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Point de vue inconnue :

Je me lève ce matin de très bonne humeur. Je m'étire avant de me lever, de mettre mon peignoir en soie et d'aller me debarbouiller dans la salle de bain de ma chambre.

J'entends quelqu'un toquer à la porte. Je vais donc ouvrir et je tombe nez à nez sur ma gouvernante.

Elle : bonjour mademoiselle *sourire* votre père vous attend dans son bureau.

Moi : bonjour *sourire* très bien, merci de m'avoir prévenu. Dites-lui que je me prépare et que je le rejoindrai juste après.

Elle hoche la tête tout en souriant puis s'en va.

Je m'habille donc d'un haut noir à manche longue avec un col. Je mets un jean gris clair. Et enfin, je mets des bottines à talons noires.

Je fais une simple queue de cheval haute. Je me maquille légèrement : mascara, liner, crayon à lèvres puis gloss.

Je sors de ma chambre enfin prête. Je me demande bien ce que mon père veut. Le connaissant il va sûrement m'ordoner d'aller gacher la vie d'une personne qui m'est totalement inconnue.

Cet homme. C'est la cruauté à l'état pur.

Je toque à la porte de son bureau et l'ouvre après avoir entendu un "entrez".

Papa : bonjour cariño (chérie), bien dormi ?

Moi : qu'est-ce que tu veux ? *froidement*

Son faux sourire disparaît puis il fronce les sourcils.

Papa : change immédiatement ta façon de me parler. *sec*

Je croise les bras autour de ma poitrine et m'adosse au mur. Je lui fais mon plus beau sourire puis lui dit de manière ironique :

Moi : bonjour papounai pourquoi est-ce que tu voulais me voir ?

Je reprends mon air de fille froide puis il me répond.

Lui : j'ai un ami en Colombie qui a besoin d'un service. Il aurait besoin de quelqu'un qui a les mêmes capacités que les tiennes.

Depuis quand est-ce qu'il rend des services celui-là ?

Lui : il m'a proposé une grande somme d'argent.

J'me disais bien qu'il y aurait un contre parti.

Lui : alors tu as intérêt à bien faire le travail sinon tu sais ce qui pourrait t'arriver.

Je n'ai nulle l'envie de me faire tabasser par ses hommes encore une fois. Alors pas le choix, je me dois d'accepter.

Moi : donne moi plus de détails sur cette mission.

Lui : tu dois kidnapper une fille. La ramener à mon ami et t'assurer qu'elle ne lui échappe pas jusqu'à ce qu'il aura fini ce qu'il veut faire d'elle.

C'est totalement faisable. Je ne sais pas pourquoi mais il m'a l'air tendue.

Moi : très bien. Pourquoi t'es tendu comme ça ? On dirait que je vais kidnapper la fille du président.

Lui : on peut dire ça. Cette fille c'est celle du président du monde du crime. Le pire de tous. Si tu te fais chopper, je ne pourrais rien faire pour toi.

Comme d'habitude. Que tu le peux ou non, tu n'es jamais là pour moi.

Moi : comment elle s'appelle ?

Lui : Maria. Maria Hamdi.













Quelques heures plus tard...












Ça doit faire au moins 10h que je suis en route pour la Colombie dans le jet privé de mon père. Je suis allé là-bas une ou deux fois avec ma mère quand j'étais petite. J'ai de vagues souvenirs, voire pas dutout.

La fille que je dois kidnapper m'intrigue. Selon mon géniteur, c'est celle d'un grand criminel très crain. Alors pourquoi s'en prendre à quelqu'un de plus fort ? Il risque d'avoir de sérieux problème et de m'entraîner la dedans..

Pilote : mademoiselle, nous sommes arrivés.

Je récupère ma valise et remercie le pilote avant de sortir.

Comme prévu, je suis accueilli par un des hommes de ce fameux "Epifagno".

L'homme : Bienvenido señorita. (Bienvenue mademoiselle)

Je lui fais un signe de tête tout en souriant puis je le laisse mettre ma valise dans le coffre, tandis que je pars m'installer dans la voiture.

J'envoie un message à mon père pour lui dire que je suis arrivé.













Quelques heures plus tard...












L'homme ma ramené dans un hôtel où je vais passé mon séjour. Epifagno m'a fixé un rendez-vous au restaurant de l'hôtel pour parler de l'affaire.

Pour "l'occasion", j'opte pour une robe noire longue et moulante. Ses bras sont nu. Je mets quelques accessoires, des sandales noires à talons, un léger maquillage et le tour est joué.

Je le retrouve donc accompagné d'un jeune homme qui à l'air d'avoir mon âge

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Je le retrouve donc accompagné d'un jeune homme qui à l'air d'avoir mon âge.

Cet Epifagno est charmant mais je sens qu'il n'est pas très nette. Alors que le jeune homme à ses côtés, inspire la bonté et la bienveillance.

Epifagno : enchanté mademoiselle *il me sert la main* je savais que Julio avait une fille mais je ne savais pas que vous étiez aussi belle.

Moi : *rire géné* merci c'est gentil.

Le jeune homme se lève puis me sert la main aussi.

Epifagno : je vous présente mon fils, Ibrahim.

The Secret 🥀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant