Amoureuse d'un mafieux

Partie 8

Il s'avance vers moi en fureur, les autres me regardent avec inquiétude. Moi je stressais comme une malade, pourquoi il réagit comme ça ? Je bougeais pas d'un poil, il continuait de s'avançais et s'arrête net face à moi. Son trajet ma parut long, super long même.

Adam : Adélaide suis moi.

Sa voix était dur et froid. J'ai eu des frissons dans le dos quand il a prononcé c'est quelques mots. Je le suivis sans dire un mot sous le regards de son " gang ". Il m'emmène en dehors de la villa et se dirige vers sa Chevrelot Camaro de couleur blanche. Il avait bon goût quand même, j'entre avec quelques hésitations. Puis je m'installe à peine qu'il démarre direct et sort en dehors du jardin de la villa.

Nous voilà près d'une heure sur cette route déserte, il ne m'as pas adressé un mot. Son visage était dur, il avait était vexé par quelque chose enfin je crois. Je sortit de mes pensées en m'endormant avec le magnifique bruit de cette chevrolet.

-- Éclipse du trajet --

La voiture ne bougeait plus, donc je conclut qu'elle s'était arrêté. Je me réveille en douceur et voit que je suis seule dans la voiture en face d'un petit restaurant. J'ai eu un hic, je suis toute seule dans la voiture et je ne vois pas d'Adam dans les parages. Pourquoi pas s'enfuir ? Après tout j'ai rien à perdre. Je détache ma ceinture et juste au moment où je décide d'ouvrir la portière, celle ci ce déverrouille. Je me redresse vite fait et compris que Adam avait ouvert la voiture.

Adam : Tu as cru que je t'aurais laisser partir comme ça ? * en faisant un rire nerveux. *

Il rentre dans la voiture et s'installe sur son siège. Dans ces mains il y avaient deux sachets de nourriture, avec l'odeur j'ai pu constaté qu'il y avait des frites et des hamburgers. Ça parfuma toute la voiture donc il ouvrit les vitres. Après avoir mis sa ceinture, il démarre et prend une auto-route. Le trajet était trop silencieux donc je décide de parler.

Moi : Pourquoi ?

Adam : Pourquoi quoi ?

Moi : Ben tu fais tout ça ?

Adam : Que je t'explique, tu peux pas rentrée chez toi comme ça. J'ai encore besoin de toi.

Moi : Pourquoi t'as besoin de moi ?

Adam : Ben... comment t'expliquer... ton père il travaille dans quoi au juste ?

Non mais ce mec se fout complètement de ma gueule ! Je rêve n'est ce pas ? J'ai jamais vu ce genre de personne de toute ma vie. Je le regarde l'aire choquer mais lui il me fit un beau sourire et même il commença à rigoler de plus belle.

Adam : Ahahahahah.. Si t'aurais vu ta tronche.

Moi : Bref, pourquoi mon père il t'intrigue autant ?

Adam : Tu le sauras un jour mais tu n'es pas encore prête pour savoir.

J'allais lui répondre mais il mis la radio et monta les vitres. On s'arrêta en haut d'une colline qui avait vu sur toute la ville. C'était magnifique à voir. Il descendit de la voiture en prenant les sachets et me fait signe de tête de le suivre. Je sortis donc à mon tour en fermant délicatement la portière et le suit.

On se dirige vers un kiosque illuminée avec les poteaux éléctriques, en dessous il y avait une table bien décorer, il y avait une chandelle ainsi que deux assiettes avec des couverts ainsi que les verres.

Adam : Suis moi je vais déposer ces sacs.

Je le suis toujours, en contournant ce magnifique kiosque et on se dirige vers une maison tout au fond de la forêt qui se situe sur le haut de la colline. J'avais peur de l'endroit et Adam a du le voir. Il s'approcha de moi et me prit la main en continuant d'avancer. Ce contact m'as donner mille frissons qui me parcouru le corps. Ce qui lui fit rire, il m'énerve quand il est comme ça. On arrive en face de la maison qui est assez grande pour avoir au moins trois chambres.