Sara ressent les battements de son coeur au bout de ses doigts, les petits courant d'air la font souffrir. Elle pleure mais n'ose pas bouger sa main, puisque dans sa position, elle a peur d'accrocher des bouts de doigts au vif.
-Félicitations Cassandra! dit Madame en applaudissant. Avoue que c'est amusant d'avoir ce pouvoir sur quelqu'un. Je peux en faire ce que je veux! Elle m'appartient!
-J'ai adoré! Ça défoule! dit Cassandra, rougissante.
-Tu n'as pas à être gêné! Vraiment! Dis-moi, c'était difficile? Tu les as vraiment arracher d'un coup sec, il n'y a pas eu de résistance.
-Je voulais pas que ça résiste! C'est pour ça que j'ai fait vite! C'était le fun, mais je suis encore sur l'adrénaline et on dirait que j'en veux plus!
Sara les regarde parler, terrifiée. Comment des êtres aussi ignobles peuvent exister?
-Bien! Dans ce cas, veux-tu m'aider? dit la belle-mère. en allant à son tour fouillé dans l'armoire. Elle en sort un tournevis et une torche. Elle allume la flamme et la passe sur la pointe du tournevis.
-Oh oui! Je fais quoi? En fait, vous allez faire quoi? dit Cassandra, excitée.
-Cette petite salope prend du plaisir avec nos époux! Je veux l'en empêcher! Je vais lui brûler le clitoris au fer rouge!
-NON! hurle Sara. JE VOUS EN PRIE! JE N'AI AUCUN PLAISIR AVEC VOS MARIS. AUCUN!
-Ferme ta gueule toi, petite cochonne!
-Euh... Belle-maman! Je dois consulter votre fils, c'est sa partie à lui que vous voulez abimé.
La mère de Monsieur retire la pointe du tournevis de la flamme.
-Oh! Appelle-le voir!
Madame sort son cellulaire de sa poche arrière.
-Oui, mon amour? Écoute, ta mère veut brûler le clitoris de ta petite pute.... Oui, avec un métal chaud... Effectivement, son cul sera intacte!... Parfait! Je t'aime! Je te dirais qu'on va avoir fini ici dans 1h... Super! Je le dis aux filles!.... Bye!
-Bon! Tant qu'on touche pas à son cul, on a le go! Cette petite pute s'en prend plein le cul apparemment! Il dit que tu peux lui brûler tout ce que tu veux, il utilise juste ses trous. Il veut pas qu'elle ait du plaisir, juste que tu en aies. Ah oui, aussi, on va souper au club ce soir, une soirée bénéfice pour l'hôpital pour enfants. Nos maris nous ont trouver des billets.
La belle-mère allume la torche à nouveau et passe la pointe du tournevis dans la flamme. Les quatre femmes sont hypnotisées sur la flamme, alors que Sara tente de se débattre et leur cri de la laisser libre.
-LA FERME! crie Madame en venant la gifler.
-OUI, FERME TA GUEULE! crie Betty en la giflant à son tour. Oh! C'est amusant ça! Je peux recommencer?
-Amuse-toi Betty! dit Madame, le regard admiratif.
Betty s'élance et commence à roué de coup le corps attaché de Sara. La frappant partout, et riant au éclats quand sa victime cris et pleure.
-Tasse-toi Betty! Je veux essayer moi aussi! dit Cassandra.
Elle ferme le poing et se met à frapper le visage de Sara.
-Woh! Les filles! Je ne veux pas qu'elle perde connaissance maintenant! Je veux l'entendre hurler sa douleur quand je vais lui brûler son clitoris. Elle aura plus jamais de plaisir par là cette chienne en chaleur.
Les coups cessent de pleuvoir sur Sara, celle-ci à du mal à respirer, sa bouche se rempli de sang, elle tourne sa tête sur le côté et crache.
-C'EST VOUS LES SALOPES FOLLES! JE PRENDS PAS MON PIEDS AVEC VOS DÉGÉNÉRÉS DE MARI, ILS ME VIOLENT! TUEZ-MOI À LA FIN, J'EN AI MARRE!
Les quatres femmes se regardent, éberluées, figées un bref instant. Et éclatent de rire, à en pleurer.
-Cassandra, c'est prêt! Enlève lui sa culotte et écarte lui les lèvres! Je veux m'assurer de bien viser!
Rapidement Cassandra obéit, Betty et Madame s'approche afin de voir l'artiste à l'oeuvre.
-Vas-y ma belle couine comme la cochonne que tu es! dit la belle-mère avant de déposer avec force le métal brûlant sur le clitoris de Sara.
Le cri qui sort de la gorge de Sara, la surprend elle-même. La douleur qu'elle s'attendait n'a rien à voir avec ce qu'elle sent. Elle a l'impression qu'on a allumé un feu sur elle, l'odeur de la peau brûlée est atroce. Étrangement, Sara ne perd pas connaissance comme lorsqu'elle a perdu son doigt, il y a quelques semaines. Elle sert les mains en formant des poings et son cri se décuple quand elle accroche les bouts de ses doigts blessés sur la table.
Les quatres femmes la félicitent d'être rester consciente. Alors que ses cris diminuent graduellement étant remplacer par ses pleurs inconsolables, sa peau se couvraient de chair de poule et de sueur. Réaction physique à toutes ses nouvelles sensations plus que désagréables.
-Bon! Calme-toi! dit Madame en approchant son visage de celui de Sara. C'est mon tour maintenant. Veux-tu un break? Et que je revienne dans 5 minutes avec les filles, ou bien, on s'en débarrasse et ensuite on te laisse tranquille. Choisis, et profites-en c'est rare que c'est toi qui choisi!
-Mai..Maintenant! dit difficilement Sara.
-Bien! dit Madame en se dirigeant à son tour vers son armoire. Elle en sort une trousse et la dépose près du visage de Sara.
Madame sort une aiguille à cuir large, et du fil épais noir. Elle fait passer le fil dans le chas de l'aiguille et fait un gros noeuds au bout du fil.
-Belle-maman, voulez-vous m'aider? demande Madame avec un sourire radieux.
-Avec plaisir! Je fais quoi? s'approchant du visage de Sara.
-Vous vous souvenez dans le film hier, vous devez prendre ses cils de la paupière du haut et tirer. Je ne veux pas percer son oeil, juste la paupière. On va lui coudre les paupières ensemble, elle restera aveuglée pendant 1 semaine. Ensuite, je vais demander à Rick de lui enlever. Ça va être amusant le soir, quand Monsieur et moi allons regarder sa captivité, la voir se déplacer les yeux fermés en permanence et vivre au quotidien. Elle ne saura jamais quand elle va rentrer dans la même pièce que Rick, et lui, va devoir la gifler. Tu as bien compris, petite merde! Maintenant, si tu ne veux pas que je te perce l'oeil, tu ne bouge pas!
Sara subit cette opération en pleurant doucement, sans bouger. Étrangement, l'aiguille qui perce ses paupières ne lui fait presqu'aucune douleur. Sans doute est-ce parce que son corps en entier lui fait mal. Lorsque Madame termine, elle sent que l'on tire sur les fils pour s'assurer que rien ne bouge.
-Parfait! On dirait maintenant un monstre de foire! dit Madame en riant à gorge déployée.
La jeune femme sur la table pleure et attend la suite. Elle entend les quatre femmes discutés en quittant la pièce. Laissant Sara seule, toujours attachée à la table. La souffrance physique et psychologique qu'à subit Sara durant les deux derniers jours, a raison d'elle. Elle ne souhaite que mourir. Ils peuvent bien l'oublier là, elle s'en fiche.
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Sara
HorrorSara n'aurait jamais cru possible qu'une personne puisse en acheter une autre, avant d'être elle-même vendue. Cette jeune secrétaire sans histoire se retrouve prisonnière dans une cage dorée. On l'a séquestrée, et maintenant, on la torture, la viole...