🎶Maroon 5 - Misery🎶
Point de vue de Phobos
Finalement, je pars de l'île pour la soirée puisque me défouler dans la salle de sport n'était pas suffisant. J'ai dit à mes hommes de surveiller la villa, je refuse qu'elle rentre dans la cuisine en mon absence. Je pars en bateau pour la ville la plus proche, j'ai besoin d'une distraction pour la nuit. J'entre dans un club que je connais très bien.
- Monsieur Phobos, je suis ravie de vous voir ici !
- Je suis là pour me détendre.
Je m'installe dans un coin VIP, la serveuse dépose une bouteille de bourbon japonais sur la table, mon préféré.
- Cadeau de la maison, monsieur.
Elle minaude et je tends la main qu'elle saisit sans hésiter.
- Tu veux me faire plaisir ?
- Tout ce que vous voudrez, monsieur.
- À genoux.
- Tout de suite, monsieur.
Elle s'agenouille entre mes jambes avec le sourire, elle défait ma ceinture, descend ma braguette, sort ma queue qu'elle gobe immédiatement. Ça fait du bien. Je bois mon verre et repose ma tête contre le dossier. La sensation chaude et humide de sa bouche est plaisante, mais je dois imaginer ma brune. Ma colombe qui boude dans sa chambre alors qu'elle aurait pu être ici à sa place. J'agrippe ses cheveux pour aller plus vite, lui ordonnant silencieusement de tout avaler. Elle recule en toussant, j'y suis peut-être allé un peu fort, mais elle sourit. Une bonne soumise qui aime ça.
Je la suis dans une chambre et la pousse sur le lit.
- Retourne-toi.
Elle se retourne et m'offre son postérieur. Je ne baise pas en regardant leur visage. Je n'ai que faire de les regarder, je préfère largement les entendre. Elle est mouillée, nul besoin de préliminaire. J'enfile un préservatif, aucune envie de la revoir dans quelques semaines avec une surprise que je ne vais pas aimer. Si un jour ce malheur arrive, je garderai le bébé, mais elle, elle ira loin. Je m'enfonce en elle et agrippe son cul. Elle est chaude, pas serrée, tellement habituée. Avec un cul pareil, elle doit bien arrondir ses fins de mois.
Je suis un trafiquant, mais mon business se tient loin des femmes. Je ne fais pas dans les putes ou les organes. Je préfère démonter ce genre de trafic avec mes alliés de New York et de Russie. Même si les Russes possèdent des bordels, celui des Petrov est différent, aucune d'entre elles n'a été enlevée pour ça. Ils ne font preuve d'aucune violence, elles sont payées correctement et surveillées par des médecins. C'est un bordel de grande classe qu'ils ont, contrairement à des endroits comme le Mexique où ils kidnappent des gamines partout à travers le monde. Je ne le tolère pas ça.
Je lui claque le cul et accélère. Je suis brutal dans les rapports et elle aime ça. Je jouis et ça fait du bien même si encore une fois, j'ai imaginé ma colombe à sa place. Je retire mon préservatif et en enfile un autre, mais cette fois, je vise son trou un peu plus haut. Elle se cambre pour m'accueillir. Elle est plus chaude ici.
- Tu aurais dû me dire que tu préfères cet endroit...
Elle est bonne et hurle de plaisir. Je la culbute avant de jouir à nouveau. Elle s'effondre sur le lit et je retire le préservatif que je jette. Je me rhabille.
- Reste.
- Désolé, ce n'est pas mon genre. Tu n'as qu'à dormir.
Je dépose une belle liasse de billets sur le meuble avant de partir. Je redescends au coin VIP pour boire et un de mes hommes approche.
- Quoi ?
- Mademoiselle est sortie de sa chambre. Yanis l'a renvoyé.
- Il ne l'a pas touchée ?
- Non, Boss, mais d'après ces dires, elle est très en colère. Elle sait que vous n'êtes plus à la villa et elle se doute bien de ce que vous faites. Elle est enragée.
