Never Look Back [1D] [TERMINÉE]

Chapitre 1: La lettre de pardon

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Je viens de me réveiller, il fait beau et les rayons du soleil rentre dans ma chambre alors qu'il est encore de bonne heure. J'attache mes cheveux avec l'élastique que j'ai toujours à mon poignet, je prends mon gilet et commence à me lever, quand quelque chose, qui n'est pas là d'habitude, me choque. Je me rassois sur mon lit, et prends ce papier:
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«-Alésia, je pense que tu ne veux pas me parler, alors je te l'écris.
Je suis vraiment désolé, désolé de vous avoir laissé, je suis l'homme de la maison, et je suis partis en pensant que à moi.
J'ai appris que tu fuguai beaucoup et que tu savais ce que papa faisait quand il partait plusieurs jour.
J'aimerais que l'on parle, s'il te plais. Notre complicité me manque, et j'ai quelque chose à te proposer.
Bisous
Zayn»
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Je m'appelle Alésia Whitney Kaily Malik, j'ai dix-sept ans, je suis blonde au cheveux bouclé, j'ai les yeux vert perçant, on m'a toujours dis que même un aveugle pourrait les voir.
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    C'est une expression, bien sur, enfin je préfère préciser, pour ce qui aurait pas compris. Je m'habille très rarement en couleur, je suis toujours vêtu de noir, avec basket et dès fois des talons. J'aime me battre, je fais beaucoup de sport. Je ne donne pas facilement ma confiance au gens, j'ai un fort caractère.
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Mon frère, Zayn Jawaad Malik, vingt et un ans, il est brun, au yeux marron. Sur de lui, vie souvent que pour lui. Il nous à abandonner deux semaine après ses dix-sept ans, un an après la mort de mon père... Tout ça, pour son rêve de chanteur, où d'ailleurs, il a échoué en solo et a fini en groupe avec quatre autres kéké.
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    Doniya, première enfant de la famille, elle a vingt quatre ans. Toujours là pour nous, elle est serveuse, et magnifique.
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     Whaliyha, quatrième de la famille, elle a quinze ans. Elle a une intelligence étouffante.
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    Saffa, dernière de la famille, elle a onze ans. Elle est maline et retient tout.
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Dans la famille, on se ressemble tous, tous brun au yeux marron, et il y a moi, blonde au yeux vert. Je sais que j'ai été adoptée, mais on en a jamais parler, c'est comme un truc à ne surtout pas dire.
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Enfin, je descendis, et vis mon frère avec ses quatre chiens dans le salon, avec mes sœurs et ma mère. Ils me regardent tous comme des Gogol, ce qui m'énerve, genre, je viens de me réveiller, même pas «bonjour».
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«Moi: Bonjour peut être ? Non ? Ok, sa tombe tient je voulais pas vous voir les p'tits chanteurs d'opéra, pff... Allez next !»
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Je pars dans la cuisine, prends une pomme, et remonte dans ma chambre. Je me change en tenu de sport, puis mange ma pomme, et pars courir, je réfléchis à ce que mon frère veut me proposer, un truc de merde je pense non ? Vous pensez quoi, vous ?
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Après une heure de course, j'arrive à un petit parc, il y a personne, donc je commence à faire des figures de gym sur les jeux. Puis je repars pour vingt minutes de course pour rentrer, arriver à la maison, je marche un peu devant pour reprendre le souffle.
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«???: Ton frère nous à jamais dis que tu courrais.

Moi: Parce que même en nous abandonnant, il parle de nous, l'enculé?

???: Alésia, il t'aime, il voulait juste réaliser sont rêve.

Moi: Ouais, parce que j'en ai pas peut être, c'est quoi ton prénom à toi le kebab ?

Harry: Harry, et on m'appelle le mouton, pas le kebab.

Moi: Ouais bref... un kebab c'est un mouton sans patte, et on s'en fou. Bon allez, en revoir.»
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Je le laisse en plan devant la porte, monte direct dans la salle de bain, prends ma douche, et retourne dans ma chambre pour choisir mes affaires de la journée.
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    Je prends des choses simple comme à chaque fois, débardeur noire, slim noire, basket Nike noire et blanche, un gilet gris, et une veste en cuir noir. Je prends aussi mon casque de moto qui est blanc avec des têtes de mort dessus, et mes gants noir. Je descends et là:
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«Zayn: Tu vas où ?

