Chapitre 8:

6.8K 164 950
                                    

Point de vue Ilyes:

Je suis sur la route, je compte pas rentrer chez moi tout de suite. Je prend la direction de la forêt pour aller a la villa ou je bosse.

Je suis chef d'un gang de drogue et d'arme. Comme tous les mecs presque.

Bref je suis le chef et j'ai un gang assez grand. On est environ 60 hommes au total. Mais franchement, j'en est que 2 qui sont mes gars sur.

Le premier c'est Adem, il a 21 ans comme moi et c'est le plus con de nous trois. Il est grand, matte de peau, c'est un marocain aux yeux marrons et aux cheveux bouclés. Il est toujours là à foutre la merde et à me soûler.

Le deuxième c'est Fares, lui aussi a 21 ans. Il est kabyle, il est assez blanc de peau et à les yeux marrons. Lui c'est plus un mec posé qui réfléchit et qui se fait pas trop remarqué.

Bref je vous les présente parce qu'il seront beaucoup là dans la chronique. Du coup je roule jusqu'à cette maison dans laquelle certain de les hommes dorment, c'est notre repère quoi.

J'arrive et je vois qu'il n'y a que Adem et Fares.

Adem: Ilyes ma viiiie tu m'as manqué !

Moi: Oh t'a gueule chui parti y'a même pas 1h.

Fares: Alors, ça c'est bien passé avec ta hlel.

Moi: Fares, je t'aime bien mais c'est pas ma hlel. C'est juste « ma femme » de titre, et non on y est pas allée.

Adem: Chui sur elle t'a fuit quand elle a vu t'a gueule de pervers,

Moi: Adem, wallah t'a gueule avant que je te nique ta race.

Il lève les mains, signe d'abdication.

Fares: Sinon Ilyes, j'ai de mauvaises nouvelles.

Moi: Y'a quoi encore ?

Fares: Je sais pas c'est chelou. Enfaite euh... comment dire....

Adem: Y'a Khalil qui sait que tu vas te marier .

Moi: Pardon ?

Adem: Je te pardonne hbiba t'inquiète pas.

Je lui met une baffe dans sa gueule.

Adem: AIEEEEUUU ILYES TU M'AS FAIT MAL !

Moi: Pleure tu pisseras moins. Mais c'est quoi cette histoire là ? Comment il sais même personne n'est au courant ?

Fares: Je pense qu'il a y une taupe dans le gang.

Ça c'est la nouvelle de trop. J'avais les nerfs. Je mets un gros coup de poing sur la table.

Adem: YA RABI UN JNOUN (diable).

J'écoute même pas la fin et je me casse. Je rentre chez moi.

Point de vue Nour:

Chronique de Nour: un amour forcé, devenu sincère. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant