Amoureuse d'un mafieux

Partie 18

Je me retrouve actuellement dans une salle d'attente avec Adam et Léo. Après avoir vu les garçons arrivés, Adam et Léo ont pris en charge Théo pour l'emmener à l'hôpital. Je suis allée déposer les jumeaux chez eux, en inventant un mensonge à Tata pour pas qu'elle s'inquiète.

Je suis énormément stresser. Mais que lui est-il arrivé aussi grave pour être dans cet état ? Léo n'a pas dit un seul mot depuis qu'ils ont pris Théo au bloc. Adam il a disparu je ne sais où et puis ce n'est pas lui qui m'inquiète en ce moment. Pourquoi j'ai fais ce plan de merde et abandonner les jumeaux ? Je m'en veux tellement.

Je continue de me masser les tempes quand une main se pose sur mon épaule. Je lève la tête et voit que ce n'est que Adam.

Adam : Ça va ?

Je me redresse de la chaise en prenant le café qu'il me tend.

Moi : On va dire que oui. Je lui fis un faible sourire.

Léo toujours assis sur sa chaise ne bouger pas.. Je voulais tellement le prendre dans mes bras et lui dire que je suis là.. Maintenant. Mais je n'ai pas joué mon rôle de grande soeur, je pense qu'il m'en veux.

La porte s'ouvre et laisse entrer.. Mon père !

Papa : Adelaïde ?

Moi : Papa ?

Il court et me serre dans ses bras. Je lui serre également dans mes bras. Léo à enfin lever la tête et nous a regardé vite fais. Je me sens mal.

Papa : Qu'est ce qui t'es arrivée dans ta petite tête d'imbécile là ? Il ma dit cela en me donnant une petite claque dans la tête.

Moi : Mais papa.. Je voulais te venger.. J'ai même pas fini ma phrase qu'il m'en redonne une.

Papa : La prochaine fois que tu fais une choses aussi absurde. Je te jure que tu va oublié la couleur du soleil.

Il était vraiment autoritaire. J'ai eu des frissons dans le dos.

Papa : Bon.. Léo que c'est il passer ?

Léo : Théo c'est fais poignarder par je ne sais qui et on était pas loin de la villa donc je suis venus directement là bas.

Mon père se mit à réfléchir en faisant les cents pas.

Moi : Arrête de marcher papa ! Tu ne fais que stresser tout le monde.

Adam : C'est vrai Robert...

Papa : Vous deux la ferme ! Il nous a regardé droit dans les yeux en disant cela.

Moi : Ce n'est pas une raison..

Papa : Une raison pourquoi Adelaïde ? Pour parler ainsi ?

Adam : Bien sur Robert.. Ce n'est pas une raison... Mon père lui coupe encore la parole.

Papa : Toi tu la ferme pour de bon ! Pourquoi tu ne dis pas à Adé ce qui c'est passé pendant ces deux années hein ?

Je me tourne vers Adam et il est devenu tout pâle.

Adam : Je lui est tout raconté !

Papa : Même celle que tu as mise enceinte ?

Le choque totale ! Mon café est tombé de mes mains et je me suis tournée vers Adam pour lui faire face.

Adam : Oh.. Euh.. Ça..

Moi : ÇA QUOI ? T'as intérêt de parler pour ta race parce que sinon je te défonce là maintenant.