Sara se retrouve donc enfermée dans une pièce de la cave de la maison principale. Curieusement, cette pièce est munie d'une porte comme les gros coffre-fort dans les banques. La jeune femme est là, seule depuis un bon moment, elle ne saurait dire combien de temps. Les hommes l'ont attaché avec des menottes et des chaînes, elle ne peut pas s'asseoir, les bras au-dessus de la tête. Elle est au milieu de la pièce, devant la porte à attendre la suite. Il n'y a rien dans la pièce, aucune fenêtre, aucun meuble. Seulement les chaînes au plafond et au plancher.
Au début, elle a crier, sans arrêt et à bout de souffle, elle a fini par s'arrêter. Elle est assoiffée maintenant et elle regrette d'avoir tant crié, sa gorge lui fait mal. Elle a pleuré aussi beaucoup, suppliant pour qu'on la ramène dans sa maison, promettant de rester sage. Sara est épuisée, et elle ne peut même pas se reposer, s'asseoir au sol.
Au bout d'un long moment, elle entendit le mécanisme de la porte s'activer devant elle. La porte s'ouvre sur Madame et Monsieur, suivi d'un homme qui porte deux chaises, il les dépose devant Sara pour que les maîtres de la maison puissent s'asseoir. Le garde sort, mais reste sur le côté de la porte.
-Comment tu as fait pour sortir de ta maison? demande Monsieur.
Sara reste muette.
-Qui t'a ouvert? demande à son tour Madame.
Sara la regarde et ne dit rien.
Monsieur se lève et s'approche à quelques centimètres de Sara.
-Tu connais les règles, petite conne! Quand on te pose une question, tu dois répondre! grogne Monsieur.
Sara veut lui cracher au visage, mais elle n'a pas de salive. Elle ferme les yeux et garde sa bouche fermée.
-Mon amour, elle est à toi! dit Monsieur en se reculant, laissant toute la place à sa femme.
Madame s'avance vers Sara, celle-ci a ouvert les yeux préférant voir venir les coups. La femme sort un couteau à papier de sa poche et découpe les vêtements de Sara. La lame du couteau se brisa à plusieurs reprises sur le jean's mais elle finit tout de même par réussir à lui retirer tous ses vêtements. Sara pleure mais ne dit toujours rien, sa peau est recouverte de coupure puisque Madame n'a pas fait attention en coupant les vêtements.
-Si tu me dis maintenant comment tu es sortie de ta maison, je m'arrête là! Tu saignes déjà et je suis satisfaite. Si non, je continue, j'ai une petite idée et j'aimerais savoir si ça peut fonctionner, dit Madame en faisant tourner le couteau à papier dans ses mains.
Monsieur regarde Sara avec attention, et celle-ci ne dit toujours rien. Elle est au bout de ses forces, elle sait qu'elle ne sortira plus jamais de cette cave. Pas de son vivant en tout cas!
-Parfait! Monsieur, ça te dérange si je l'abîme un peu plus? dit Madame en se retournant vers son mari.
-Elle n'est pas coopérative ma chérie! Vas-y amuse toi! Fait juste me garder mes petits endroits favoris intacts d'accord! dit Monsieur.
-T'en fait pas! Tes endroits favoris, je ne les touche pas! dit Madame. Viens la tenir pour ne pas qu'elle bouge! Place toi derrière elle.
-Bien! dit Monsieur en prenant la place que Madame lui indique.
Sara sent les mains de l'homme lui frôler les fesses, et remonter son dos pour ensuite venir la tenir droite. Madame vient planter la pointe de son couteau à papier entre les deux seins de Sara et le fait descendre jusqu'à un peu en haut du nombril. La jeune femme hurle de douleur, la femme continue et découpe la forme d'un rectangle sur le devant du corps de Sara. Elle referme ensuite la lame sanguinolente de son couteau, le jette au sol. Elle regarde Sara dans les yeux, glisse son ongle dans le coin du rectangle et tire un bon coup. La jeune femme qui croyait avoir vécu un calvaire quand Madame lui avait arracher le doigt, être ainsi éplucher comme on enleve la peau d'un fruit avant de le manger, la douleur était insupportable. Elle perdit connaissance.
