Partie 42

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Le lendemain au réveil, nous étions en train de faire la prière, j'avais de la peine à faire la génuflexion. J'ai toujours mal à l'entre jambe.

Au dernier rakat, je m'assis sur le tapis... Khalil plia son tapis, il me regarde, je reflechisa à comment faire pour que cette douleur s'en aille.

Il me contourna et me souleva sans que je ne m'y attende. Je lui donne des coups, il se mit à rigoler.

Zara: tu es fière de toi ?

Khalil : très fière

Zara: j'ai toujours mal, quant est-ce que cela va s'arrêter ?

Khalil : à mon retour du boulot, je vais te masser

Zara: hummm, je connais comment finissent tes massages... Diang, je préfère que tu règle le problème avec ton frère avant qu'on aille en lune de miel

Khalil : ça ne te dérange pas si on repousse d'une ou deux jours ?

Zara: pas du tout

Khalil : et tu as déjà choisis où tu veux allée ?

Zara: tu sais tant que je suis avec toi, ça me va... Ça ne me dérange pas si nous restons ici au Sénégal

Khalil : leila tu es sûre de toi ? Tu ne veux pas sortir du Sénégal ?

Zara: si mais j'ai également envie de découvrir ton pays

Khalil : OK, on fera le tour du Sénégal et je te réserve une surprise pour une partie de notre lune de miel.

Zara: ok

Khalil : montons prendre le petit déjeuner avec les autres

Zara: comment je vais faire pour marcher diang ?

Khalil : tu sais maintenant qu'il ne faut pas me désobéir... Leila, je ne vais jamais lever la main sur toi, mais j'ai plein d'autres  moyens de te ramener à l'ordre.

On alla retrouver les autres, je fais tout pour que mes jambes ne se frottent pas. Je marche tel un canard.

Une fois en haut, ils nous accueillent avec un sourire aux lèvres. Pour ne pas attirer l'attention sur moi, je fais quelques pas et m'arrête, jusqu'à ce que je réussisse à m'asseoir sur une chaise.

Khalil : salammaleykoum yaay, oumar

Zara: salammaleykoum yaay

Oumar: maleykoum sallam

Aïsha: maleykoum sallam mes enfants... Vous avez passés une bonne nuit ?

Khalil : une très bonne nuit

Nous commençons à prendre le petit déjeuner. Tante aïsha, pousse son fils et vint s'asseoir à côté de moi

Khalil s'assit finalement en face de moi.

Aïsha: ma fille ça va ?

Zara: oui maman

Aïsha: je sais que tu as mal... Mais ça va passer, je vais te donner une pommade à appliquer dessus pour te soulager

J'étais hyper génée, comment a t elle fait pour savoir, pourtant je prenais mon temps pour marcher.

Aïsha: je suis contente de voir que tu t'occupes bien de mon fils

Zara: maman

Aïsha: quoi ? Ne sois pas génée, nous sommes toutes passées par la

Zara: vous êtes sa mère, je ne peux, ne pas être génée

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