𝐄𝐏𝐈𝐋𝐎𝐆𝐔𝐄

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dog days are over, florence + the machine

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dog days are over, florence + the machine. 

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𝐄𝐕𝐄𝐍𝐓𝐔𝐀𝐋𝐋𝐘, épilogue.
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𝐌𝐄𝐒 𝐌𝐄𝐑𝐄𝐒 𝐀𝐕𝐀𝐍𝐂𝐄𝐍𝐓 𝐏𝐈𝐄𝐃𝐒-𝐍𝐔𝐒 d'un pas décidé dans l'allée séparant les deux blocs de chaises, toutes occupées. En vérité, chaque invité a ôté ses chaussures avant de quitter le chapiteau de la réception, installé dans le jardin généreusement prêté par les Weasleys.

Elles avancent jusqu'à arriver face à l'autel de fortune, où patiente le seul prêtre ayant accepté de célébrer leur mariage. Dean et moi nous sommes postés près de l'homme de foi, faisant office de témoins.

Il fait un temps splendide. Le ciel de juillet est d'un bleu immaculé, dépourvu du moindre nuage. La plupart des invités ont relevé les manches de leurs chemises et de leurs robes, la chaleur de l'été rendant ces tenues insoutenables. L'assemblée est si colorée qu'on ne retrouve presque aucun des smokings noirs traditionnels, tel que l'avaient souhaité nos mères. Chacun des convives ont répondu présents à l'invitation, si bien que Mrs et Mr Weasley, eux aussi invités, avaient proposé d'utiliser leur immense terrain pour l'occasion. Nos mères étaient comblées de joie lorsqu'elles virent le jour-même des dizaines d'adolescents débarquer joyeusement, les couvrant de compliments sur leur tenue et de vœux de bonheur. Astoria, Lee, Seamus, Harry, Hermione, les Weasleys, ainsi que le reste de l'Armée de Dumbledore sont aujourd'hui réunis pour célébrer ce jour heureux.

Ce jour heureux, comme le dit si bien le prêtre lorsqu'il lie ma mère et celle de Dean par les liens sacrés du mariage. Les deux femmes se dirent oui avec des étoiles dans les yeux, sous les applaudissements joyeux des convives. A côté de moi, j'entends Dean respirer bruyamment, réprimant difficilement des larmes d'émotions. Quand je le remarque, je ne peux m'empêcher de lui donner un coup de coude en souriant : il fond immédiatement en larmes, débordant de joie.

« Venez-là ! Nous ordonne ma mère, ouvrant grand les bras. Ma fille, dit-elle en m'adressant un regard aimant, et mon fils. Officiellement, à présent ! »

Mary et ma mère nous prennent tous les deux dans leurs bras. Cette dernière se tourne alors vers l'assemblée et pointe le chapiteau du doigt, s'écriant joyeusement :

 « Et maintenant, place à la fête ! »

La foule de sorciers et sorcières en robes et smokings marchant pieds nus en direction de la tente, l'herbe verte caressant leur peau, est à la fois surréaliste et magnifique.

Sur la piste de danse, les mariées ouvrent le bal. Dans leurs longues robes blanches tombant jusqu'à leurs chevilles et leurs couronnes de fleurs aussi colorées que les vêtements des invités, elles rayonnent de bonheur. George enlève son gilet de smoking, relevant les manches de sa chemise, avant de m'inviter à danser. Les autres invités suivent notre exemple, impatients de bouger au rythme de la musique.

𝐄𝐕𝐄𝐍𝐓𝐔𝐀𝐋𝐋𝐘 (★) ⚊ g. weasleyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant