worst case

Chapitre 22

Depuis la mort de ma fille, il y a se vide en moi, je n'arrive tout simplement plus à dormir, à m'amuser, ma fille avait réparé le vide que ma sœur à créé chez moi et maintenant ma fille m'a aussi créé se vide.

Je me sens vide.

Sans énergie

Et je deteste sa.

Pourquoi on a du m'enlever les être qui sont le plus chère à mes yeux ?

Je n'aurais jamais la réponse, je déteste le fait que à présent je suis devenue encore plus vide que je ne l'étais encore. Je n'arrive tout simplement plus à vivre.

J'aimerai juste quitter se monde une bonne fois pour toute mais c'est impossible. J'ai encore des choses à accomplir sur cette terre.

Dans pas longtemps je te retrouverai Harper, et toi aussi ma sœur.

Les larmes me montent de plus en plus aux yeux, je ne dois pas pleurer. Pas encore une fois après que j'ai pleurer une centaine de fois la semaine précédente, à l'enterrement.

Cligne des yeux

Cligne des yeux

Cligne des yeux

Cli...

C'était beaucoup trop tard les larmes dévalaient le long de mes joues, j'aurais du rester chez moi mais j'ai du aller à se fichu voyage. Je repense encore à cette lettre qui me disaient que la semaine ou j'ai voyagé était la dernière heureuse.

Il avait raison, à présent j'aurais cette boule dans mon ventre chaque jour qui passera.

Je dois me dépêcher je suis en retard, en sortant de chez moi, je me dirige directement vers ma voiture ou je conduis jusqu'à l'université où je me garre et descend en rejoignant Laurie qui m'attendais déjà.

-Ruby, tes cernes sont gigantesques, tu va bien ?
-Oui bon on a quoi la ?
-Français...
-J'adore cette journée.

Après sa on se dirige dans la salle de français ou je m'assoit au fond mais Laurie se met en fasse de moi et Théo s'installe à ses côtés. En les regardant je ne comprend plus rien jusqu'à se que Flynn s'installe à mes côtés. En voyant mes gigantesques cernes, je vois cette lueur de culpabilité dans ses yeux et il se met à enlevé son pull

-Tient. Me dit il
-Hein pourquoi ?
-Dors un peu, on voit tes gigantesques cernes.
-Merci.

Après qu'il me passe son pull je l'installe sur mol bureau en mettant ma tête dessus pendant qu'il commence à me tenir la main, j'avais l'impression que j'étais protéger du reste du monde, cette sensation me rassurait d'une part, je savais que je pouvais dormir sans avoir peur d'être en dangers.

En fermant petit à petit les yeux je me rappelle de chaque moment passés aux côtés de ma fille.

Sa naissance

Ses premiers mots

Son premier je t'aime

Ses pleures pendant la nuit

Nos sorties où on manger des glaces

Chaque moment que j'ai passés avec elle, refons sure fasse, je déteste sa car je me sens vulnérable, quelque chose cloche dans cette histoire, la personne qui m'envoie ses menaces savaient qu'elle allait mourir se qui veut dire que ce n'est pas une mort naturelle.

On a forcément du la tué.

Quand je découvrirai toute la vérité certe sa fera mal de se que je suppose mais je pourrais mourir en paix.