Chapitre 29:

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Vers les 20h on a entendu la porte sonner donc je suis partie ouvrir.

Ils forçaient avec la sonnette, donc ça m'a vite énervée.

Moi: J'arrive calme.

Ils continuent à sonner autant.

Moi: J'ARRIVE PUTAIN !

Ils ne s'arrêtent pas. Alors j'ouvre la porte violemment et je dis:

Moi: OW J'AI DIT J'ARR-

J'ai direct reculer de quelques pas en ne voyant pas Sofiane et Ismael mais...




















Un groupe d'une dizaine de mecs tous bien musclés et avec un air effrayant. Je me suis sentie oppressée et..en danger...

Moi: Euh, vous êtes qui ?

Ils me fixaient tous comme s'ils allaient me dévorer, mon stress s'est décuplé. Putain pourquoi toujours moi !

Un mec: Il est là Ilyes ?

Putain Ilyes tu peux pas connaître des gens normaux ?

Moi: Euh oui, je va-

Il m'a poussé et ils sont tous rentrés sans mon accord.

Moi: Vous faites quoi la ? Je vous ai pas dit oui pour rentrer.

Ils m'ont refixés mais comme s'ils allaient me tuer, j'ai direct fermé ma bouche. Bah oui en même temps juste un aurait pu me défoncer vu comme ils étaient musclés.

Ils se sont dirigés vers le salon et quand ils ont vus Ilyes, ils se sont mis à sourire. Pas un sourire normal non, un sourire de psychopathe. Je regarde Ilyes est je le vois les poings serrés, les sourcils froncés avec sa veine du front qui ressortaient. Ses bras étaient tellement contractés qu'on pouvait voir ses veines. Il faisait peur, très peur. D'ailleurs Adem et Fares étaient dans le même état (sauf qu'eux n'avaient pas les bras contractés comme monsieur).

Je regardais toujours Ilyes et d'un coup il a explosé de rire mais un rire TRÈS nerveux.

Ok y'a clairement un truc qui va pas. C'est qui ces mecs ?

Ilyes: Ah ouais ? Vous voulez la jouer comme ça ?

Un mec: C'est toi qui a commencé Ilyes, maintenant tu vas assumer.

Je comprenais rien à la situation, mais je savais que ce qu'il allait se passer n'allait pas me plaire. Il va encore se passer un truc et je vais encore souffrir mais là, Lilya et Chaïma sont là aussi.

Point de vue Adem (votre chouchou n°1):

On est dans la merde, dans la grosse merde. Ces mecs là, où plutôt ces chiens là sont ceux d'Elias.

Cette fois il a pas été con, il est pas venu lui même mais il a envoyé des chiens à la place. En vrai je m'inquiète pas pour ça parce que y'a Ilyes et Fares avec moi et à nous trois on peut clairement les défoncer. Ils paraissent musclés mais franchement ils ont rien de fou je vous jure, mais je sais qu'ils effrayent les filles. D'ailleurs c'est elles qui m'inquiètent.

Elles ont peur et ça se voit mais franchement je les comprends mes hbibas. Je les considère comme mes p'tites sœurs à protéger et ça me tue de les voir mal, même si ça fait que quelques mois qu'on se connaît. Surtout Nour, je sais pas elle c'est encore plus fort, j'ai l'impression que s'il lui arrive un truc ça sera de ma faute même si ça l'ai pas.

Chronique de Nour: un amour forcé, devenu sincère. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant