Le début était Dur mais la fin sera Pure

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Selem aleykum/ coucou

Et elle raccrocha, quant a moi, je suis repartie dormir car j'étais encore très fatiguée.
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Il était à présent 13h30, j'avais dormi peu mais assez pour pouvoir me lever et aller à l'hôpital. J'avais envoyé un message à Moha pour qu'il se prépare, j'en avais aussi envoyé à Aden pour qu'il se prépare de même. J'étais contente d'emmener Moha avec moi, il allait pouvoir redonner le sourire à Reda.

J'avais goûter l'un de mes délicieux cookies que je lui avais fais, j'étais plutôt fière de moi ptdrr.

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HÔPITAL

Comment vous expliquez la joie de Reda lorsqu'il a vu Moha passer le seuil de la porte ? Même étant faible, il a réussi à le prendre dans ces bras et à rigoler comme un fou.

Il était entrain de se rappeler les moments passés ensemble, comme ci c'était la dernière fois, je refusais d'entendre ce genre de bêtises venant d'eux, ils sont encore petits, ils ne savent pas ce qu'ils disent ou font.

Samir était déjà là, mama aussi d'ailleurs et même Selma était venu, moi je mise pour que les deux finissent ensemble.
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Le médecin était venu nous donner des nouvelles de sa santé, il devait commencer la chimiothérapie deux jours plus tard, il nous a expliqué les effets secondaires de la chimio', il allait perdre ces cheveux, allait maigrir et allait être fatigué qu'il ne pourra plus être actif comme avant.

On pouvait voir dans le regard de Reda qu'il avait peur mais le fait que je lui tenais la main le rassurer. C'est un petit battant lui, mon petit battant. Aucune larmes ne voulait sortir, rien, que de la peur qui envahissait tout mon corps, le stresse qui me formait une boule au ventre, et la tristesse qui formait un poids au cœurs.

Lorsque le médecin avait finit de nous expliquer ce qu'il allait avoir, tout le monde est sorti de la chambre sauf Moha, on voulait les laisser ensemble. Toujours ensembles, ils ne ce séparent jamais.

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Nous voilà tous dans la salle d'attente à paniquer, à pleurer, Reda vient de faire un arrêt cardiaque lorsqu'il rigoler avec Moha,quant à lui, pense que c'est de sa faute, qu'il aurait pas dû rigoler avec lui, il était tout rouge, il essayé de ne pas pleurer.

Mama était bouleversée, elle pensait que c'était la fin pour lui et la fin pour elle également, Samir c'était évaporé, Selma était en pleure, Aden était sorti. Elias ne pouvait pas rester il devait garder sa petite sœur. Moi ? Je n'arrivais plus a pleurer, je n'arrivais plus a rien, je savais pas quoi faire, mon cœur crier pour que je pleure mais mon cerveau ne recevait pas le message.

Je suis sortie de l'hôpital et je suis aller sur le toit, j'aime cet endroit, il n'y a aucun bruit seulement le bruit des arbres qui bougeaient, nous étions en décembre, déjà, j'allais fêter mes 17 ans, eh oui les fins d'année on souffre. Je pensais pas à faire une « fête » pour mes 17 ans surtout si mon petit frère et entre la vie et la mort.

..: Sarah ?

Je me tourne et mon cœur s'arrêta. Ma gorge se nouât, ma respiration se coupa, il y avait à présent que lui et moi, papa et moi.

Moi: Tu veux quoi ?

Amir (papa): Je suis venu voir mon enfant, mes enfants.

Moi: rire* Toi tu tiens pas à ta vie enfaite, Samir sera là d'ici 5 minutes, tu devrais partir, il ne t'aime pas, tout comme moi et Reda.

Amir: Ta pas le droit de me parler comme ça Sarah, j'suis pas ton copain moi, j'suis ton père.

Moi: Toi t'es mon père ? Toi t'es censé être un père ? Donc toi la, vieux mec que t'es tu te considère comme un père ? Mais va te faire soigner ma parole, t'es pas un père, t'es plus rien pour nous tu comprend pas ? Plus rien, walou, Nada j'dois t'le dire en quelle langue ?