[Bardella et Attal] Plaisirs interdits (🔞🍋) - Tome 2

XXIV. (🍋)

TW : Sexe explicite++ / domination et soumission.
Si ces sujets vous mettent mal à l'aise, vous pouvez passer ce chapitre.

*

-"Comme tu es beau, quand le rouge te monte au visage comme ça... Tu as chaud, Gabriel ?", demanda Jordan en posant doucement sa main sur la joue brûlante de l'homme.

-"Je... Hmm, je...oui", balbutia Gabriel en baissant les yeux.

-"J'aime vraiment te voir perdre tous tes moyens", affirma Jordan avec un petit sourire, tandis que son pouce vint se promener sur la lèvre inférieure de Gabriel, sur laquelle il exerça une légère pression.

-"Lève la tête, Gabriel, tu sais bien que je veux toujours que tu me regardes dans les yeux"

A la demande de Jordan, Gabriel osa planter son regard dans celui de l'homme, qui jubilait d'y observer les lueurs d'inquiétude, de désir, de confiance et de soumission que son comportement suscitait chez lui.

-"Tu vois, quand tu veux, tu sais être docile... Ouvre la bouche, Gabriel"

Il s'exécuta immédiatement, sachant très bien qu'il n'avait pas son mot à dire sur la suite des évènements, ce qui était précisément ce qui le mettait dans tous ses états.

Jordan inséra deux doigts dans la gorge de Gabriel, dont les yeux se remplirent de larmes.

-"Montre moi ta jolie langue"

L'homme fit glisser sa langue sous les doigts de Jordan, ce qui eut pour effet de les faire pénétrer encore plus profondément dans son gosier.

Son coeur se souleva.

- "Tiens bon, Gabriel"

Les larmes coulaient de ses yeux rougis, mais à la demande de Jordan, il ne bougea pas, malgré les hauts le coeur.

-"C'est bien, Gabriel, tu es vraiment un bon garçon"

Il exerça alors de ses deux doigts une pression sur la langue de Gabriel, qui comprit rapidement la demande derrière ce geste.

Il plia les jambes, jusqu'à se retrouver à genoux devant l'homme.

Jordan retira alors ses doigts mouillés de salive de la bouche de Gabriel pour venir les poser dans ses cheveux, qu'il caressa doucement.

Il regardait l'homme à ses pieds avec un plaisir non dissimulé, son regard s'attardant particulièrement sur ses yeux encore mouillés de larmes et brillants d'excitation.

Son entrejambe à quelques centimètres du visage de Gabriel, Jordan retira délicatement la ceinture qui maintenait son pantalon, qu'il fit glisser autour de sa taille, tout en observant l'homme, toujours à genoux.

Puis, il le contourna lentement, sans le quitter des yeux, jusqu'à se retrouver dans son dos.

Gabriel était toujours immobile, son coeur battant la chamade, son sexe raidi de désir commençant à être très à l'étroit dans son pantalon.

Il frissonna.

Plus que tout, il voulait satisfaire Jordan, seul son plaisir comptait ; la satisfaction de l'autre étant devenue son propre plaisir.

- "Tes mains, dans ton dos", ordonna Jordan.

Gabriel s'exécuta immédiatement, tandis que l'homme s'accroupit derrière lui et attrapa ses poignets, qu'il noua fermement avec sa ceinture.

Il reprit place face à Gabriel et le contempla en se mordant la lèvre.

-"Parfait... Tu es parfait comme ça"

Alors Jordan déboutonna son pantalon qu'il laissa tomber sur ses cuisses, et empoigna son membre tendu devant le visage de Gabriel.

- "Tu as faim, Gabriel ?"

- "Oui, très...", murmura l'homme, la bouche ouverte, qui brûlait de désir de goûter le sexe de son amant.

-"Ton regard, Gabriel !", ordonna Jordan comme un rappel à l'ordre.

Il ajouta :

"Je n'ai pas compris, tu veux quoi ?"

-"Ta queue, dans ma bouche, Jordan. S'il te plaît..."

-"Voilà qui est mieux..."

Dans un premier temps, Jordan releva légèrement son sexe et disposa ses couilles sur la bouche de Gabriel, qui se mit à les lécher, puis sucer avec gourmandise.

Jordan gémit de plaisir, mais ne quitta pas des yeux son amant, dont le visage était presque entièrement enfoui dans son entrejambe.

Puis, quand il en eut assez, il se recula et fit enfin pénétrer sa queue dans la bouche de Gabriel, dont la langue et les lèvres s'attardèrent dans chaque recoin.

-"Mmh Gabriel, c'est bien, très bien, continue...", souffla t'il en basculant sa tête en arrière.

Ses mains se plantèrent alors dans les cheveux de l'homme, qu'il agrippa fermement pour accompagner son mouvement de va et vient.

Jordan gémissait de plus belle, le plaisir montant en lui si rapidement qu'il préféra se retirer subitement.

-"Hmm, je n'en ai pas encore fini, Gabriel"

Jordan l'aida alors à se relever, ses poignets toujours bridés limitant sa liberté de mouvement.

En l'attrapant par le pendant de la ceinture qui maintenait ses bras dans son dos, il l'accompagna jusqu'au coin de la pièce, où se trouvait un bureau, sur lequel il le positionna, le haut du corps en appui.

Jordan se glissa derrière lui en laissant au passage trainer ses doigts tout le long de son corps. Il lui retira entièrement son pantalon et son boxer, puis remonta une de ses jambes dont il fit plier le genou pour le disposer sur le meuble.

Se plaçant derrière lui, il laissa couler un long filet de salive entre ses fesses, qui termina sa course précisément à l'entrée de son orifice.

Gabriel, ainsi exposé, bandait comme jamais et n'espérait plus qu'une chose : sentir enfin Jordan entrer en lui.

Il poussa un gémissement lorsque le membre le pénétra, tandis que Jordan attrapait la ceinture qui reliait ses mains, tirant un peu plus dessus à chaque coup de queue.

Tout en le baisant, sa main s'abattit sur son fessier à plusieurs reprises, qu'il claqua sans retenue, s'exclamant à chaque coup :

- "Ça, c'est pour m'avoir laissé !

Ça, c'est pour ton insolence insupportable !

Ça, c'est parce que tu as osé m'affronter en tant que candidat à la présidence !

Et enfin ça... C'est juste pour mon plaisir !"

Gabriel frémissait du plaisir aussi bien physique que psychologique que cette situation lui procurait, malgré la douleur et l'humiliation.

Lorsque Jordan se pencha en avant pour branler le sexe de son amant tout en le baisant, il ne tarda pas à jouir en criant. Ce fut comme une explosion qui irradia dans tout son corps jusqu'au bout de ses doigts. Un jet de sperme atterrit sur le bureau.

Un instant après, Jordan éjacula lui aussi, au fond de son orifice, puis se retira en laissant couler un long filet de semence qui finit sur le plancher.

Il libera Gabriel, encore à bout de souffle, de la ceinture qui le liait, et l'aida à se remettre debout.

Enfin, les deux hommes s'affalèrent sur le canapé.

Jordan glissa son bras autour du cou de Gabriel et embrassa tendrement sa joue.

-"Ça va ?", s'enquit-il.

-"Oh oui, Jordan, plus que jamais", murmura Gabriel en fermant les yeux.