mon front.

Je me dirige vers Max et il me prend dans ses bras alors que j'ai limite les larmes aux yeux.

«Au dodo ma loulou » dit-il alors que je souris.

Je leur souhaite bon courage et je sors dehors et comme toujours Charles m'attend juste devant.

Je souffle un bon coup avant de monter, heureusement que mes amis sont là.

Une fois la porte ouverte, je monte et je tombe sur Simon, le sourire aux lèvres alors que la rancune prend place en même temps que je m'assois face à lui.

Il referme la porte et Charles se met en route.

«Tu as passé une bonne journée » me demande-t-il.

«J'ai connu meilleur » dis-je en posant mes affaires à côtés de moi.

Je relève la tête vers lui tout en le fixant, il est l'heure de savoir.

Je ne perds pas une seconde de plus et je viens relever ma robe en m'asseyant sur lui tandis qu'un sourire en coin prend possession de son visage.

Mes mains se dirigent vers son pantalon que je déboutonne alors que ses lèvres partent explorer mon cou.

Je me lève légèrement et après m'être assuré qu'il était prêt, je m'empale sur lui tandis que je l'entends souffler de désir.

Je ne fais pas attention à ses caresses, à ses baisers, je suis focalisé sur une seule chose.
Je monte et je descends sur lui alors que ses mains passent dans mon dos pour me coller à lui.

«Je saurais venu te chercher tout les soirs si j'avais le droit à un accueil comme ça » dit-il alors que je baisse mon regard vers lui, le dominant de ma position et je me contente de seulement le regarder pas de lui répondre.

J'augmente la cadence et si dehors le temps est glaciale à l'intérieur de la voiture, le temps et à l'humidité et à la rancœur.

Ma respiration devient de plus en plus saccadée comme la sienne et si lui prend plaisir je le vois, moi je suis comme en mission.

Diane Bridgerton et le Duc de Hastings Où les histoires vivent. Découvrez maintenant