Chapitre 21 - Des retrouvailles enfin consommées.

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Voici le lemon donc attention ci certain n'aime pas ce genre de lecture, c'est pas non plus cru,vulgaire ou porno mais voila après ça dépend de la personne donc je le dis au cas ou. ☺

Je voulais que ce lemon soit passionné, plein de désir étant donner la longue attende des personnages et j'espère que ça sera réussi, a vous de me dire ce que vous en avez pensé, si vous le voulez bien. Allez sur ce, bonne lecture!

PDV Tristan

Dans la nuit du vendredi au samedi, aux alentours d'une heure moins le quart: 00h45

Assis sur son bassin, nu, les mains contre son visage, je l'embrasse sensuellement. D'abord de léger baisers, puis ma langue passe entres ses lèvres. Il la laisse entrer et la rejoint tout de suite, jouant avec elle. Il la frôle, la caresse, la taquine, rendant l'échange bouillant. Je réponds à ses sulfureuses attaques mouvant mon corps contre le sien, me régalant de l'entendre gémir dans ma bouche. L'air commençant à faire défaut, mes lippes glissent dans sa nuque. Je donne un coup de langue sur la marque violacée que je lui ai fais auparavant et la mordille tendrement. Une plainte s'échappe de sa gorge, me rendant très satisfait.

Mes mains se faufilent le long de son corps et je passe sous son t-shirt, le remontant lentement, tout en embrassant sa peau, peu à peu mise à nue. Je ne fais que survoler en bisous papillons, et fait passer le tissu au-dessus de sa tête. Je me joins à ses lèvres quelques instants, ses bras encore emprisonné par l'étoffe, puis fini par le libérer, jetant son haut à travers la pièce. Il en profite pour se redresser et glisser ses bras autour de ma taille. Il m'attire a lui, collant mon bas-ventre durci à souhait contre son torse et ses lèvres s'emparent de mes mamelons. Il les lèche, les mord, les aspirent, l'un après l'autre et je ne peux retenir mes couinements, irradié par un désir grandissant. Il relâche sa prise, et ses mains me soutenant grimpent le long de mon dos. L'une s'arrête à ma nuque, me faisant pencher la tête en avant, pour faire unir nos lèvres une nouvelle fois.

Tout en m'embrassant, il m'entraîne avec lui, alors que son corps s'allonge sur le matelas. Je fais de même, suivant le mouvement et m'étale sur lui. La main droite s'agrippant dans sa chevelure bouclée, l'autre empoignant l'oreiller à côté de son visage, je frotte nos corps l'un contre l'autre, tandis que mes lèvres embrase son cou et s'amuse avec le lobe de son oreille gauche. Il ne cesse de soupirer alors que moi-même, j'étouffe mes gémissement sur sa peau. La chaleur devient infernale, et je le sens, nos membres abstinant depuis bien trop longtemps, ne vont pas tenir dans le temps, face à des frictions incessantes et terriblement sulfureuses. Je calme le jeu ralentissant peu à peu, et sans quitter les yeux fiévreux de mon tendre amour, je dégringole dans une traînée de baiser sur son buste, jusqu'à atteindre son boxer. Repérant l'imposante bosse sous le tissu blanc, je viens lui asséner un petit coup de dent, déclenchant un grognement emplit de désir.

- Tout doux bébé...l'apogée pourrait très vite arriver...tu me rends dingue...

- Ne t'en fais pas, je garde le contrôle, tes soupirs me guident, je saurais quand tu seras à bout.

J'enlève rapidement le sous-vêtement qui encombrait beaucoup trop à mon gout nos ébats et à son tour il s'envole dans un coin de la pièce. L'intégralité du corps de mon homme étant à présent, complètement à ma merci. Il me fixe tandis que je m'approche de son organe, gémissant déjà alors que je ne l'ai pas encore touché. Je lui souris taquin, et dans une lenteur extrême fait courir ma langue sur sa longueur. Il balance la tête en arrière alors que j'en atteins le sommet, ses doigts venant se coincer dans ma tignasse brune. Le saisissant entre mes lèvres, je l'ensevelis progressivement jusqu'à le tenir entier. Précautionneusement, je débute des allées-venues à un rythme calme, l'excitant toujours un peu plus, mais modérément, car je le sais, si j'accélère, je pourrais le faire craquer en moins de deux. Percevant un son un peu plus rauque que les autres, je m'arrête et viens m'assoir sur lui, pour retarder encore un peu, sa venue.

Ne Cesse jamais de croire en nous ( BxB Ju-tristan Tome2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant