𝐀𝐦𝐚𝐫𝐢𝐞 𝐓𝐎𝐌𝐄 𝟑

𝐈𝐬𝐞𝐧𝐠𝐚𝐫𝐝

Langage commun, Langage elfique (sindarin)

~ Je remercie @Dadatologue pour avoir accepté de me prêter une réplique.

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Nous avançons doucement mais sûrement en direction de l'Isengard. Je souris, repensant à notre petite course avec l'elfe sylvain un peu plus tôt. Nous nous sommes poursuivit sur plusieurs kilomètres, avant de déterminer une arrivée mais l'elfe a déclaré forfait avant celle-ci. Je revois mon che al narguent presque le prince. Il s'en remettra. Je ris toute seule, avant se gratter l'encolure de mon étalon qui hennit, semblant comprendre mes pensées.

Je regarde mes compagnons, ayant une vue sur tous comme je ferme la marche. Le mage en tête du groupe semble septique et perdu dans ses pensées, comme à son habitude. Aragorn et Theoden à ses côtés ne disent rien, pensant sûrement à bon nolbre de choses. Juste derrière, les deux soldats du roi ne semblent pas particulièrement a l'aise à côté du nain qui leur parle de temps à autres. Varhiendil et Legolas qui viennent ensuite restent concentrés, ne disant rien, chevauchant simplement côte à côte. Finrod qui les rejoint en fait de même. Pour ma part, j'écoute attentivement le récit d'Eomer qui est à côté de moi, du moment où Ganfalf est venu demander leur aide. Je souris en m'imaginant ce qu'il me conte.

Moi - Je suis heureuse en tout cas, que Gandalf vous ait trouvé. Nous ne serions plus là sans votre aide précieuse.

Il me sourit gentiment avant de répondre.

Eomer - Nous serons toujours là pour défendre nos terres. Quoi qu'il en coûte.

Moi - Bonne réponse.

Il rit légèrement, tandis que je me reconcentre sur notre route. Quelques heures plus tard, la grande tout noire d'Isengard se dresse à l'horizon (voir média). Je la fixe avec haine, déglutissant difficilement. Nous sortons finalement de la forêt et j'observe avec étonnement et satisfaction la couche d'eau qui entoure la tour. Je tourne la tête vers ma droite pour découvrir que le barrage qui s'y trouvait autrefois n'est plus, et je comprends au vue de snolbreuses fumées qui sortent su sol, que toures les machines ennemies ont été détruites. Je m'adresse au mage, le regard toujours fixé sur l'endroit inondé.

Moi - Ils ont donc fait sauter le barrage.

Gandalf - C'était la meilleure solution.

Bien que je ne regarde pas mes compagnons, je sens leur regard appuyé, ne comprenant pas de quoi, ou plutôt de qui nous parlons. Nous nous avançons entre les ruines et les troncs d'arbres couchés, esquivant tous les obstacles. Je sens que Maeg peine quelques fois à avancer au sein de ces ruines enfouies sous l'eau qui m'arrive aux chevilles, et donc juste en dessous de flan de mon étalon. Alors que j'aide mon cheval à se dégager de la vase, des voix et des rires enfantins se font entendre non loin de nous. Au détour d'un ancien rempart, nous découvrons deux jeunes hobbits, un assis l'autre debout, en train de fumer leur pipe en observant ces décombres. Ils écartent les bras en nous voyant et se lèvent en vacillant un peu. Un grand sourire prend place sur mes lèvres face à nos disparus retrouvés.

Merry - Mes Seigneurs, ma Dame, bienvenue en Isengard !

Gimli - Oh jeunes coquins ! Une belle chasse dans laquelle vous nous avez entraînés, et on vous retrouve à festoyer et... à fumer !

Le nain s'indigne avant d'éclater de rire, apportant un sourire sur nos visages à tous. Même Maeg hennit, heureux de retrouver nos petits camarades.

Pipin - Nous sommes assis sur les champs de la victoire, et savourons quelques réconforts bien gagnés. Le porc salé est particulièrement savoureux.