worst case

Chapitre 11

Ce matin en me réveillant pour la première fois de ma vie, je me sentais bien, j'étais heureuse, j’allais enfin me venger de toute ces années de malheurs, je réussirai à me venger quitte à perdre mes seules amis, cette nuit je n’ai fait que réfléchir, j’ai eu tellement d’idée, cette vengeance me feras du bien, je le sens, je pourrais enfin me réveiller le matin tranquillement sans avoir peur de toute sorte de chose, je pense que je vais publier mes chansons, qui sait peut être les gens l'aimeront ?  Cette nuit j’ai rêvé qu’un jour en me réveillant, j'avais mon happy end, mon seul souhait.

Me réveiller le matin sans avoir passer une nuit de cauchemars, passé la journée avec ma fille, entouré se Lise, j’ai l’impression que je peux tout accomplir,  c’est tellement frustrant, bizarre, le fait de changer en me vengeant de tout ce qui m’ont blessé, ridiculisé, agresser,  je risque de perdre tout, mais le tout représente Lise, je suis prête a être heureuse, sans elle, il faut que je pense à moi pour une fois, le tout ne représente pas ma fille car elle, je ne la perdrai jamais, c’est ma chaire, mon sang.

Me rendant compte qu’il est 7 heures, je décide de prendre un pantalon en cuir noir, un gilet gris avec un top gris, j’attache mes cheveux en une haute queue de cheval, je prend mon mascara et m’en applique une couche, après m’être completement changer je me dirige dans la cuisine ou je fais des cookies, je mets 3 cookies dans un assiette, le pose sur la table avec un verre de lait.

Après avoir fini d'installer la table, je pars en direction de la chambre de ma fille où je la réveille délicatement en l’habillant, après qu’elle soit à cent pour cent réveiller, je l'emmène dans la cuisine ou je l’installe à son siège.

Comme tous les matins je pars de ma boite au lettre et prend toutes mes enveloppes, en rentrant chez moi, je commence à feuilleter les enveloppes et découvre une lettre que j’attendais depuis très longtemps, je vais enfin savoir si l’état veut bien me donner une aide financière.

Stresser de savoir ce qui est marqué dans cette lettre, je l’ouvre et ma mâchoire se décroche, sous le choc de ce que je viens de lire. Je commence à lire la lettre à voix haute.

“Bonjour madame Rubber,

Nous sommes ravis de vous annoncer que après avoir reçu votre lettre, nous l’avons étudié pendant quelque heure et nous avons pris la décision de vous accorder une aide financière, chaque mois nous vous verserons une somme de 2 000 euros, nous sommes ravis de pouvoir vous aide, en raison de votre dossier médicale, votre fille, son école que vous devez payer ainsi que la nourriture nous avons décidé de vous aider.

Cordialement l’état.”

Je ne saurais expliquer ma réaction quand j’ai vu ça, le sourire qui s'est formé sur mon visage, c’était un sourire sincère, j’ai réussi, je n’aurais pas constamment besoin d’argent, se sourire, je n’avais pas souris comme ça depuis des années.

En descendant qu’il est temps que je parte à l’école, je récupère ma fille, lui mets ses chaussures et partons en direction de son école ou je la dépose. En me rendant à l’université, je sais que rien ne pourrait gâcher cette journée, qui conque à présent se mettra en travers de mon chemin le payera, j’ai étais faible bien trop longtemps, il est temps que tout cela change.

En entrant dans l’université, tout le monde me regardais avec pitié, dégoût, je ne me laisse pas déstabiliser par tous ces regards et marche la tête haut, je ne me laisserai plus faire dorénavant, en voyant Lise, je m'empresse de le rejoindre, arrivé à son hauteur je la vois me regarder bizarrement mais peu un porte.

-Alors de quoi veux tu tant me parler ?
-L’état a accepté de me donner de l’argent…
-Arrête non, tu le mérites tellement !!!