Chapitre 18

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Avertissement: Cœurs sensibles s'abstenir à partir de ce chapitre, c'est de pire en pire!

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Sara se précipite à genou quand elle entend la porte d'entrée se fermer. Elle entend des pas se rapprocher de la cuisine, et quand Monsieur arrive en haut de l'escalier, elle se rend compte qu'il n'est pas seul.

-Les yeux sur la porte! dit Monsieur en descendant. Ne bouge pas pendant que je déverrouille. Pour mon accompagnateur, il est juste là pour s'assurer que tout se déroule comme je l'entends. Nous n'aurons pas de spectateur, t'inquiète.

Il ouvre la porte devant Sara, celle-ci regarde aussitôt à l'intérieur. Un lit sur une palette de bois, des chandelles, un mur de brique, dans un coin une grande croix avec des sangles, une chaise en métal avec des menottes intégrés, pour finir un espèce de cheval sautoire comme en gym à l'école.

-Va t'asseoir sur la chaise! dit Monsieur en posant sa main sur l'épaule de Sara.

Elle se lève et va à la chaise, le métal est froid sous ses fesses, seulement recouverte d'une culotte en dentelle. Dès qu'elle est assise, l'accompagnateur attache les menottes à ses poignets et à ses chevilles. Sara tente de ne pas pleurer, elle a les yeux pleins d'eau et s'attend au pire. Le garde sort de la chambre et ferme la porte derrière lui. Aussitôt, Monsieur enlève son pantalon devant Sara, elle se retrouve face à une énorme queue droite comme un porteur de drapeau.

-Je suis comme ça depuis hier soir! dit-il en voyant Sara reculer son visage. J'ai rêvé de tes doigts dans ta chatte toute la nuit. Tu nous as tous fait bander, les copains me demandent des photos de toi à poil, mais tu es mienne. Mon père aussi a été impressionné par ton odeur, il a refusé qu'on touche à ta culotte. Il la garde en souvenir, ce vieux pervers... C'est bien comme ça que tu nous as appelés hier soir? Des pervers?

Sara évite de regarder devant elle, puisque le sexe de Monsieur est à quelques centimètres de son visage seulement. Elle reste muette.

-Je t'ai posé une question? C'est bien le nom que tu as utilisé pour nous décrire, des pervers?

-Oui, Monsieur, chuchote Sara.

-REGARDE-MOI!

Sara lève les yeux vers le visage de l'homme, ce visage est illuminé par un sourire radieux.

-Tu vois? Je ne suis pas en colère! Je m'assume totalement, je suis effectivement un pervers. Et là, maintenant, tu vas me faire la plus belle pipe que tu as jamais fait. Je veux jouir dans ta jolie petite bouche de salope. Je t'avertis, si tu me mords, ou bien, si tu ne fais que m'accrocher avec tes dents. Je demande à Madame de te les arracher avec des pinces, sans anesthésie. Et connaissant ma femme, elle trouvera que c'est une magnifique idée! Elle aime tellement voir la souffrance des autres!

Sara ne dit rien.

-Alors, tu l'ouvres ta jolie bouche? ou je demande à mon garde de venir te la tenir ouverte et je lui offre aussi de se vider les couilles?

La jeune femme avale de travers, et ouvre doucement sa bouche, en pleurant. Elle n'a vraiment pas envie de se faire violer par deux hommes, déjà qu'elle doit subir les assauts de Monsieur.

-Ouvre grand! Comme tu peux voir, je suis bien membré! Madame ne peut pas me tailler des pipes car sa bouche est trop petite. Allez ma petite salope, avale-moi ça!

Monsieur s'avance d'un coup et force l'ouverture de la bouche de Sara avec son sexe. Elle a un mouvement de recule, mais Monsieur la saisie par les cheveux et la garde en place. Il fait de violent va-et-vient dans sa bouche. Sara s'étouffe et pleure devant cette violence. La largeur du membre pénétrant sa bouche lui meurtrie les lèvres, elle peine à respirer avec les assauts de son agresseur. Elle le sentait aller se cogner dans le fond de sa bouche, tentant d'entrer plus profondément dans sa gorge. Il se retire soudainement et la gifle. Il se penche pour avoir le visage à la hauteur de celui de Sara.

-Tu sembles manquer d'expérience, je me trompe? dit-il en prenant le visage de Sara dans sa main, l'obligeant à le regarder.

-Non... je...

Sara est tremblante, écoeurée de la vision de ce monstre.

-Tu n'as pas fait de pipe à tes copains? demande-t-il.

-Oui... enfin, pas souvent! dit-elle en pleurant.

-Bon! Arrête de pleurer, je vais t'expliquer comment faire! Parce que là, ta bouche molle, ça ne le fait pas!

La jeune femme tente de ravaler ses larmes, elle se dit que plus vite se sera fait, plus vite elle pourra aller prendre une douche et vomir cette agression. Elle pourra aller pleurer son lot dans son lit, sous la couverture, en sécurité.

Monsieur continue de tenir le visage de Sara tourner vers lui avec sa main droite, et avec son autre main, il fait une démonstration à sa victime. Il met un doigt dans sa propre bouche et se met à le sucer, le rentrant profondément. La jeune femme le regarde horrifié, les mouvements de sa bouche et sa langue qui sort en lèchant son doigt.

-Tu vois, c'est comme quand on est enfant et qu'on mange un bonbon, on doit le faire fondre en le léchant et en le frottant avec la langue, aspirer aussi, je dois voir tes joues se creuser. Ta langue doit s'activer sur ma queue, tu dois aussi me regarder dans les yeux le plus souvent possible, et la rentrer dans le fond de ta gorge. Je sais, au début, la gorge c'est difficile et souvent ça donne envie de vomir. Mais ta bouche sera pleine alors, tu ne vomiras pas. Tu m'as compris?

Sara le regarde écoeuré, bien sûr qu'elle avait compris. Elle savait comment faire, elle n'aimait pas vraiment le faire. Forcément, maintenant qu'elle était obligé de le faire par ce malade, aussi bien en finir rapidement. Elle hocha la tête pour confirmer avoir compris. Monsieur met son doigt dans la bouche de Sara.

-Montre-moi! dit-il d'un ton autoritaire.

La jeune femme ferme les yeux et s'applique à lécher et sucé le doigt qu'elle a dans la bouche. Le prenant le plus profondément possible, pour que ça finisse.

-Voilà! Je savais que tu avais une bouche pour ça, mais tu as oublié le plus important, petite salope! Tu dois me regarder dans les yeux.

Sara ouvre les yeux et le regarde avec dégoût et hargne.

-Regarde moi avec toute la haine du monde, je m'en fous! Tout ce que je veux, c'est me vider les couilles dans ta jolie petite bouche.

Il sort son doigt de la bouche de Sara, se lève et lui présente son pénis. Il reprend le derrière de la tête de la jeune femme et la guide pour lui montrer la cadance du va-et-vient dont il a besoin. Au bout de quelques minutes, Monsieur relève la tête, regarde vers le plafond et enfonce sa verge dans le fond de la gorge de Sara, projetant une giclée de semence chaude lui remplissant la bouche. L'homme se retire enfin, alors que Sara recrache au sol ce qu'elle vient de recevoir. Monsieur regarde sa semence au sol, hausse les épaules, essuie son gland sur la joue de la jeune femme et va s'allonger sur le lit.

SaraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant