Chapitre 8. Confidence.

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Mardi 16 février 2021 à 07h00.

Point de vue de Jérémy.

Allongé sur le côté, dans mon lit vêtu d'un simple boxer noir en étant très en forme à l'intérieur de celui-ci. La couverture qui m'arrive aux hanches. Je regarde Lorie endormie en caressant tendrement son bras et son épaule. Je fais ça pendant de longues minutes en la trouvant tellement belle et en trouvant sa peau très douce. Elle se réveille et me regarde avec ses jolis yeux bleus très clairs, je lui souris tout en passant ma main dans ses cheveux noirs.

- Bonjour mon ange.

- Bonjour... Pourquoi tu me réveilles ? Dit-elle avec sa voix encore endormie.

- Je voulais pas te réveiller, désolé.

- Mh.

Je m'approche d'elle en déposant mes lèvres sur son épaule pour lui faire plusieurs petits baisers en glissant ma main dans son dos, sous sa nuisette en dentelle. Elle se tourne en se couchant sur le ventre. Je me mets à califourchon sur elle en embrassant le haut de son dos sensuellement et peu de temps après je sens qu'elle bouge son fessier pour se frotter contre mon caleçon. J'ai très chaud en soupirant d'excitation. J'embrasse ses épaules, je caresse mon nez dans ses cheveux en inspirant son parfum. Alors que j'en peux plus en pensant aller plus loin, elle arrête tout mouvement.

- Arrête, j'aimerais me rendormir.

- Hein ? Mais...

- Mais ?

- Je pensais que tu voulais aussi... Dis-je en m'éloignant d'elle en ayant la respiration légèrement rapide à cause de l'excitation.

- Pas maintenant.

- Tu te fous de me gueule ? C'est dégueulasse de faire ça.

- J'ai fait quoi ?

- Rien, laisse tomber. Dis-je contrarié, déçu, triste.

Je reste assis au milieux du lit comme un con quelques minutes avant d'en sortir pour aller prendre une douche fraîche.

20h56.

Point de vue d'Arnaud.

Mon fils vient tout juste de s'endormir. Je dépose son livre sur le côté avant d'embrasser son front avec douceur pour ensuite sortir de sa chambre.

Je marche jusqu'à la cuisine dans le but de me prendre quelques biscuits avant de m'installer dans mon canapé confortablement.

C'est avec la bouche pleine de biscuits au chocolat que je tente un sms à Jérémy. J'efface, j'écris, j'efface encore, je soupire, réfléchis, j'écris encore...

Ça fait deux semaine que je n'ai pratiquement pas de nouvelle de lui. Il exagère, juste pour une phrase trop franche, putain. Pourtant on avait des rendez-vous ensemble avec Baptiste, mais il a tout annulé en prétextant qu'il avait autre chose à faire et qu'on reporterait à plus tard. Baptiste ne s'est pas posé de question. Il faut que j'arrange ça.

Après avoir lu et relu le sms, je lui envoie en espérant une réponse.

Après avoir lu et relu le sms, je lui envoie en espérant une réponse

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