-Milianna-
Je ne sais pas combien de temps j'ai été prise toute seule dans cette cellule mais je suis très contente maintenant. On m'a avertit qu'aujourd'hui était le grand jour. Je vais enfin pouvoir sortir d'ici! Peut-être pourrais-je voir la lumière des rayons du soleil une autre fois? Ça serait une bonne idée dans ce cas. Il fait bien trop sombre pour que je reste encore plus longtemps à l'intérieur de cette pièce. Je crois même m'imaginer des trucs. Comme voir des ombres ou entendre de mystérieux bruits. Je peux ressentir des frissons me monté à l'échine du dos!
- Sort.
La voix rude d'un des gardes de Cal me sort de ma rêverie. Je n'ai même pas remarqué sa présence! Il m'a l'air de mauvaise humeur ou c'est juste moi...? Je crois que je préfère ne pas le savoir... Oh mais attendez! Est-ce que c'est du sang sur sa moustache?! Oh, bon dieu! Du sang, du vrai! J'ai faillis m'évanouir sur place. La porte de ma cellule était entrouverte et j'imagine qu'il attendait que j'en sorte. Je me suis levé furtivement mais j'ai aussitôt tombé au sol quand j'ai voulue traversé la porte. Ma cheville était toujours attaché au mur. Que je suis pénible quand je le veux. J'ai soupiré de malaise.
- M'sieur? C'est pas que je peux pas sortir mais je peux pas sortir.
Il est entré perplexe et vit que j'avais raison. Il sortit une hache de nul part et l'a leva dans les airs aux yeux de tous. "Même s'il y'avait personne autour de nous~". J'ai poussé un cri effrayer.
- Oh, bon dieu! Je s-suis trop jeune pour mourir... Je le j-jure!
Le moment d'après, la chaîne argenté était couper en deux et j'étais libre. J'ai poussé un soupir de soulagement. Il rangea la hache quelque part, je m'en foutais un peu d'où il pouvait ranger une hache. Tout ce que je voulais était de m'enfuir. L'instant d'après, il m'apportait dans des couloirs silencieux et d'où la noirceur prenait du terrain en m'empoignant le bras fortement. Je ne suis pas une enfant! Je suis bel et bien capable de marcher toute seule! Il m'énerve ce type... Nous sommes arrivés devant une énorme porte coloré de noir, bref toute noir avec des poignées dorées. Les portes s'ouvrirent instantanément et lorsqu'elles furent grandes ouvertes et prêtent à m'accueillir, le garde décida de me pousser à l'intérieur.
- Merci! Lui ai-je lancé sarcastiquement en roulant des yeux.
Mais j'imagine qu'il ne m'avait pas entendue puisque les portes se refermèrent au même instant et étouffèrent mes mots. Je me suis retourné pour observer les alentours. La pièce était quasi-vide, sauf un trône prenait largement de l'espace au fond de la salle. Voyons, on est pas à l'époque médiévale?! J'ai continuer de visiter pour finalement voir quelque chose d'intéressant. Une porte de sortie, que dieu soit loué! Je me suis ruer vers celle-ci en entreprit de l'ouvrir mais vue qu'elle était déjà entrebâiller. Nous pouvions entendre des voix. Dans l'ouverture, j'ai aperçue Cal accompagné d'une inconnue et sa voix était résolument féminine. J'ai seulement plaqué mon oreille près de la porte pour mieux entendre.
- ...Trouvé dans une de ses armoires de sa stupide chambre. Il devrait prendre des cours en matière de bien caché les objets, s'il veut garder son héritage. "Celui qui essayera de ce mettre contre cet objet recevra la pareille en 3 fois pire!" Pathétique, en effet, railla Cal.
- Oui, vous avez tout à fait raison Sir. Mais ne pourrais-je qu'une dernière fois, satisfaire vos désirs? Diemanda l'inconnue d'une petite voix.
- Tu sais, de plus, ce qui t'attend. Je t'aime bien ma chère mais ce ne sera pas nécessaire. Diana prend la relève, mon petit-fils et ses minables adolescents de malheurs ne pourront pas franchir nos contrées.
- Au contraire Sir, sans vouloir vous désordonné, c'est déjà fait, lui fit-elle remarqué mal à l'aise.
- De quoi vous parlez? Expliquez moi, lui ordonna par la suite Cal froidement.
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Butterflies never die *Tome 1
AbenteuerTome 1. Nous avons tous des secrets dont nous ne connaissons même pas l'existence. Récemment, découvrir que vous n'êtes pas du tout la personne que vous pensiez être mais plutôt le contraire; comment réagiriez-vous? Moi, pour tout vous dire, je ne m...