PROHIBITION

ⅩⅩⅣ : vivre

ore 14.00, casa smith, italia. 

érebe. 

la dépression détruit ma vie. 

mais pourquoi tes lèvres s'éloigne de moi aussi vite ? 

...

La dépression, cette maladie qui est devenue une mode dans la vie en généralement alors que c'est une maladie cruelle pour ceux ou celle qui sont face à elle. C'est une maladie ou tu es l'ombre de toi-même, elle réagit différemment chez certaines personnes mais elle perturbe la vie quotidienne, l'hygiène, l'humeur et le sommeil.

La dépression qui est romantiser n'est pas la vérité, je vais parler de mon cas. La dépression m'empêcher de penser à autres choses que la mort, les médicaments pour le sommeil, l'anxiété, la fatigue, l'estime de soi qui s'envolent, la motivation qui nous empêche même de se laver.

Cette maladie n'est pas un cadeau et sûrement pas un trend, tu peux être déprime mais être dépressif non, le besoin de consulté un psychologue pour ce fait diagnostiqué est important.

Non être déprimer juste une semaine sur deux n'est pas être dépressif, être dépressif est une maladie qui dure longtemps, qui disparait avant de revenir à n'importe quel moment.

Mon regard qui fixe la mère de lyra depuis quelques minutes, ses pilules qui passent sa gorge comme si s'était devenu son quotidien et qu'elle restera à vie avec elle.

—  Tout va bien ? toujours ses trois mots qui sonne faux.

Un sourire toujours parfait, des cheveux parfaits, un rouge parfait sur les lèvres rien qui ne bouge de l'ordinaire.

— Tout va toujours bien, son verre de vin qui claque la table basse. Ta pu ramasser toute tes affaires ?

 —  Oui.

Et bien plus, l'ordinateur cacher dans l'armoire de lyra qui est enfermer dans mon sac de sport, cette fille veut mourir mais veux aussi réussir. On peut dire que les deux, non aucun rapport alors que si. La réussite avant de mourir est un bon moment de garder une trace imposante dans l'esprit des personnes.

Malgré la façon de faire qui est similaire à un meurtre pour un rien. Mes pas dehors, mon corps qui monte dans la voiture. Mon sac sur le siège direction cette appartement ou la vérité sur toute ma famille y résident.

Quand je passe les portes du bâtiment, un mauvais pressentiment autour mes sens, mes pas dans l'ascenseur. Ma main contre l'arme derrière mon pantalon, dans cette ville même la propre mairie peut-être ton ennemi si tu fais gaffer.

Vos mieux avoir vos ennemis en amis que l'inverses, car vos amis connaissent vos faiblesses.

Mes pas claquent dans le couloir, ma main sur la poignée de porte. Ma porte a été forcé avec une agilité hors pair. Je pousse la porte avant de la refermer derrière moi. La noirceur complète accompagne le silence de mort du couloir de chez moi.

Un souffle doux mais reconnaissable, je dépose mon sac avant de me rapprocher du bureau avant d'entendre une voix glaciale.

— Tu voulais me voler ?

Un sourire se place sur mes lèvres, c'est drôle comme situation. Ses cheveux roux qui glissent sur ma chaise de bureau, ses yeux qui m'assassine. Ses jambes poser sur mon bureau, mes documents à terre.

— Tu voulais me baiser ?

— Si je le voulais vraiment, j'aurais utilisé la vraie option.