Alésia: Là où tu es pas, Zayn.

Zayn: Alésia, tu as lu la lettre ?

Moi: Ouais et ?

Zayn: Viens t'asseoir.

Moi: Quoi ?, dis-je en m'étalant sur le fauteuil.

Zayn: J'ai un truc à te proposer, maman est d'accord, je veux te proposer de venir vivre avec nous à Londres, ça te dis ?

Moi: Je ne sais pas.

Zayn: Tu serais à Londres, et tu pourrais t'éclater avec nous.

Moi: Je ne suis pas un bisounours, il suffit pas d'un claquement de doigt pour que je te pardonne, peut être que elles, elles te pardonne, mais moi, j'avais besoin de mon grand frère. Mais il est tellement con et aveugle qu'il ne voit rien.»
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Je me lève, et pars vers le garage, Zayn et ses chiens me suivent, je mets mes gants, je sors les clés de ma poche, mets le contact. J'ouvre le garage, et monte sur ma moto. Je les regarde:

«L'abeille: Tu sais conduire une moto ?

Moi: Non, mais j'en ai une tu vois... Bah oui abeille bleu et blanche

Zayn: On a pas fini, Alésia.

Moi: Écoute, je vais être sincère, Zayn. Tu m'as abandonnée, les filles ne disent rien, parce qu'elles ont tellement besoin d'un frère, qu'elles ne font rien pour te perdre, mais j'en ai des problèmes, et des rancunes contres toi, on ne peut même pas les compter tellement il y en a. Donc, s'il te plais, je fais des efforts pour te parler et te regarder, mais ne pense pas que je vais te sauter dans les bras, ou te dire des «je t'aime grand frère», non. Alors, oui, je vais faire un effort pour maman, je vais accepter de venir à Londres, mais franchement, je ne vais pas faire la niaise, je vais te faire souffrir comme tu l'as fait pour moi. Tu n'avais pas le droit de partir, et tu l'as fait, donc maintenant, en revoir.»
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J'ai une larme qui roule sur ma joue, je mets mon casque et pars en vitesse, je roule.
Je me libère, je vais sur une quatre-voix, et je me lâche, j'en ai besoin.
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Puis j'ai une idée bizarre qui me vient à l'esprit, alors je prends la prochaine sortit, et fils vers le centre de Bradford, ma ville, c'est vrai je ne vous l'avait pas dit. Je gare ma moto, j'enlève mon casque et mes gants, les pose sur le siège, range le casque et les gants dans la boite prend la clé, et je entre dans la boutique, celle qui travaille ici, me connais bien, elle me mis a une place direct et me demanda:
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«???: Alésia, tu veux quoi aujourd'hui ?

Moi: J'aimerai que tu me rase tout le côté droit.

Coiffeuse: Bien sur.»
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Changement de tête ^^ je voulais le faire depuis un petit moment, autant en profité avant de partir à Londres.
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Après cela, je paye, et repars en moto, je rentre à la maison, je range ma moto quand j'arrive chez moi, range le casque et tout le tralala... et sors du garage pour arrivée dans la cuisine qui donne sur le salon.

«Zayn: Mais qu'es ce que tu as fais ?

Moi: Je suis allé au coiffeur. Panique pas, détend ton string

Blondinais: Tu peux aller faire ta valise, s'il te plais, on part demain de bonne heure.

Moi: Je comptait la faire, mais ça va être très vite, j'ai que quatre jeans, quatre débardeurs, quatre paires de baskets, deux gilets et un manteau, mais le truc, c'est que je vais à Londres en moto. Donc VOUS partez de bonne heure, et JE pars vers treize heure. D'accord le blondinais?»
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Je monte dans ma chambre, je prends le mini sac que j'ai sous mon lit, et je mets mes jeans, débardeurs, baskets et gilets. Puis le ferme, je me mis en pyjamas, et pars me coucher direct. Trop fatigué.
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