Partie 36

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Nous sommes actuellement tout les quatre dans ma chambre à l'hôpital, un silence de mort se pèse sur nous. Mon père qui fait les cents pas, Adam qui n'arrête pas de bouger la jambe droite en ayant les deux bras croisés et tandis que Karim lui a le regard dans le vide. Mais que ce passe-t-il réellement ?

Moi : Pourquoi êtes-vous aussi stresser ? C'est pas la première fois que je reçois une balle !

Papa : C'est bien ça le problème.. *il soupire* Voilà, j'ai un ennemi du moins.. C'est Karim qui a un ennemi.

Moi : Mais c'est quoi votre lien à tout les deux ? Toi et Karim ?

Karim : Autrefois.. Je travaillais pour ton père, bien avant de rencontrer ta tante et depuis je me suis ranger pour ne plus être dans le biz'.

Il a intérêt.

Moi : Ah ouais quand même et donc ? Vas-y continue.

Karim : Un jour, j'ai dû aller voir un mec qui devait de l'argent à ton père.. cela remonte à des années. Du coup, comme il voulait pas rendre l'argent à ton père, j'ai tué toutes les personnes présente dans sa maison et emmener sa fille dans une bonne famille car j'avais un ami en Angleterre qui avait du mal avec sa femme pour avoir des enfants.
Je vivais pour les ordres de ton père, je pouvais même prendre une balle pour lui ou pire tuer n'importe qui même si il me demandait.

Putain.. le mec c'est un taré de ouf. Comment j'ai pu laissé tata faire des gosses avec ce fou ! Il peut même tuer tata si elle ne lui fait pas à manger... sur la vie de ma mère, je lui fais sa peau.

Adam : Qu'est il arrivé au gars ?

Karim : Il a disparu mais là, il est venu pour me tuer mais aussi ma famille.

Sa famille ? C'est nous sa famille !

Moi : Là ça devient vraiment dangereux ! Papa on fait quoi ?

Papa : Déjà toi pour commencer, tu fais rien. Tu ne peux pas bouger, c'est bon les gamineries faut arrêter un moment. Aujourd'hui, tu as des responsabilités, tu as le fils d'Adam.

Adam ne dit rien et regarde par terre. Le bébé commence à pleurer, il l'emmène dans le couloir pour le calmer.

Karim s'assoies sur mon lit.

Karim : Je sais que tu as envie de te battre pour nous enfin ta famille.

Je me redresse et prend sa main droite.

Moi : Tu es ma famille Karim.

Il me sourit et m'enlace. C'est vrai, vous allez dire que je suis folle car il tue des gens patati patata et moi ? J'adore le danger ! Je vais pas dire au point de kiffer de tuer des gens parce que vraiment c'est pas ce que j'aime le plus.

Papa : Il faut que je place mes hommes près de ta porte et que je place ta mère ainsi que ta tante en lieu sur.

Moi : Je ne pas partir avec eux moi aussi ? Parce qu'ici le mec il risque de tuer tout le monde.

Papa : Effectivement, tu as raison. Je te laisse, je vais dire à ton médecin que tu ne pas rester ici.

Il part et Karim sort car il a reçu un appel et moi je reste là seule comme une conne. Je décide de prendre mon phone pour avoir des nouvelles des filles. Je ne leur dis pas que je suis a l'hôpital mais leur envoi quelques snaps.

Ah.. un nouveau message.

" Même quand tu dors, tu restes aussi charmante. J'espère te revoir très vite. E. "

Amoureuse d'un mafieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant