chapitre 7

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Comme de dixaine de vol en provenance de diverse ville du pays ou du quatre coins du monde, le vol 709-234B de l'American Airlines venait de se poser sur le tarmac de l'aéroport international John Kennedy avec à son bord 240 passagers toute classe confondus. Parmi eux, Une jeune femme aux cheveux immensément noire rivalisant avec l'humeur noir qu'elle traine avec elle depuis son embarcations dans cet avion.
Elle affichait un visage impassible mais au fond d'elle c'était le bouilloire. Elle fulminait comme pas possible. Elle venait de passer un séjour de merde, un de ceux qu'on aurait jamais voulu vivre.

Elle avait été envoyé à Boston expressément pour s'occuper d'un certain client.  Un homme bouru, arrogant, fière, qui se croit au dessus du monde parceque c'est évidemment un homme et qu'il est pété de thune, macho presque mysogine, et le pire c'est qu'il se pensait féministe !

Pour faire court il incarnait tout ce que Alexandra BAKER de son nom détestait.

Déjà qu'elle n'était pas ravie de se voyage, irrité par son rendez-vous, elle finit carrément furieuse lorsque grâce à l'incompétence de son assistante, elle se retrouva coincé en classe éco prise en sandwich entre une femme et son bébé qui passa tout le temps du vol à crié comme une chèvre qu'on égorge et un grolar qui se goinfrait comme un porc. Si au moins c'était de la bonne nourriture ; mais non, de tas et de tas de nourriture industrielle.

Alex n'avait pas du tout peur d'exagérer.

Elle qui d'ordinaire prend beaucoup sur elle à chaque fois qu'elle doit remontrer dans ces engins volant, ajouter à ça l'agglomération, le bruit et la chaleur de la classe éco, vous imaginez bien que c'était l'enfer cette situation. Pas étonnant qu'elle en soit sur le point d'imploser.

Elle était tout de même soulagée de retrouver la terre ferme car une minute depuis dans cet avion, elle jure elle étranglait quelqu'un.
Aujourd'hui son sang froid avait été mise à ride épreuves. "J'espère bien pour eux qu'ils ne me réserve pas une nouvelle surprise" se dit-elle alors qu'elle prennait la sortie de l'aéroport traînant une valise dernière elle.

Dehors l'attendait heureusement pour l'humanité son taxi, une Rolls-Royce phantom huitième génération noire absolument magnifique. Cette voiture c'était du pur génie. Avec son architecture fait en alliminum, il confèrait à la voiture une légèreté et un robustesse considérable ainsi qu'un gain de confort non négligeable. Les phares étaient redessinés en un bloc que deux parties distinctes comme sur la génération précédente. La Rolls-Royce phantom 8 était équipée d'un moteur V12 de 563 chevaux amélioré avec 2 turbo qui vous colle carrément sur votre siège avec ce 900Nm. Insonoriser à la perfection avec 130kg d'isolant, aucun moyen d'être importuner par le bruit des circulations. C'était en premier pour ça que mademoiselle BAKER l'adorait car une fois à l'intérieur c'était comme si on était coupée du monde, elle pouvait donc revenir sur un dossier, effectuer des appels professionnel ou même des réunions vidéo conférence sans peur de perturbations sonnore ou autres.
En parlant d'intérieur, ici tout était fait, choisi pour apporter aux passagers une expérience unique : cuir précieux, plusieurs essence de bois rare, siège aéré avec massage ou encore bar à whisky ou champagne et un tableau de bord pouvant intégrer une œuvre d'art personnalisable. En somme le genre de voiture que tout le monde ne pouvait se permettre.

On devinait là que Alexandra BAKER n'était pas n'importe qui mais qui était réellement ?

Certains pourraient s'arrêter sur son nom de famille: Alexandra BAKER fille du célèbre entrepreneurs multimilliardaire Philip Erwann BAKER, principale héritière de la chaînes d'hôtels de luxe BAKER&co implanté ici et là à l'international comme au national, et mystérieuse car jusque-là méconnue du grand public.

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