Chronique de Nour: un amour forcé, devenu sincère.

Chapitre 7:

Avant de commencer mon point de vue, je vais me décrire vite fait. Je m'appelle Ilyes, j'ai 21 ans et je suis algérien. Je suis assez grande taille, légèrement matte de peau, j'ai les yeux verts et des cheveux raides que je plaque toujours. J'ai une barbe bien taillée et je m'habille pas trop en jogging j'aime plus ça.

J'ai une petite sœur Sana, elle a 17 ans, ma mère Samira et mon père Houssam. Voilà pour l'instant vous en savez assez je trouve, les détails viendront plus tard.

Point de vue Ilyes:

Nour: LACHE MOI SINON WALLAH JE CRIE ET J'APPELLE MON FRÈRE POUR QU'IL TE NIQUE SA RACE ICI ET MAINTENANT !

Moi: *en resserrant encore plus ma main* Appelle.

Elle me regarde avec incompréhension. Elle s'est pas que je la cherche comme elle me cherche. J'avoue qu'elle m'a fait de l'effet en menaçant, je trouve cette meuf attirante.

Moi: Bah quoi, appelle. Tu me menaces bah appelle maintenant.

Nour: Alors là tu l'as chercher. IBR-

Je la coupe en mettant ma main devant sa bouche. Croyez pas j'ai fait ça parce que j'ai peur de son frère même pas un peu. Non je voulais lui montrer que c'est moi qui décide ici.

Sauf que ça réaction, wallah je m'y attendait pas. En même pas 1min, elle a fait une crise de panique. Ça m'a de ouf surpris.

Moi: Il t'arrives quoi la ?

Elle me répond pas et commence à trembler.

Moi: Oh Nour ? Il t'arrive quoi la ?

Elle me répond pas et sans que je m'y attende elle s'écroule sur moi. Ça m'a vraiment choquée ça. Quand elle est rentrée dans ma voiture elle avait l'air en pleine forme je comprend pas.

Je commence à paniquer quand je vous qu'elle suffoquais et qu'elle inspire super fort.

Moi: OH NOUR RESPIRE LA TU ME FAIS PEUR.

Rien. Aucune réponse. Alors je sors de la voiture et cours vers chez elle.

Moi: OH IBRAHIM ! IBRAHIM ! NOUR ELLE RESPIRE PLUS PUTAIN VIENS M'AIDER.

Je rentre chez eux sans toquer et je crie.

Moi: OH IBRAHIM LA PUTAIN VIENS LA TA SŒUR EST ENTRAIN DE CREVÉE DANS MA VOITURE !

Je le vois arriver en courant et il se dépêche d'aller à ma voiture. Quand il la voit il se dépêche de la prendre dans ses bras et lui caresse les cheveux.

Ibrahim: OH NOUR ! NOUR PUTAIN ! RESPIRE NOUR RESPIRE !

Ça marche pas putain elle se calme pas ! C'est là que je repense à ma sœur. Elle aussi avant faisait des crises de panique comme ça et j'arrivais à la calmer d'une seule manière.

Moi: Attend pousse toi j'ai une idée je crois.

Il se tourne vers moi et je crois qu'il a hésité un moment avant de me laisser la place.