Ⅰ : peonia

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Due ore, après-midi institution Maria, Italie.

Lyra smith.

La vie ne tient qu'à un fil, ma main contre ta joue ne tient qu'à un fil.

La pire épreuve, c'est d'être ignorée.

...

Le silence de mort dans ce cours d'italien, sirine qui me raconte les nouvelles rumeurs sur moi. Alexander mon ancien plan, charmeur, populaire, mais nul au lit essaye d'attirer mon attention. Je lui souris tendrement avant de lever les yeux au ciel vers Serena.

- Pathétique.

- Il a espoir, que veux-tu, me répond-elle.

- il a espoir en sa minibite, répliquai-je.

Des rires se faisait entendre avant que le regard d'Alexander croise le mien, vu sa tête cette phrase a déjà fait le tour de la classe. J'approche ma main devant moi avant de lui faire un doigt d'honneur.

- Les vérités ça se dit, explosai-je de rire.

Les rires qui d'entouré l'ensemble de la classe, à la sonnerie. Je me lève tout doucement.

Mon corps de sportif, mon pantalon taille basse qui moule bien. Mon haut qui laisse voir mon piercing, malheureusement la veste de sport à l'insigne du lycée coupe ce style.

Parfait. Je suis parfaite.

Mes pas dans ces couloirs, pendant que mes cheveux roux passe près de ma taille. Les regards sont mon univers, plus on te regarde de jalousie plus ta réussie.

Les regards de ces filles qui se collent au casier en pensant qu'elles peuvent me rassemble, les regards des chiens en chaleur qui pensant vraiment avoir une chance avec moi.

Alexander est l'exception, il est riche, beau, charmant, populaire juste une  petite bite.

- Salope, entendai-je crier derrière moi.

Mon corps se retourne vers l'origine du bruit, ce mec ce blond aux yeux bleus qui pourrait faire tomber tout le monde. Ce même mec qui vient de se faire humilier me traite de salope. Un rictus sortir de mes lèvres avant que je ne dise.

- Salope est fière de l'être petite bite.

Les cris de stupéfaction et des bruits d'animaux de ses potes, me font sourire. Malheureusement pour toi, t'a attaqué à plus fort que toi. Je souffle avant de reprendre mon chemin vers la sortir.

Serena se met à l'arrière de la voiture pendant que sirine côté conducteur, et moi en dernier à ses côtés. Le bruit du moteur et de l'accélération en laissant une trainer de fumée derrière nous.

Le bruit de la musique dans l'air, pendant que Serena chante à tue-tête. Sirine qui double l'ensemble des voitures pendant que je refais ma manucure.

On vous doit des explications.

Les SSL, sirine, serana et lyra les filles des groupes les plus importants de cette ville paumée en Italie.

Serena cette femme, danse classique qui éblouie tout le monde qui après son bac va rentrer à l'opéra de paris. Sa mère est la directrice d'une marque de vêtements, son père est un ambassadeur étranger qui n'est jamais là.

Ses cheveux blonds très clairs, ses courbes de danse, ses yeux bleus parfaits. Cette femme est cette Barbie qu'on a envie d'attaché pour qu'on l'observe.

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