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Annonce: Les premiers chapitre jusqu'au vingtième je crois sont très courts, nuls et bourrés de fautes je ferais une réécriture complète à la fin de l'histoire si vous êtes pressé de lire l'histoire et bien soyez courageux et allez-y. Ne vous étonnez pas si vous trouvez des incohérences ;)Sinon mettez la dans votre bibliothèque et attendez de voir à côté du titre "Réécriture" ;)



    Un jour notre vie bascule, que ça soit du bon ou du mauvais coté nous feront tous un choix radical. Cela peut se faire à l'adolescence, le temps de l'éclosion. Le moment ou nous prenons réellement vie. Que voudrais-tu faire plus tard, quand tu seras grand ? Cette question prend dès alors tout son sens. Mais es-ce juste de demander à un jeune bambin, qui du haut de ses dix huit ans n'a pas encore acquit tout ce que la vie peut lui offrir de choisir son avenir. Pourquoi ne pas lui laisser le temps de respirer l'air de la vie adulte. De comprendre ses envies, son corps ; ses capacités. J'ai déjà fais mes choix. Il y a longtemps de ça. Fut-il à l'aube des temps. Il ne me reste point d'espoir pour changer de chemin. Pieds et mains liés. Je suis destiné comme tant d'autre à suivre le troupeau. Je n'ai guère le temps de chercher un autres chemin. Coincé entre cette vie et une autre. Je ne peux me détacher des chaines qui m'entravent. Je ne peux que ruminer en cherchant le moyen de retrouver ma liberté. Qui m'a longtemps été enlevée.

    Le son qui annonce le début d'une mauvaise journée. Vous le connaissait surement, qui n'a pas connu le doux son du réveil matinal alors que le soleil n'est pas encore levé, alors que vous êtes bien au chaud sous votre couette et que dehors il fait dix degrés de moins. Nous sommes le jour le plus maudit de l'année. La rentrée ! Ce jour ou l'enthousiasme et à son comble. Retrouver les bancs de l'école, quel bonheur me direz-vous. Apprendre, n'est ce pas un cadeau. Mais bien sûre que c'est enrichissant disséquer une grenouille pour en admirer le système nerveux. Et que c'est excitant que de savoir que la terre tourne autour du soleil et non l'inverse. Vus ne le saviez pas ? Désolé d'avoir réduit à néant vos anciennes croyances.

     Mes vêtements préalablement préparée, il ne me reste qu'à me vêtir. Après une douche bien méritée j'enfile ; un jean simple ample, un sweet-shirt vert et mes vielles converses qui autrefois ont dû être roses. Quoi ça ne vas pas ensemble. Attendez c'est moche ! Encore plus si je rajoute mes lunettes hideuses. Grand bien m'en fasse. Il ne vaudrait mieux pas tacher mon top Gucci, mon jean Armani et mes chaussures Channel pour une journée de cours voyons.

    Mon sac à dos en main et mon téléphone dans l'autre je descends en cuisine. Le parquet grince sous mes pas. Me rappelant le silence de la maison. Mes parents devaient surement être dans un bateau à l'autre bout du monde. Ne se souciant pas le moins du monde de leur progéniture. J'épluchais avec le plus grand des soins une banane. Assise sur l'ilot de la cuisine. Je peaufinais mon image de petite intellect. A la place de me pavaner sur des podiums. Quel gâchis. Les bancs de l'école n'étaient plus faits pour moi depuis bien longtemps. Je sautais du plan de travail et jetais les restes de mon petit déjeuner qui se résumait la plupart du temps à un fruit.

    Mon téléphone en main et mon cartable sur l'épaule je me dirigeai vers l'arrêt de bus. Je montais de celui si et m'assis à une place au milieu. Ni trop près de d'Ashley présidente du journal du lycée et vrai commère en herbe. Ni trop proche du fond ou s'entassais les types assez louche du lycée. Le paysage défilait sous mes yeux encore endormis. Deux mois passée en Russie, je me retrouvais encore une fois dans cet enfer sur terre. Le Martin Luther King High School était l'un des plus grands lycées de Phoenix. Un lycée privé à l'apparence parfaite. Mais qui regorgeais de secrets plus sombres les uns que les autres. Ce qui m'a le plus plût dans cet école fut le fait que les élèves n'était pas contraints de porter un uniforme la plupart du temps, sauf cas exceptionnels. Je me voyais mal me balader en mini jupe hideuse et mocassins dans les couloirs drapé de casiers.

Adrénaline I :Le Faux Couple |Anna Lane ( Réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant