PDV Tp :
J'ai atterri ce matin, très tôt. Je n'ai prévenu personne de mon arrivée. De toute façon demain, je les vois, tous donc je suis impatiente. Je fais la présentatrice, donc je stresse un peu, mais ça devrait être bon. Je suis arrivée dans mon appartement avec toutes mes valises. On ne part pas pour sept mois avec seulement une valise cabine. Donc j'ai pris un taxi. Très sympa, je recommande. Il ne me parlait pas trop et tant mieux à vrai dire à quatre heures du matin, j'ai d'autre envie. Arrivée chez moi, je me suis écroulée.
Ensuite, je me suis réveillée vers quatorze heures. Ça m'a fait tellement de bien de retrouver mon lit et mon chez-moi. Il faut que je sois très productive puisque dans deux heures, je prends un train pour le sud. C'est plus pratique. Alors, j'ai défait deux de mes valises, ai mis des vêtements dans le bac à linge et me suis fait un repas. Pour finir, j'ai pris ma plus petite valise, je l'ai remplie, avec des vêtements simples. Je n'ai pas eu le temps de choisir une robe alors, je me mets à disposition pour dès que je sors de la maison. J'ai déjà des chaussures donc une robe suffira.
Comment dire que ce n'est pas simple du tout. Très vite les pris montent, après, on ne va pas au festival tous les jours. Après sept mois de travail acharné, je me suis dit que je pouvais m'autoriser une petite folie quand je vis un magnifique robe verte émeraude. Une robe simple, avec seulement une épaule couverte, pas de grand décolleté, mais une grande fente. Elle avait une grande traine et je me sentais si femme, si puissante, inatteignable. J'avais tout juste le temps de payer et d'aller à la gare de Lyon.
Une fois arrivée à Cannes, je descendis du train et allai prendre un taxi. Vu que j'étais présentatrice, on m'avait réservé une chambre dans un bel hôtel à côté. Il était déjà tard alors, je me suis dite qu'appeler mes parents pourraient être une bonne idée. J'étais fatiguée donc j'allumai mon ordinateur afin de regarder un épisode de série et manger devant. Honnêtement, je me sentais seule. J'ai parlé à personne aujourd'hui pour leur faire la surprise demain, mais ça me fait tellement mal au cœur. Maxime m'a envoyé des messages et je ne peux pas y répondre, je ne m'y autorise pas, c'est horrible. À la fin, je me lavai le corps puis les dents et je suis allée me coucher.
Au petit matin, il était dix heures quand même, je me levais de très bonne humeur. J'étais dans les premières à monter les marches. Et oui, après, j'ai du boulot. Donc vu que je les montais vers quatorze heures, je commençai dès maintenant par un brushing. Une fois enfin satisfaite, je me fis une manucure, mais je mis du vernis très discret pour pas faire sapin de noël. Après, je me maquillai encore une fois de façon très légère. Le but n'était pas de voler la vedette à de réelles célébrités. Ni surtout faire la une des journaux parce que je ressemble à un camion volé.
C'était maintenant le moment de partir, enfin sortir. On m'ouvrit la portière de la limousine et je me fis littéralement aveugler par les flashs des appareils photos. Je n'étais pas à ce point importante. Du moins c'est ce que je pensais. Mais que s'est-il passé en France durant mon absence ? Pourquoi dès que j'ai prononcé mon temps, j'ai vu comme des paillettes, des étincelles dans leurs yeux ?
Journaliste 1 : Bonjour à vous mademoiselle Tn. C'est la première fois qu'on vous voit depuis qu'Arthur Leclerc dit qu'il vous admirait. Quelle est votre liaison avec lui ?
Hein ? Mais c'est quoi cette histoire ?
________________________________________________________________________________J'espère que vous appréciez toujours mon histoire jusque là ! J'attends vos retours avec impatience !
Arthur Leclerc : Petit frère de Charles Leclerc, 23 ans, pilote automobile monégasque.
La robe qu'elle portera si vous voulez une version plus concrète (excusez moi elle est un peu pixélisée):
KISS<3
A suivre...
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Ce n'était pas prévu
RomanceMaxime Biaggi x reader. Tp, trompée par son ex, après trois ans de relations, ne croit plus en l'amour. Par cela, elle se promet de prendre du temps pour elle, pour se reconstruire, afin d'oublier un maximum comment les hommes peuvent être aussi cru...