Chapitre 8

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Le chauffeur vient nous ouvrir. Emma fut la première a descendre puis vint mon tour. Louis n'avait toujours pas bouger ce qui accentuer le fait qu'on allait se prendre un ouragan.

Il s'approcha de sa sœur tranquillement.

-Je te conseil de ne plus jamais recommencer. Tu as beau être ma sœur, et j'ai beau t'aimer, tu sais ce qu'il arrive au personne qui trahisse mon autorité.

Elle ne bronche pas et fil dans le manoir. Je lui emboite le pas mais fut arrêter par Louis.

-Quant à toi... Commence t-il.

Il me prit par les bras je ne sais pas trop à quoi je m'attendais mais je fus surprise quant il me renifla simplement.

-Je suis content que le ravisseurs ne soit autre que ma sœur.

Je lui fis un faible sourire. Oui moi aussi.

-Alors, vous l'avez retrouvé?

Il fronça les sourcils.

-Non, toujours pas. On a des pistes mais sans succès. Les meutes autour de notre territoire sont au courant ils nous alerteront immédiatement si ils ont des nouvelles.

-D'accord c'est bien. Répondis je.

On resta là silencieux quelque temps.

-Au sujet de l'autre jour, on a pas eu le temps de trop en parler mais je suis désolée de mon comportement et.. Je pense avoir assez compris donc si je pouvais dormir dans la chambre dont tu m'as attribué ce serait sympathique.

Il me sourit. On pourrait presque le qualifié de franc.

-Maintenant que je serais 24h/24h au manoir ça pourrait se négocier.

-Négocier? Comment ça?

-Pour commencer, quant on est en public tu ne me défie plus jamais comme tu l'as fait et ensuite tu n'essaye plus de t'enfuir. Si tu respectes ces conditions tu iras pas au cachot. Marché conclu?

Je hoche la tête. Nous étions en période de trêve. Enfermé je ne servais à rien. Je devais faire profil bas quelques temps. Le plus important était que je répare ma bêtise. Mais surtout, que je sache si mes pouvoirs sont revenues ou non.

On rentre. Je me dirige directement dans ma chambre. Je m'assis sur le lit. Il fallait que je réfléchisse à présent à ce que je devais faire. Comment savoir si mes pouvoirs sont revenus sans éveillé les soupçons? Et si jamais il avait mit des caméras de surveillance dans la chambre? Si jamais il sentait simplement mon aura ou la magie? Il était clair que je ne pourrais pas le découvrir ici. Il fallait que je sorte, que je sois dans la forêt. Mais il m'a interdit de m'enfuir... Et si je lui demandais de sortir? Dans tout les cas si je le faisais sans rien lui dire je sais ou je passerais les prochaines nuits, alors... Il fallait que je le trouve! Je me lève déterminé quand je vois mon portable. Il n'a pas bougé de l'a où je l'avais posé. Je me précipite dessus voir si quelqu'un m'avait laisser des messages où appeler. Mais rien. Je n'y crois pas. Ca doit faire une semaine que je suis partie et aucun message ni appel. Même mes parents ne m'ont rien dit. J'arrive pas a y croire. Je retombe sur le lit, penaude. Une douleurs en moi s'émisse dans ma poitrine et grandit, grandit jusqu'à ce que ça me fasse mal. Je sens les larmes montaient jusqu'à ce qu'il soit trop tard pour les retenir. Je prends un coussin dans mes bras et serre de toutes mes forces. J'étouffe ma douleur. Je pleure se me semble une éternité jusqu'à ce que le sommeil m'emporte.

Je me réveille. La chambre est plongé dans le noir.

Il devait être l'heure du diner car j'avais une faim de loup. Je sors de la chambre et tente de trouver où il était possible de manger dans cette maison. Je me rendis compte, que ce sera la première fois que j'ai la chance de pouvoir manger à table, une première. Sauf que je m'étais pas rendu compte que c'était un véritable labyrinthe. A chaque fois je me retrouvais devant le portrait de Vseslav de Kiev. Je crois qu'il faut me rendre à l'évidence, j'ai un sens d'orientation vraiment médiocre Je contemple la peinture. Elle n'a pas changé lors de ma venue ici, en même temps je m'imaginais quoi?

Marqué En Cours De Réécriture Où les histoires vivent. Découvrez maintenant