Diane, une jeune femme vivant loin de Londres et du monde de l'aristocratie travaillant dans une taverne avec ses amies rencontre un bel homme lors d'une soirée.
Le courant entre les deux passa très rapidement, mais cette dernière doit rentrer dans...
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Je descends en courant dans les escaliers avec Anthony en riant.
«Doucement Diane tu vas tomber »s'exclame ma mère.
«Mais non mère, je veux juste prouver à Anthony que je suis la plus forte » dis-je à mon grand-frère après être arrivé première en bas.
«J'ai gagné » dis-je en posant mes mains sur mes hanches comme signe de victoire.
«C'est parce que tu as des plus petites jambes, minus » dit-il en venant secouer mes cheveux.
«Je ne suis pas petite » dis-je.
«Tu as 11 ans, bien sûr que si tu es petite » dit-il alors que je le frappe.
«Aie » dit-il faussement blessé.
«Comment elle va ma déesse » s'exclame mon père alors que je viens lui dire bonjour en allant lui faire un câlin.
«Je vais bien, on y va père » dis-je.
«Doucement Diane, allons prendre des forces avant » dit-il en riant alors que nous prenons la direction de la salle à manger.
Je m'assois à côté de mon père et je me sers à manger sous son œil amusé.
«Doucement Diane » s'exclame ma mère en caressait son ventre.
«Mange correctement » dit mon père en riant «Nous partons d'ici trente minutes » dit-il.
«Tu crois que c'est une fille ou un garçon » je demande à ma mère.
«Je pense que c'est un garçon » dit-elle.
«Et moi une fille » lui dit mon père en lui souriant.
«Moi aussi je pense que c'est une fille » dis-je.
«Le jour où tu ne penseras pas comme papa toi » s'exclame Bénédict alors que je viens lui lancer un morceau de pain.
«Diane »s'exclame ma mère doucement alors que je glousse.
«Bonjour » s'exclame Daphné en déposant un baiser sur le joue de notre mère et de notre père.
Elle s'installe à mes côtés et se sert à manger.
«Par contre il va falloir vous séparer toutes les deux » s'exclame père «On vous entends jusqu'au bout de la maison parler la nuit ».
J'échange un regard complice avec ma jumelle alors que nous rions.
«C'était important » dis-je.
«Très important » s'exclame Daphné.
«C'est vrai que de parler des écureuils dans la forêt c'est très important » s'exclame Colin en riant ce qui fait rire tout le monde autour de la table sauf Daphné et moi.
«Ils sont bêtes » me dit-elle alors que je rigole.
«Bon y va » s'exclame Anthony en se levant alors que mon père en fait autant et je limite.
