Moi : ferme la et prends tes armes. Je ne suis pas là pour perdre mon temps avec toi.
Sergio : eh ben, tu as pris en confiance depuis le temps.
Ibrahim se tourne vers moi puis me parle en arabe pour que les autres ne comprennent pas.
(Je traduis directement)
Ibrahim : c'est qui celui-là ? Tu le connais ?
Moi : je te raconterai tout plus tard, mais s'il te plaît ne crois pas une seule chose qui sort de sa bouche.
Il hoche la tête.
Sergio : arrêtez moi ses messes basses. Si je suis ici ce n'est pas dutout pour les armes. Mais plutôt pour me venger de la dernière fois.
Moi : venge toi tout seul dans ton coin. Je t'ai déjà dit que je n'étais pas là pour perdre mon temps.
Sergio : ah là là, tu ne comprendras qu'avec la violence toi.
Il se tourne vers les personnes qui l'accompagne puis leur dit :
Sergio : bon, vous savez ce que vous avez à faire les gars hein.
Soudain, ils sortent tous des armes blanches qui ont l'air d'être très tranchantes et dangereuses.
Je prends peur et le stresse monte en moi. Ibrahim attrape ma main puis me dit :
Ibrahim : t'inquiète pas je suis là Maria. Je t'ai déjà dis que je te protégerai coûte que coûte.
Je hoche la tête puis reprend mes esprits. Ils s'approche donc de nous, l'un d'entre eux se rue sur moi en essayant de me planter en plein dans le ventre mais je dégage son armes de sa main avec un violent coup de pied.
Ils sont vraiment plus nombreux que nous. Cinq contre deux. Il est vrai que nous avons un bon niveau en matière de combats, mais quand il s'agit de se battre avec plusieurs personnes sachant que l'on doit aussi veiller sur notre "coéquipier", c'est très difficile.
On se prend donc des coups de partout, ce qui est étrange, c'est qu'ils font attention à ne pas toucher nos points vitaux.
Ibrahim essaie de me protéger à plusieurs reprises et moi aussi. Mais je pense que vous avez compris que l'on a pas pu les battre.
Nous sommes tout les deux à terre avec plusieurs blessures profondes ou moins graves.
Sergio s'approche de nous puis nous menotte à une barre en fer fixer au sol pour qu'on ne s'échappe pas.
Il s'abaisse à mon niveau puis attrape mon visage entre ses mains.
Sergio : mmhh si tu savais à quel point ça m'a manqué de te voir en position de faiblesse.
Il approche son visage de plus en plus. Il était sur le point de m'embrasser quand Ibrahim lui met un coup de pied au visage.
Ibrahim : t'as pas intérêt à la toucher sale fils de p*te.
Sergio me lache puis dit :
Sergio : vous savez jusqu'à maintenant, j'ai été bien trop gentil. Les gars, on passe à la vitesse supérieure.
Ses hommes nous détache puis nous nous retrouvons très vite dans une vieille voiture qui semble être prête à déchiqueté.
Ils nous menottes au plafond de celle-ci pendant que nous essayons tant bien que mal de nous débattre. Je hurle de peur et de douleur. Ibrahim a sombré dans l'inconscience.
Moi : Ibrah ! Ibrah réveille toi putain réveille toi !!
Il reouvre les yeux puis soudain, une grosse machine explose une vitre et soulève la voiture.
Les débris de verre se plante dans ma peau ce qui est très douloureux. Ibrahim aussi s'en ait pris plein le bras et quelques-uns sur le visage.
Il reprend ses esprits puis essaie de faire céder mes menottes sous ses violent coup de pied.
La voiture ce fait reposer violemment au sol. Sauf que nous sommes maintenant près à nous faire aplatir et exploser la cervelle par une machine.
C'est donc pour cela.
C'est donc pour cela que ses hommes ne nous ont pas tué. Ils ont préférés que l'on meurt comme ça.Sergio se rapproche de la voiture.
Sergio : un dernier mot avant de disparaître ?
Moi : t'es qu'un sale bâtard, tout comme ta sœur d'ailleurs. J'vous emmerde, j'vous emmerde tous !
Il souris nerveusement puis appuye sur un bouton qui active la machine. Je les vois tous prendre leurs voiture puis s'enfuir d'ici nous laissant dans un sacré pétrin.
Il est maintenant trop tard. Je n'aurais jamais pensé que je perdrais la vie de cette façon.
Ibrahim : Maria... c'est bon j'ai réussi à t'enlever les menottes. Sors vite d'ici maintenant.
Moi : il n'est pas question que je parte sans toi.
Le plafond se rapproche de plus en plus. J'essaie alors de donner des coups sur ses menottes pour le sauver lui aussi mais on dirait bien que ça ne sert à rien.
J'ai une idée qui me viens en tête.
J'espère plus que tout au monde que cela va marcher.Moi : Ibrah, attends moi, j'ai une idée qui pourrait nous sauver la vie.
Ibrahim : dépêche toi alors, je veux vraiment pas mourir comme ça.
Je lui souris en retour. Puis dépose un baiser sur ses lèvres. Et oui. Mon premier baiser.
Moi : je t'aime mon amour.
Je me dépêche vite d'ouvrir une des portières. Je sors très rapidement puis appuie sur le même bouton que Sergio tout à l'heure.
La machine s'arrête.
Je me précipite vers la voiture qui a maintenant arrêté de s'écraser.
Je tape de toute les force sur la voiture.
Moi : Ibrah, tu m'entends ?
Aucune réponse.
Moi : Ibrah ? Réponds...
Je me laisse tomber par terre et m'éfondre en larmes.
Après quelques instants, je sens une main sur la mienne.
Je relève la tête puis m'aperçois que c'est Ibrahim.
Moi : Ibrah ?
Je me relève difficilement puis le serre très fort dans mes bras.
Moi : j'ai eu tellement peur pour toi.
Il rit pour détendre l'atmosphère puis me dit :
Ibrahim : tu pensais vraiment que j'allais t'abandonner aussi facilement.
Il essuie mes larmes avec ses pouces puis m'embrasse. Mon estomac vit sa meilleure vie actuellement. C'est dingue comme je me sens bien avec lui. On se détache l'un de l'autre puis je détourne le regard à cause de la gêne. J'imagine qu'il va falloir que je m'y habitue.
Il prend mon menton entre son pouce et son index de sorte à ce qu'on se regarde dans les yeux.
Lui : je t'es entendu, moi aussi je t'aime.
![](https://img.wattpad.com/cover/364570755-288-k612524.jpg)
VOUS LISEZ
The Secret 🥀
ActionDans cette histoire il y aura notre protagoniste Maria Hamdi, une jeune fille de dix-huit ans au caractère doux, mais aussi dotée d'une intelligence et d'une maturité sans faille. Celle-ci vivait avec ses parents, son grand frère et sa petite sœur...