Marvin♡|| Vendu puis marié de force à lui: ma vie un enfer [bxb] [EN RÉÉCRITURE]

Chapitre 30

Salem,Salut,Hey,Bonjour,Oboussi ♡◇

Petite parenthèse, je trouve vraiment cette partie bâclé. J'avais beaucoup d'imagination mais par manque de temps, elle est comme ça. J'ai refait cette partie plusieurs fois mais breff. Je me suis pas relu, si y'a des fautes désolé mais pitié donnez vos avis. Bonne lecture, même si je pense vous aimeriez pas trop.

2 jours plus tard

PDV DE MARVIN 🎈 💫

Le bruit des pas m'ont réveillé, j'étais toujours dans la chambre de Zaïr mais il était plus à côté de moi. J'ai ouvert les yeux, et je l'ai vu entrain de choisir des vêtements. Je me suis levé, et je suis allé vers lui.

Moi: bonjour.

Il m'a pris dans ses bras, et m'a fait un bisous sur le front.

Zaïr: salem, bien dormi ?

Moi: moui.. tu pars où ?

Zaïr: j'ai beaucoup de choses à faire aujourd'hui.

Moi: oui, mais tu pars où ?

Zaïr: prendre des trucs, t'es pas obligé de savoir.

Ça sent les affaires de drogue.

Moi: je veux pas partir.

Zaïr: on en a déjà parlé, tu le sais.

Moi: oui mais-

Il m'a coupé en m'embrassant

Zaïr: je dois partir, on parle après.

Moi: mais- on peut pas reporté ?

Zaïr: non et commence pas, on pars et c'est tout. À 12h je reviens et on va prendre les enfants.

Il s'était détaché de moi.

Moi: humm. Mais, je veux pas-

Zaïr: *en me coupant* j'ai l'impression que tu comprends qu'avec la violence.

Il est sorti bien nerveux. Je suis descendu, et il était dans la cuisine.

Moi: Zaïr ?

Zaïr: dégage de là.

J'ai couru, et j'ai sauté sur son dos.

Zaïr: J'aime pas, tu cherches trop la merde pour rien.

Je suis descendu de son dos.

Zaïr: on en a parlé pourtant, t'as dit que t'étais d'accord et maintenant tu changes d'avis. Fait des efforts merde !

Moi: mais, j'en fais.

Zaïr: lesquels ?! Lesquels ?! JE PRENDS SUR MOI POUR PAS M'ÉNERVER ET TOI TU PASSES TON TEMPS À VOULOIR ME FAIRE CHIER.

Moi: MAIS COMPRENDS QUE TU PEUX PAS DECIDER À MA PLACE.

Zaïr: CRIE PAS SUR MOI. T'AVAIS QU'À- EH TU SAIS QUOI ?! TON AVIS OU PAS TU FERAS CE VOYAGE ET PUIS MERDE.

Moi: je-

Zaïr: *en me coupant* TA GUEULE, LA FERME. MAINTENANT DEGAGE D'ICI.

Il m'a poussé tellement fort que je me suis projeté au salon. J'étais par terre donc je me suis relevé, et je suis allé dans ma chambre.

J'ai pris des vêtements, et je me suis douché. Sous la douche, j'ai commencé à réfléchir, je veux pas partir, je peux pas tout quitter comme ça. Mais, Brefff. J'avais opté pour un jogging vert, et un t-shirt blanc, mes cheveux était lâché donc tranquille.