venti ore quaranta (20 heures quarante), maison smith, Italie.
Lyra.
j'ai cherché à me sauver
Mais j'ai préféré sombrer pour mieux régner.
...
Mon visage dans le miroir, mes cheveux roux sur mes épaules dénudées. Ce haut rose pâle qui laisse voir mon piercing, mon pantalon taille basse.
Mes converses au pied, je descends l'escalier avec mon sac à main en fourrure dans une main, je passe à la cuisine prendre une pomme pour qu'on ne m'embête pas.
- Je te dépose peonia, Prononce une voix.
Je lève mes yeux au ciel avant de me tourner pour le regard, une chemise blanche avec un pantalon noire. Un manteau marron sur ses épaules, un clope dans le bec.
- Tu ressembles vraiment à un prof.
- Tu ressembles vraiment à une pétasse.
Un sourire sur mon visage, je passe devant lui avant de prendre ses clés.
- Je conduis monsieur.
- Tu vas sortir comme ça, il pleut, Me regarde-t-il.
Mes pas vers lui avant de prendre sa veste, je le regarde avec des yeux de biches.
- Maintenant, c'est réglé, Pouffais-je de rire. On y va, je suis en retard.
Il souffre avant de prendre un autre manteau, me le tend.
- Sale vieux jeu.
- C'est ta mère la vielle, Réplique-t-il.
- Tu t'es senti offensé érebe,. Appuyais-je sur son prénom.
- Tu es insupportable.
- Et toi trop toi, mais moi je ne me plains pas.
Erebe sort sans répondre.
1-0 érebe
Mon corps sur le siège conducteur, il continue de fumer sa clope silencieusement. Une chose est sûre, c'est qu'il est beau, mais qu'il a vraiment un sale caractère. Ses cheveux roux bien coiffé, son air renfrogné et sa clope sur ses lèvres beiges voir rouge.
Un souvenir me rattraper dans ma mémoire, lui assit sur son lit. Mon corps en face de lui à pleurer, car il part encore pour un an, mes lunettes sur le nez qui tienne plus à cause des pleurs.
Son regard impuissant, mais un moment ses lèvres ont touchés, les miennes. C'était juste un simple baiser comme tout, mais c'était le premier que j'ai eu qui était réel.
Ses mains sur mes hanches, avant qu'il ne m'embrasse le front, mon pull grand qui lui appartient. Son sourire niais sur le visage. On n'était pas amoureux bien au contraire, on ne s'aimait pas, mais j'étais la petite sœur de son pote.
Oui, c'est un mensonge, mais si je ne dis pas la vérité qui va dire quoi ?
- Sucette, Dit-il en me présentant sa sucette sous le nez.
- Le tétanos, tu connais, Fais-je une grimace.
- Je n'ai pas de mal, à ce que je sache les meufs avec qui je couche ne disent rien.
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Fiksi Remaja𝒂̀ 𝒕𝒐𝒖𝒔 𝒄𝒆𝒖𝒙 𝒒𝒖𝒊 𝒔'𝒆𝒏𝒇𝒆𝒓𝒎𝒆 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒍𝒊𝒗𝒓𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒇𝒖𝒊𝒓 𝒍𝒂 𝒓𝒆́𝒂𝒍𝒊𝒕𝒆́ 𝒂̀ 𝒕𝒐𝒖𝒔 𝒄𝒆𝒖𝒙 𝒒𝒖𝒊 𝒐𝒏𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒂𝒓𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒂𝒃𝒔𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒑𝒓𝒆́𝒔𝒆𝒏𝒕𝒔, 𝒂̀ 𝒕𝒐𝒖𝒔 𝒄𝒆𝒖𝒙 𝒒𝒖𝒊 𝒔�...