Une chaudière d'eau froide jeté sur son visage la réveille.
-T'es pas assez résistante! crie Madame.
-Tu vas nous dire maintenant comment tu es sortie de ta maison! crie Monsieur en laissant tomber la chaudière au sol.
Crachant l'eau au sol, Sara tente de reprendre de la contenance.
-Par la porte, gang de débile profond! Et si ton fils n'avait pas été juste devant toi quand je suis sortie. Je te transperçais le coeur avec des cisailles à jardin. Sale pervers! Vous voulez que je parle, alors je vais parler. J'en ai marre d'être ici! Je veux retourner chez moi, je ne serai plus une gentille petite fille qui fait tout ce que vous voulez sans me défendre.
-Pourquoi ne m'as-tu pas tuer quand tu en as eu l'occasion? demande Monsieur.
-Je te l'ai dit, ton fils était là! Il a pas choisi d'avoir deux tarés comme parent cet enfant là! Je voulais pas lui infliger l'horreur de ta morte devant ses yeux! dit Sara, en le dévisageant.
-Mais, qu'est-ce que tu en as à foutre de sa vie à lui? Nous, on s'en fiche des états d'âme de ta mère qui braille ta disparition à la télévision! Demande Madame, surprise.
-C'est la différence entre vous et moi, vous êtes des psychopathes qui n'en avez rien à foutre des émotions des autres. Parce que vous en êtes démunis! Vous ne connaissez pas les sentiments réels. Vous vous êtes bien trouvé, deux fous psychopathes!
-On est pas fous! On sait ce que l'on aime! On aime notre fils, nos amis, nos vies. dit Madame en prenant la main de son époux. On s'aime tous les deux, non?
-Oui, ma chérie! Je t'aime! dit Monsieur en la plaquant au mur et en l'embrassant sauvagement.
Les deux maîtres de maison s'embrassaient et se déshabillèrent devant Sara. Monsieur finit par prendre les jambes de Madame, les montent autour de sa taille et commença à la baiser devant la jeune femme attachée. La femme hurla son plaisir et roula des yeux vers Sara. La jeune femme lui sourit.
-C'est pas de l'amour ça! C'est juste du sexe! Vous ne comprenez vraiment rien à rien! Je vous l'ai dit, vous êtes deux tarés psychopathes. Cria Sara par-dessus les bruits de leurs ébats.
-Oh! Et puis merde! dit Monsieur. Tu veux qu'on te montre comment on peut être des sans-coeur? Parfait! C'est un jeu qu'on va gagner ma chère!
Il dépose sa chérie sur le sol, l'embrasse une dernière fois. Sors la tête par la porte.
-Patrick! Rentre et baise-moi cette salope! Après, tu vas passer le mot à l'équipe, tout le monde a le droit aujourd'hui! Non, en fait, tout le monde y a droit jusqu'à nouvel ordre. La seule chose que j'exige, c'est que vous me laissez son cul! Ça c'est moi qui va lui défoncer! finit-il en regardant Sara droit dans les yeux.
Le garde entre dans la pièce déjà bandé comme un taureau, s'approche de Sara, qui n'a aucun moyen pour se protéger puisqu'elle est attaché. Il défait son pantalon en la regardant avec appétit, alors qu'elle le supplie d'arrêter. L'homme l'attrape par les fesses, la soulève un peu et fait entrer sa verge en elle d'un violent coup de bassin. Sara voit Monsieur prendre Madame par la main et les deux sortent de la salle.
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Sara
HorrorSara n'aurait jamais cru possible qu'une personne puisse en acheter une autre, avant d'être elle-même vendue. Cette jeune secrétaire sans histoire se retrouve prisonnière dans une cage dorée. On l'a séquestrée, et maintenant, on la torture, la viole...