- Tant mieux. Qu'elle rumine dans son coin, ça lui apprendra à me désobéir.
Elle va s'en mordre les doigts.
Point de vue de Vivi
Je ne sais pas combien de temps, j'ai pleuré. Il est plus de deux heures du matin, il doit dormir. Je pousse le meuble que j'avais mis devant la porte et je sors. Je marche doucement dans le couloir. Je ne sais pas dans quelle chambre il dort et je préfère faire attention. Je refuse de me soumettre à ses pieds, à ses ordres. S'il veut jouer, il n'a qu'à se prendre un chien, il pourra faire mumuse. Je descends et vois la cuisine, un homme surgit du couloir et je me fige.
- Ne vous approchez pas de moi !!
- Je suis Yanis, mademoiselle. Je suis ici pour assurer votre protection.
- Ma protection ?? Il croit quoi, que je vais me taillader les veines ? M'enfuir à la nage ? Je ne suis pas idiote, je ne ferais pas deux mètres dehors, surtout à la nage !
- Je dois vous protéger, c'est tout.
- Quand vous dites protéger, j'entends surveiller.
- ...
- C'est bien ce que je pensais. Poussez-vous, je vais à la cuisine !
- La cuisine vous est interdite.
- Quoi ? Je ne vais pas mettre le feu !! C'est fou ça.
- Je suis désolé, mademoiselle. J'ai des ordres clairs.
- Il veut donc ma mort à la fin. Je le savais !
- Vous ne pouvez pas entrer.
- Je vais aller lui dire deux mots.
- Le boss n'est pas ici.
- Quoi ? Il ose m'abandonner seule sur sa foutue île ?? Où est-il ?
- ...
- Ne me dites pas qu'il a osé faire ce que je pense ?? Le bâtard !!
Je remonte dans ma chambre et ferme la porte à clé après l'avoir claquée comme une enfant. Il veut me punir, on va voir qui sera le plus déçu, monsieur-je-me-crois-tout-permis !
Point de vue externe
Phobos est dans son bureau, il regarde le calendrier, quatre jours sont passés depuis leur pseudo-dispute... Il a soudain un déclic, ça va faire quatre jours qu'elle n'a rien mangé !!Quatre jour qu'elle est dans sa chambre.
Il monte en fracassant la porte puisqu'elle refuse d'ouvrir et il la voit dans le lit, pâle comme un cadavre et le souffle court.
- Je suis un idiot. Je te demande pardon ma colombe.
𝕰𝖝𝖙𝖗𝖆𝖎𝖙:
"- Elle va devoir garder les perfusions encore quelques temps. "
𝕰𝖘𝖙-𝖈𝖊 𝖖𝖚𝖊 𝖑'𝖍𝖎𝖘𝖙𝖔𝖎𝖗𝖊 𝖛𝖔𝖚𝖘 𝖕𝖑𝖆𝖎𝖙 ?
𝕾𝖎 𝖈'𝖊𝖘𝖙 𝖑𝖊 𝖈𝖆𝖘: 𝕷𝖎𝖐𝖊𝖗 𝖊𝖙 𝕮𝖔𝖒𝖒𝖊𝖓𝖙𝖊𝖗.𝕺𝖓 𝖗𝖊𝖙𝖗𝖔𝖚𝖛𝖊 𝕻𝖍𝖔𝖇𝖔𝖘 & 𝖁𝖎𝖛𝖎𝖆𝖓𝖓𝖊 𝖉𝖆𝖓𝖘 𝖑𝖊 𝖕𝖗𝖔𝖈𝖍𝖆𝖎𝖓 𝖈𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊.
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Saga MAFIA Tome 1 You're Mine
RomantizmVivianne aime la simplicité des choses. Le calme, les livres et la photographie. Elle travaille dans l'auberge familiale dans le sud de la France. Mais un jour un homme va troubler sa sérénité. Le genre d'homme qui a une aura dangereuse et séduisa...