Butterflies never die *Tome 1

01. A Beginning

Vers 6h30 du matin, le soleil venait tout juste de se réveiller pour ensuite monter lentement dans le ciel. À la gare tout était silencieux, il y avait que quelques personnes dont moi et maman qui attendaient patiemment que les premiers trains fassent leur entrés. Plusieurs personnes baillaient, dormaient et si vous voulez vraiment savoir il y en avait aussi d'autres qui ronflaient, croyez moi c'était extrêmement pénible. Et croire que nous attendions déjà depuis 5h00! Quelques minutes avaient passées pour que nous entendions enfin une femme dans les hauts-parleurs à la voix plutôt solitaire et lointaine annoncée les départs de train.

- Départ pour Chicago, dans 10 minutes! Je répète départ pour Chicago dans 10 minutes!

En effet, un train était déjà arrivé attendant que les premiers visiteurs rentre à l'intérieur. Malheureusement Chicago n'étais pas la direction dont nous voulions prendre et nous avons dût attendre plus longtemps pour plus tard entendre la voix de la femme dans les hauts-parleurs annoncée un autre train et non le nôtre, à notre grand mécontentement. N'aurai-je pas mentionner mon nom plutôt? Désoler d'avoir été si rude, recommençons a zero vous voulez bien? Alors, je m'appelle Milianna Jones. Depuis que je suis née ont m'a racontée toute sortes d'histoires différentes de mon passé et que depuis je ne crois plus. En ce moment j'ai 15 ans et je suis très confuse. Ma vie est en quelque sorte assez étrange si on peut la décrire de cette façon...

- Départ pour Houston, dans 2 minutes! Je répète départ pour Houston dans seulement 2 minutes!!

J'ai lentement écarquillée les yeux pour me rendre contre qu'il ne restait que 2 minutes avant le départ de notre train, à côté de moi maman dormait les deux points fermés. Je l'ai secouée doucement avant qu'elle ne se réveille et que nous nous dépêchons de donner nos billets au contrôleur qui lui, bâillait.

- Billets, mesdames je vous pris. demanda-t-il d'une voix monotone.

J'ai soupirée avant de lui tendre nos billets incertaine par son regard sans émotions particulières. Ils les poinçonna et nous indiqua notre compartiment, numéro 614. Le compartiment était assez spacieux, les bancs paraissaient tout neuf à cause du cuir qui les recouvraient. J'ai rangée mes bagages et celles de maman qui c'était déjà endormie sur un des bancs avant de regardée par la grande fenêtre d'où nous pouvions déjà voir notre petit village devenir de plus en plus minuscule jusqu'à disparaître complètement de ma vue. Et oui j'habitais en Louisiane plus précisément à Bâton-Rouge, le train dont nous sommes assis en ce moment ce dirige vers Houston au Texas. J'imagine que nous avons déménagées seulement parce que maman détenait trop de souvenirs de papa mais aussi car ma vie à l'école n'était pas la meilleure, se faire ridiculiser devant tout le monde seulement parce que sans le vouloir je faisais des trucs bizarres, vous comprenez le genre? Briser des choses sans même y avoir toucher, faire un seul geste maintenant est presque impossible sans être regardée de travers. Aujourd'hui je suis prête à tout faire pour recommencer une vie normale en tant qu' adolescente. Tant que personne ne sache que je suis plutôt bizarre quand je le veux, j'imagine que tout ira bien. J'ai commencer à bailler lorsque la portière de notre compartiment c'est ouverte en grand fracas pour laisser entrée une petite femme rondelette le visage tout en sueur nous regarder alarmée tout en criant...

- Oh mon dieu! Vite venez rejoindre au plus vite tout les autres passagers, j'ai bien peur que nous n'aurons pas assez de temps!!! Cria-t-elle toujours aussi alarmée.

Murmurant plus les derniers mots de sa phrase pour elle même, elle continua a lancer des jurons, d'après mon avis elle était devenue folle ou quelque chose du genre car je ne comprenais rien de ce qu'elle disait. À la place de hocher la tête je l'ai dévisager avec méfiance.

- Qui êtes-vous? Mais que ce passe-t-il, bon sang! Vous êtes dans notre compartiment! Partez! ,Lança maman avec courtoisie toujours à moitié endormie. La petite femme rondelette la dévisagea d'un air sombre et lui répondit d'un ton de reproche.