TW DÉCONSEILLÉ AU PERSONNES SENSIBLES
Elvys
Une semaine viens de passé, sept jours que je n'ai pas vu Violette depuis cette soirée, elle n'est pas revenu au restaurant une seule fois, bien sûr j'en suis très réjoui au moins elle me casse plus les oreilles mais Léo la réclame et qu'est qu'il est chiant, c'est à se demander si il est pas amoureux d'elle.
Même lors de la cérémonie elle n'est pas venu, certes près de la moitié du personnel étaient absents mais ils sont là depuis un certains temps, Violette n'a pas pris le temps de venir, quoi que ce n'est pas mon problème, mais sérieusement je vais devoir travailler avec quelqu'un qui n'a aucun respect pour le travail de nos patrons.
Alors que je rentre dans la salle de réception du restaurant après être passé au vestiaire pour me vêtir de mon costume habituel, une fois la porte ouverte je tombe sur ma patronne qui prend un café l'air rêveuse.
Alors que j'entre dans la pièce, je sens son regard, alors je m'assois en face d'elle et lui offre mon sourire le plus charmeur que j'ai, alors qu'elle pouffe de rire elle pose sa tasse.
- Hijo, que ce passe-t-il ses derniers jours tu as l'air énervé envers quelqu'un ?
- Oh Marina ne t'inquiète pas.
- Elvys tu es comme notre fils ici, alors parle moi mets de côté le fait que je sois ta patronne l'espace d'un instant.
Je pose mes coude sur la table et soupire, je balance ma tête en arrière avant d'ajouter.
- C'est une fille qui te met dans cet état là pas vrai ?
- Hm, en quelque sorte oui.
- Oh alors qu'à donc fais Violette ?
Choqué j'écarquille les yeux, comment peut t'elle savoir je n'ai même pas prononcé son nom.
- Tes yeux parlent mon grand, dis moi tout.
Plongeant ses yeux bruns dans les miens je vois que ses iris brillent d'impatience, les vieilles femmes et les ragots je vous jure.
- Sa me rend juste fou, le fait qu'elle ne sois pas venu lors de la cérémonie après tout votre travaille, elle n'a même pas essayé de parler à quelqu'un, elle n'a pas chercher à en savoir plus pendant son temps de repos.
- Elvys—
- Elle est complètement têtue, c'est pas parce qu'on ne s'aiment pas qu'elle doit le faire payer au autres.
- Tu es trop dur avec elle, laisse lui du temps c'est encore tôt, fais toi une image d'elle avec le travail pas en fonction de vos conflit personnel.
- Tu as raison Marina.
Alors que je me lève, je me dirige vers la porte.
- Ne mets pas de côté tes sentiments je ne sais pas ce qu'il s'est passé mais sa vous détruiras tout les deux dans le futur.
Violette
Des légumes, c'est clairement ce qu'il me manque depuis une semaine, j'ai littéralement commandé uber eats midi et soir, alors les fast food j'en ai ras le pompon.
Je ne suis même pas sortit de ma chambre depuis cette soirée ou je suis allée au restaurant, même pour la cérémonie je n'y suis pas allée, j'étais trop préoccupée à repenser à ce qu'Elvys m'avait dit ce soir la,
« t'as vue Mya avant ton accident t'es conne ou tu le fais exprès. »Le fait qu'il soit si grossier avec moi me blesse, mais le fait qu'il dise se prénom avec lequel j'ai fait de nombreux cauchemars me fais encore plus mal, comment a t'il le droit de connaître ce prénom alors que moi même je ne le connais pas ?
Il va falloir que je réfléchisse à un moyen pour retrouver tout mes souvenirs de cette soirée, certes j'en ai retrouvé mais pas tous.
Je regarde mon téléphone qui affiche l'heure de 11h12, l'heure du déjeuner approche et mon envie de légumes grandit, facile à deviner vu le boucan que fais mon ventre.
Je sors de ma chambre, vêtue seulement d'une serviette, je rentre dans les couloirs et me dirige vers les douches communes une fois à l'intérieur, lorsque l'eau coule une bonne dizaine de minutes je l'éteindre et me savonne, une fois terminée j'éteins complètement l'eau.
Alors que je m'apprête à prendre mes affaires, je me rend compte alors que j'ai complètement oubliée mes affaires sur mon lit, putain mais où ai-je la tête ?
J'enfile ma serviette autours de la taille et sors de la salle de bain, alors que quelque garçons sont présents ici, ils me scrutent de haut en bas, j'ai l'impression d'être un bout de viande à coter d'animaux sauvages.
Alors que je commence à avancer tout droit vers la sortie je sens leurs regards persistants sur mon corps, ils doivent être cinq ou six je ne sais pas, alors que je réfléchis l'un d'eux se dresse en face de moi.
- Ma jolie, tu sais que c'est l'étage des hommes ici.
Non ce n'est pas une question j'en suis certaine, son regard n'est pas bienveillant et éveille en moi la chair de poule, j'entends des pas se rapprocher de moi alors me voilà maintenant encerclé par cinq garçons qui me dévorent du regard, non pitié.
- Tu sais qu'il n'y a personne d'autres que nous ici ma belle, dit l'un d'eux.
- T'es sûrement une salope pour t'aventurer ici, me dit un autre.
- Ou tu aimes carrément juste sa s'exprime le garçon en face de moi.
- Non laissez moi partir je veux juste allez manger.
Un de ceux qui se trouver derrière moi m'attrape par la nuque et me plaque violemment sur le mur, un cri de douleur s'échappe d'entre mes lèvres
- Tu as cinq hommes ma belle ton repas est servis
Encore une autre tête s'avance vers moi, je sens sa respiration contre la mienne, mon cœur manque de louper un battement lorsqu'il m'embrasse fougueusement mon cou tout en carrossant ma cuisse, j'essaye de me débattre mais rien n'y fais.
On me rattrape par mes poignet pour essayer d'arrêter mes gestes, alors j'essaye de les mordre, j'essaye de crier malgré les larmes qui coulent sur mes joues.
- Laissez moi, les suppliait je entre deux sanglots.
Alors que je sens plusieurs mains parcourir mon corp sur le dessus de mes vêtements j'en sens certaines qui commencent à allez vers mon entre jambe, j'ai peur, personne n'est la personne ne peux me sauver.
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Mens moi dans les yeux
RomanceLe mensonge prend l'ascenseur, la vérité elle prend l'escalier mais elle arrive toujours à destination