Chapitre 20

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Coucou mes petits loups merci beaucoup pour vos commentaires, ça m'a beaucoup touché. J'espère que vous ne m'en voudrez pas trop pour la tournure de l'histoire. Que vous allez bien  <3

Michaël (média)

PDV Louis

C'est toujours plus facile de mourir que de vivre. Un simple accident, une dague en plein cœur, une crise cardiaque il y a vraiment l'embarra du choix. Puis, on a cette impression que nos problèmes ce sont envolés en même temps que la vie. Mais au final, on se retrouve seul, sans sentiments. On a même l'impression d'être un zombie, on ne ressens rien, et à l'exception du noire, il n'y a rien d'autre. On attend. On cherche même pas à savoir quoi, comme si ça nous été égal. Mais de temps en temps des flashs nous reviennes. On voit une femme monstrueuse nous plantés des griffes dans la poitrine et on revit cette douleur, jusqu'à ce que le néant nous tombe dessus puis tous s'en vas comme c'était venu. On ne sais pas depuis combien de temps on est là, mais on sais qu'il n'y a plus personne qui nous attend et rester là, ne nous dérange pas plus que ça. Puis une goutte d'eau nous tombe dessus. Est-ce qu'il pleut? On lève la tête mais ne voit rien. Une deuxième. Bizarre. On a l'impression de ressentir quelque chose. Des picotements le long du bras... Soudain, on entend des bruits étouffés. Est-ce des cris? On se sent étrange, chamboulé. Le principe de la mort c'est de plus rien sentir non? Étais-je vraiment mort d'ailleurs?

Pourquoi est-ce que soudainement j'ai peur? Quand un soupir de douleur me submerge, j'ai tellement mal au cou. J'ai envie de hurler, mais aucun son ne sort.

Mes yeux s'ouvrent difficilement. Je suis allongé, et seule la couleur beige du plafond m'accueil. Je me sentais tous retourné, comme si j'avais sauté d'un immeuble de 20 étages. Je sais que j'y survivrais mais il me faudrait plusieurs jours pour m'en remettre, et bien c'était un peu la même chose. J'arrive à me mettre en position assis, mais chaque partie de mon corps craqua. Je regarde mes mains. Elles étaient légèrement violacé. Je les bougent difficilement. Mais au fur est à mesure que la couleur revient, les gestes aussi.

Les jambes ont par contre plus de mal. Je ne voyais pas la couleur, puisque je portais un jeans, mais à mon avis elles étaient de la même couleur que les mains, voir pire.

Une monté d'angoisse me submerge. Non, je n'allais pas finir paralysé, c'était impossible de toute manière. C'est bon Louis, déstresse.

La porte s'ouvre brusquement, se qui me fit sursauté. Je découvris Alex mon bêta. Ses cernes étaient encore plus prononcés qu'à son habitude.

-Merde Louis. Tu nous avais fait une de ces peurs!

Il s'approche de moi et me scrute.

-Tu arrives à parler? Tu sais qui je suis?

-...argk... J'avais super mal à la gorge.

J'hoche seulement la tête.

-Est-ce que ça va?

Je hausse les épaules. Je ne savais pas trop, j'étais barbouillé.

-Tu te souviens de se qu'il sait passer?

J'hésitais à hocher la tête, mais je le fis quand même. Il vu mon hésitation et fis une drôle de tête.

Qu'est-ce que je peux être con, quand je m'y met! Le lien de la meute, bien sûr.

-Alex? Alex?! Tu m'entends.

Il me regarda surpris.

-Louis?

-Ouais.

-Putain, géniale! J'avais pas le droit d'utiliser le lien de la meute, les anciens disent qu'il faut y aller doucement avec toi. On ne sait pas ce que tu te rappelles donc voila.

Marqué En Cours De Réécriture Où les histoires vivent. Découvrez maintenant