Chapitre 28

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PDV Maxime :

Je toquai et Tp ouvrit la porte.

PDV Tp :

J'allais regarder les réponses sur ma boîte mail des personnes vers qui j'ai postulé quand j'entends quelqu'un qui toque à ma porte. Alors, je me lève de mon lit et pars lui ouvrir. Je fus surprise de voir Maxime devant moi. Cependant, aujourd'hui, il m'avait vraiment énervée, prise pour une conne, donc je n'avais vraiment pas envie de le voir, alors je fermai la porte aussitôt. Mais il persista, il retoqua et moi, je ne répondais pas. Je n'en avais pas envie. Alors dans un dernier moment, j'ai ouvert la porte.

Maxime : Tp, je

Tp : Non Maxime, je n'ai pas envie de te parler. Laisse-moi maintenant.

Je refermai la porte. Il avait l'air si déçu. Ça me brisait le cœur, mais j'ai toujours été gentille avec lui, ou en tout cas pas aussi méchante que ce qu'il a pu faire. Je pris mon téléphone, un casque audio : j'avais besoin de faire un tour. Quand je descendis, je ne vis personne. Ils étaient tous couchés ou autre part. Ça tombe bien, je n'avais pas envie d'être fliquée. J'avançais autant que je pouvais. Il faisait bon, l'air était frais. Je vis un banc derrière le lac alors, je me posai dessus. Je respirai, je soufflai un peu, mais ça faisait du bien d'être dans un endroit calme comme celui-ci. Malheureusement mon endroit calme se fit interrompre par ma sonnerie de téléphone. Je regardais, c'était un numéro inconnu.

Tp : Allo ?

Pierre Gasly : Oui coucou Tp. J'ai cru comprendre que tu cherchais un boulot et j'ai besoin de toi alors, je me suis permis de demander à Léna ton numéro, j'espère que ça ne te dérange pas.

Tp : Oh bonsoir Pierre. Oui, je cherche bien un travail.

Pierre Gasly : Justement, je vais avoir six, sept mois de rallye. En fait ça s'arrête pour le festival de Cannes. Est-ce que ça te plairait de nous accompagner mon équipe et moi dans cette aventure.

Tp : J'ai besoin de voir quelque chose de nouveau alors, j'accepte.

Pierre Gasly : Ok génial alors, je t'envoie plus d'infos par message après. Bonne soirée.

Tp : Bonne soirée.

Je raccrochai.

Tp : Ahhhhhh, j'ai trouvé un boulot !

Je remis ma musique par la suite. Il commençait à réellement se faire tard alors, je me suis dit que je devais rentrer alors, je me levai, mais je vis Antoine. Je coupai ma musique aussitôt.

Tp : Qu'est-ce que tu fais ici ?

Antoine : Bah, je devais pisser. Je suis en route pour des vacances là.

Tp : Bon ok, moi, j'y vais. Salut.

Antoine : Tp ?

Tp : Quoi ?

Antoine : Je te demande pardon pour tout. Cette fois-ci, c'est sincère. Je me rends compte que c'était vraiment idiot et méchant, cruel, horrible, abominable de te faire subir tout ça. Je m'en veux énormément. J'espère que tu arriveras à me pardonner un jour.

Il commençait à pleurer.

Tp : Hey Antoine ! Je t'en veux beaucoup, c'est vrai. Mais je sais que dans le fond, tu n'es pas foncièrement méchant. Après, je ne voudrais jamais te recontacter, te revoir, mais sache je ne regrette pas notre relation, pas totalement.

Antoine : Merci Tp.

Il remonta dans sa voiture tandis que je le regardais partir au loin. Ça m'a fait un petit choque. Je tombai donc dans mes pensées. Si jamais il était resté droit, on aurait sûrement eu un ou plusieurs enfants, on se serait mariés... Enfin, je crois que ce n'est pas plus mal de faire tout repartir à zéro dans nos vies. Je me fis sortie de mes pensées encore une fois par la sonnerie de mon téléphone. J'avais prévenu personne. À la maison, ils me cherchaient, je crois bien même qu'ils paniquaient. Je cliquai donc sur notre groupe WhatsApp mais avant que j'écrive quoique ce soit, je me fis interrompre par une voix.

Maxime : Tp ! Ah enfin, je te trouve !

Il était essoufflé. Pourquoi il faut que ce soit toujours lui ? Ça devait donc faire un moment qu'il courrait. Je le regardais et avançai. En réalité, je commençais à partir. Mais il me stoppa dans ma course.

________________________________________________________________________________J'espère que vous appréciez toujours mon histoire jusque là ! J'attends vos retours avec impatience !

KISS<3

A suivre...

Ce n'était pas prévuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant