Ⅳ:lyra

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ore undici (onze heures), institution maria, Italie.

érebe.

Les personnes changent des fois pas de la bonne façon.

les souvenirs me manquent.

...

Le bruit des balles qui ont été remplacé par des pimbêches à peine majeures qui se trémousse devant moi avec des yeux doux.

Mon sifflet entre mes mains, en regardant la femme qui rythme mes pensées malgré la haine que j'ai pour elle. Son short noir avec son t-shirt blanc crop top qui rigole à gorge déployée d'une jeune fille.

- La pimbêche, au lieu de rire comme une grenouille. Trois tours de terrains en plus, Hurlais-je vers elle.

Elle se retourne, ses yeux dans les miens. Son sourire cloué aux lèvres, elle lève ses bras. Son ventre découvert, au point que la fin de son soutien-gorge se fait voir.

- Bien sûr professeur, Lâche-t-elle un rire amusé quand mes yeux ont suivi son t-shirt qui se lève.

Elle me nargue. Les chuchotements reprennent de plus belle, il suffit d'un rire, un sourire ou une phrase pour que tout le monde soit sur la même chose.

Lyra.

Cette femme qui a les regards les plus envieux, les plus cruels et la jalousie qui se déployer peu à peu. Elle se met à courir en souriant, les regards des hommes qui aimerait un jour finir dans son lit l'a suivie.

Mais son regard est rivé sur moi comme pour m'énerver.

Je n'ai pas dit que cette semaine en tant que prof est dur bien au contraire, lyra est une attraction à elle seule.

- Lyra va te mettre las bas, je ne te veux pas dans mon cours.

Elle soupire avant de me faire un doigt et sortir une cigarette en me regardant pour voir si j'allais hurler. Son briquet qui touche le bout de la cigarette pendant qu'elle me nargue avec ses yeux.

Mais dans ses yeux, une douleur persiste. Une infime lueur qui prouve qu'elle a de l'empathie, mais je n'arrive pas à la supporter. Ces grands airs de miss parfaite, son sourire faux sur ses lèvres, ses artifices sur son visage alors que je l'ai connu avec des lunettes sur le nez à rêve de liberté.

En un an, lyra à changé comme le reste de la vie. Tout tourner autour d'elle, sur ses gestes, ses paroles, son âme. Elle est le centre de cette ville alors qu'il y a quelques mois, les livres étaient son monde.

Pourquoi tu étais au poste de police hier ? Pourquoi ta changée autant en un an peonia.

Je te regarde, mais je ne vois plus rien de la vraie lyra, juste une pétasse avec des trucs courts qui se balade en étant une sorcière.

- Ta clope lyra, Rétorquais-je à deux doigts de perdre patience même si au fond ça me fait rire légèrement.

Elle se tourne vers moi avant de prendre ma main, tire un coup sur la cigarette est me la mettre dans ma main.

- Tu ne devrais pas avoir mal, t'a connu pire, Dit-elle amusée.

- Ne joue pas à ce petit jeu.

Un silence règne pendant que nos yeux sont liés, je me laisserai ne pas avoir par une gamine prétentieuse.

- Quoi que tu fasses, je dirige ici monsieur le prof de sport, Se moque-t-elle.

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