Je me retrouvais dans la peau du moi d'avant pour une nuit, un cauchmard de plus avec pour thème mon passé...
Je ne peux pas dire que j'étais malheureux. La seule chose anormale avec elle c'est que ma mère n'y figure pas, elle est partie... Je ne peux pas me plaindre d'être seul car j'étais toujours accompagné.
Et pourtant j'avais toujours envie de pleurer, de crier, de tous détruire de se monde si parfait. J'avais parfois envie de suivre les pas de ma mère et partir loin de mes trois petites soeurs et de mon père. Loin de cette ambiance trop... parfaite.
Je ne sais pas si vous comprenez, où si vous comprendrez ça un jour mais... alors que tout allait bien, je me sentais mal.
Je me vois assis entre la psy et mon père. J'étais jeun et tenais ma plus grande soeur dans mes bras. Nous étions jeuns et ne comprenaient pas la conversation.
《Il a un poid trop loud sur ses épaules.》
- Ne pleure pas Tamara, Lili et Ambre sont avec Tante M.
《Il s'occupe de ses soeurs pendant que vous travaillez, de sa tante qui ne fais que regarder des feuilletons ! Il n'a que huit ans !》
- Chut... C'est bientôt fini Tam'...
《On se connaît depuis longtemps John ! Je sais comment ça se passe, comment... je vois tout se qu'il garde en lui ! John... JOHN !》
J'entends encore la voix de cette femme qui appelait mon père.
Je n'étais pas débordé de travail. Juste attristé. Les professeurs disaient à mon père que j'étais dépressif ! Ah... ah. Depuis quand un enfant de neuf ans qui ne voyait plus sa psy était dépressif ?
- Écoute Milo... tu vois ses monsieur là bas ? Ils vont t'amener toi ettes soeurs chez de gentille personnes.
- Tu veux plus de nous ?
- Oh Milo ! Bien sur que je vous veux ! Juste que pour le moment papa n'a plus assez d'argent et que c'est mieux pour vous de vivre avec d'autres gens.
Je ne le revie plus...
La voiture nous emmène loin de notre vielle appartement sal et minuscule. Jeme suis dis que c'était parce que je n'étais pas assez fort que je ne voyais plus papa...
Alors je décide de ne plus me sentir triste et dépressif. J'arrête de pleurer où montrer tout sentiments négatif à la vue de tous et évite de pleurer en revoyant une vielle photo de papa.
Mes soeurs était adopté par d'autres personnes à qui je rendais souvent visite. Mes parents adoptifs était assez riche et m'offrait tout se dont j'avais rêvé. Je continuais à enfouir mes émotions jusqu'au jour où il me laissa la maison pour moi tout seul.
Je pris un pinceau et une toile de mon père et commença à peindre et peindre. Je me rendis compt que pour ne plus avoir de poids je devais être seul.
Je devais être seul et l'esprit libre. Je ne devais plus pensé à mes soeurs, à mon père qui est je ne sais où où encore à ma tante. Je ne pensais qu'à moi, à la toile.
Je commençais à comprendre se que c'était de vivre sans penser au lendemain. Je sortais plus souvent. Traînant avec de nouvel personne avec qui je navais pas peur d'être mal vue. J'appris à voler, rire et je suis passé par plusieurs chose illégal.
《Je crois qu'il est fou ! Il n'a pas honte d'avoir fais ça ! Milo ! Voler c'est mal !》
- Je sais...
《Mais voyant, il vient enfin de se socialisé !》
Après plusieurs discours contre le vole, ils moffrirent mon appartement. Je rencontre Totore et les autres. Je comprends tout maintenant.
~ Tu ressemble beaucoup à ta mère Milo. Tu as besoin de liberté et de vivre par tes propres moyens. Ne reste pas là à garder tes émotions et défoule toi.
Se fut les dernières parole de mon père avant de mourir de son cancer.
Après notre départ de la maison, ma tante investie tout son argent dans la chimio de mon père. Mes parents adoptifs aussi ont verser de l'argenten secret... j'étais leseul à penser qu'il nous avait abandonné. Je ne l'ai revu que pour ses derniers mot.
Je sentais que je me reveillais mais ne bougea pas, trop épuisé par ses souvenirs retrouver...