Prologue:

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«-Tu n'est qu'une salope, Alésia.»

«-Tu devrais mourir, Connasse.»

«-Tu n'as rien à faire sur ce monde, p'tite garce.»

«-Je gagnerais face à toi.»

«-Tu pleures, hein ? Tu as mal, je me trompe ? Tu saignes, pas vrai ? Tu vas mourir, salope !»
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Ces phrases venait de la même personne, je les avais entendu toute ma vie. Je ressemblais sur aucun points à ma famille, mais apparemment mon père ne me considérais pas comme sa fille, mais plus comme son défouloir.
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Puis un soir, comme parmi tant d'autre, ma mère, mes sœurs, mon frère et moi regardions un film, c'était toujours un Mercredi soir, mon père finissait très tard, c'est un rituel pour nous.
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Ensuite, pendant le film, la porte s'était ouverte, et avait claquée quelques secondes après, on avait tous sursautais, comme dans un film d'horreur. J'avais vite compris que c'était mon père, qu'il était énervé et que la soirée allait être un désastre dès cette seconde.
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Il était arrivé, plus que énervé, nous nous étions levés, il m'avais attrapée, et m'avais plaquée contre le mur. J'étais tombée au sol, il m'avais relevée, et m'avais dit mot pour mot:
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«-Toi et ta p'tite bande, vous avez jouez au malin en brûlant mes dossiers, vous avez jouez, vous n'avez pas gagnés, vous allez perdre, PERDRE !! TU M'AS BIEN ENTENDU [Il m'avais mis une baffe, je commençais à saigner de la lèvre et du nez] Tu pleure ? Tu saigne ? Ce soir, tu vas mourir, PETITE SALOPE !!!! GARCE !!»
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Il m'avais retournée à demi tour, et il m'avait jetée contre un autre mur, quand j'avais touchée le mur, j'avais poussée un cri strident, et je suis tomber au sol, comme si j'étais en train de mourir, je respirais de moins en moins, mon corps s'éteignait, mon cerveau ne voulais plus répondre.
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    Mes sœurs et mon frère ont crier sur mon père, j'avais aperçu ma mère tombée au sol en pleure, pensant que j'étais morte.
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Je m'étais dis un jour «-Si tu le laisse gagné, tu perds, c'est sur. Si tu meurs avant lui, il gagnera, même si la partit n'est pas fini ! Alors bats toi, et tu gagnera.». Alors, j'avais pris la plus grande respiration de ma vie, j'avais ouverts les yeux, et j'avais fais ce que personne de ma vie aurait fait à mon père, ils auraient eu trop peur des conséquences. Je m'était remis debout, je m'étais approchée de mon père, tout le monde me regardait avec peur, mais mon père me regardait avec d'égout !
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Je me suis avancé vers lui: «-Tu sais quoi ? Sur tes airs de grand chevaux, tu insulte tout le monde, tu as déjà frappées maman et moi, mais la c'est trop !! Pourquoi tu te défoule sur nous, je t'ai rien fais. Alors, oui, moi et ma p'tite bande, on a brûlés tes dossiers, et plusieurs d'autres choses. Mais c'est fini !».
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J'étais montée en courant dans ma chambre. Mon père était sortit encore plus énervé que quand il est arrivé. Je regardais par ma fenêtre, j'avais vu mon père prendre la voiture et partir à toute vitesse. J'avais pleuré des heures après cette engueulade, restant assise à côté de la fenêtre.
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Puis j'ai entendu une ambulance, et j'ai vu la police arrivé vers notre maison, je me suis levée, et je me suis assise au milieu des escaliers, de façon à voir ce qui se passait, mais sans que l'on me voit. Et cette phrase est sortit de la bouche du policier:
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«-Madame je viens vous annoncez que votre mari est mort dans un accident de voiture, toute mes condoléance.» Ma mère a fondu en larme, et je suis remonter dans ma chambre. C'est ce qu'il méritait avec tout le mal qu'il m'avait fait.
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Ma vie est bizarre, et vous ne devez pas comprendre ce que je vous dis, mais je peux continuer à vous raconte mon histoire.
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Never Look Back [1D] [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant