Ⅷ : feu

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Ore 8, (8 heures du matin)  Casa Smith( maison smith), Italie

érebe.

putain que je la déteste. 

mais ces larmes sont mon arrêt de mort dès que je les vois.  

...

Le sol froid contre mes jambes, mon corps qui monte et descend jusqu'au sol. Les gouttes de sueur qui se frayer un chemin jusqu'à arriver à terre, mes cheveux roux coller à mon front.

Mon regard qui se dirige vers l'horloge, six heures trente pas une minute de plus. Le bruit de ses pas dans le couloir jusqu'à la salle de bain en fredonnant une chanson débile.

Lyra Smith, cette rousse qui se lève toujours à la même heure avant de chanter sa chanson du soir. Ses pieds qui se frottent sur le couloir synonyme qu'elle est crevé.

Un toquement inhabituel vient toucher mon tympan, mes yeux qui se lèvent pour croiser son regard bleu, une serviette qui cache son corps.

Ses cheveux roux mouillés qui laisse une trainée d'eau sur son cou, son sourire de mauvaise sur le visage.

- Dépose-moi, Arque-t-elle un sourcil en regardant mon corps.

Ses joues se teintent d'un rouge minime comme si elle voulait cacher que ça lui fait effet. Des passages d'autres années me reviennent, mais toujours cette image de ces yeux bleus, du sang sur ses joues me revient.

- On ne doit pas arriver ensemble, Me levais-je.

- Je fixe les règles s'ils ne sont pas contents, je les emmerde.

- Sauf que moi, c'est mon boulot.

- Draguer des lycéennes, quel boulot.

Elle lève ses yeux au ciel avant de rire franchement, elle se tourne pour partir avant de prononcer d'un air moqueur.

- Ne joue pas trop près du feu, tu pourrais te brûler.

- Un coup d'eau et le feu disparait peonia.

Elle part sans rien ajouter juste le bruit de sa porte qui se claque fort et les cris de lyra au téléphone. Je suis insupportable donc ? Intéressant pour une connasse qui se croit tout permis. Si je veux arriver à l'heure pour mon premier cours, direction la douche.

L'eau dans mon dos qui glisse, le savon qui se bloque sur mes cicatrices de balles. Mon collier avec mes plaques, la seule chose que j'ai gardé de mon service en même temps que les fantômes et souvenirs des gens décédés.

Les souvenirs de mes cris dans la boue à crier à mes débuts, car j'avais peur de la mort, maintenant je suis devenu la mort.

Cet être qui n'existe pas, mais qui tue sans attendre, les regards de détresse des femmes présentes sur le site ou j'ai été placé.

Les cris d'enfant avec le bruit des bombardements, celui de la peur dans mes entrailles.

La mort tue, comme la vie.

Un moment, le souvenir d'une fille à lunettes entrain d'embêter le reste du groupe. Elle sourit en tournant entre nous trois.

- Erebe. Prononce-t-elle.

Ses yeux qui parler de l'amour, mais son cœur criait à la mort, j'ai préféré oublier.

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