Salam aleikum,
Moi- bonne galère en tout cas je t'ai jamais dit de coucher ou tourner dans les caves.
Ayla - tu juge trop sans savoir.
Moi- parce que depuis que je suis petite ta chercher à me connaître peut êtres ?
Elle baisse la tête honteuse et je sors j'étais très mal pour elle et pour moi.
Et se soir la en revenant, ils m'annonce la pire des nouvelles.
---fin du rappel ---
Toujours dans le flashback :
Pdv de Lamia :
Je montais les escaliers en furie et quand j'ai ouvert la porte y'avait beaucoup de monde chez moi, les voisines, les grands de la cité, et pleins d'autres.
J'étais toujours autant choquée, je voyais des gens en pleure d'autres en rage d'autres avaient le visage neutre.
Tout le monde à poser son regard sur moi, moi je l'ai regarder sans agir, avant que tout les grand la cité viennent vers moi, je stressais à mort là seule fois où je les parler étaient quand je les lancer un Salam en montant les escaliers ou quand tout simplement en se voyer dans un mariage, ou encore quand ils étai et inviter chez moi ou chez quelqu'un d'autres.
Ils étaient au moins une quinzaine j'ai baisser ma tête honteuse et en croyant qu'ils voulaient passer je suis aller de côté mais y' en a un il m'a retenu par le bras, directe j'ai retirer sa main en levant ma tête vers lui.
C'était Sophiane il avait 20 ans et là à cette époque moi 16. Il m'a regarder tristement avant de me dire:
Sophiane- viens Lamia.
Il m'a tirer je regardais quelqu'un pour me venir en aide mais personne n'agissaient, les darones m'ont dit de le suivre mdr. C'est se que j'ai fait, on est aller en bas, je me rappèle toujours de se jour comme ci c'était hier, on c'est installer sur un banc et il avait le regard dans le vide, moi ? Je n'osez pas parler je ne savais pas se qui se passer.
Il a détourner son regard pour le poser sur le mien.
Sophiane : Wallah je ne sais pas comment te le dire.... Je suis désolée mais ton père est décédé...
Avant qu'il ne finisse sa phase j'étais en pleure j'ai monté les escaliers en courant arriver à la maison tout le monde me regardais avec pitié je cherchais mon père, mon oxygène en vue mais je ne le trouvais pas, quand finalement mon regard c'est poser sur un âme éteint, un corps qui bougeait plus, un sourire sur se visage et les yeux clos, j'ai commencer à secouer se corps.
Moi - réveille toi baba dit leurs que t'es vivant... Je t'en supplie ... Non me laisse pas baba hefek.
J'étais à bout de larmes et je pleurais sur cette âme qui aller bientôt rejoindre son créateur.
Je pleurais à chaude larmes et je ne voulais pas le lâcher.
Moi - TU PEUX PAS ME FAIRE SA STP BABA OUVRE TES YEUX MONTRE LES QUE T'ES BIEN VIVANT.
Je faisais encore plus pleurée les autres avec les mots que je disais.
Moi - me quiiiiittttzee pas nooonnnn.
Je pleurais de plus en plus, Sarah et Sana étaient là en larmes aussi et ne savaient pas quoi faire, Sophiane est venu me prendre dans mes bras mais je l'ai repousser je ne voulais pas qu'on me touche, ma mère ma sœur ? Je ne savaient même pas se qu'elle faisait.
Quand soudain je me suis rappeler de Sabry et Ilays.
Sophian était toujours à côté de moi.
Moi - Sophian.... Ta contacte Sabry ?
Il baisse aussitôt son regard.
Lui- suite à la nouvelle, il est porté disparu on ne sait pas se qui lui est arriver.
Se jour la j'avais perdue mon père et mon frère je venais de perdre mes repères.
Je pleurais de plus en plus et on a du voyager pour enterrer mon père.Hier, je suis rentrée, depuis la mort de mon père et la disparition de mon frere j'étais plus la même, je subissais des coups de ma sœur ainsi que de ma mère mais ses coups n'étaient rien par apport à la douleurs que je ressentais a l'intérieure, une souffrance que jamais je n'aurais pue imaginer.
En rentrant j'ai appris que Sarah elle était partie au Maroc voir sa famille et Sana en Turquie. C'était les seuls avec qui j'avais souffert avant mon départ pour l'enterrement j'étais à présents seul et j'avais toujours du mal à accepter la mort de mon père, accepter que je ne reverrais plus mon frère et accepter que je devais vivre avec.
Sa faisait un mois que je ne souriais plus, parler plus, manger presque plus à part quand on m'obliger.
Ma mère était blesser déçu compte à ma sœur sa lui faisait rien comme elle nous avait bien dit.
J'étais en bas du bâtiment assise sur un banc, les teneurs de murs me regardaient avec pitié mais je m'en fouttais.
Je fixer la vue devant moi quand j'ai sentis quelqu'un s'assoir à côté de moi.
Je me suis retournée et j'ai vue Sophiane.
Sophiane - Salam.
Moi - ....
Sophiane - eh oh.
Il a claqué ses doigt devant moi se qui m'a sortis de mes souffrance et ramène sur terre.
Moi - smeh Salam.
Lui - cva ?
Moi - Alhamdullilah.
Lui - tu....
Et je le coupe.
Moi - écoute je suis vraiment pas en mesure de parler à quelqu'un tu peux me laissée seule Stp ?
Il hoche la tête et pars mon regard se repose devant moi ou des souvenirs reviennent me hanter avant que des grosse boules salée coulent le long de mes joues.
***
Je viens de fêter mes 17 ans ! Fêter ? Sa serai vous mentir depuis j'ai plus de nouvelle de mon père ni de Ilays je souffre mais je ne le montre pas.
Ma sœur elle approche à son accouchement tout le monde la regarde mal et la traite de pute mais elle fais avec.
Moi je suis trop mal mais jamais j'aurais crus ma mère aussi cruel et ma sœur également.Juste apres l'accouchement de ma sœur elles ont fait un truc qui m'a marquer à jamais !
Fin de la partie.
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De l'amitié à la misère ~mariage forcé ~
RomanceJ'avais tendance à entendre cette phrase : " tu es ma fierté princesse et tu le saura toujours ! Je serais toujours la pour toi habiba ne l'oublie pas, Nbrik princesse" cette phrase venant de mon meilleur ami, mais cette personne je ne l'ai plus re...