Summer Vibes [ MAGCON BOYS ] C.D / T.C

Chapitre 40

7 juillet 2015, vers 13h30

Pdv Dylan :

Finalement j'ai réussi a m'échapper de l'autre Jepy ou Jey fin on s'en fout. J'avais mauvaise conscience donc je suis parti. J'avais peur du fait que Laura découvre tout : "mais elle a te hait pauvre con" ne cessait pas de me répéter ma conscience. Complètement à l'ouest je me dirigeai vers le bar en priant pour l'autre conne ne me suive pas, enfin je pense qu'actuellement elle est plutôt en train de pleurer vu comment je l'ai jeter alors qu'elle était chaude comme de la braise. Je m'asseya au bar le regard dans le vide. Je ricana, quel salop je fais mon dieu et en plus j'aime ça...

"Qu'est ce que je te sers mon beau? (Entendis-je, je relevais la tête pour voir une très jolie fille me regarder avec un oeil aguicheur)
- un rhum (je plissais les yeux sur son badge pour voir son nom à côté de son décolleté plongeant) Leigh-Anne s'il te plait
- parfait, mais j'aimerais bien savoir ton prénom, j'aime être proche de mes clients tu sais
- (je la regarda d'un oeil agréablement surpris) Dylan ma belle
- et bien voilà ton rhum et mon numéro que tu viens de gagner (super pensais-je un nouveau plan cul) et (elle fit le tour du bar se déhancher bien ce qui ne fit pas de mal à mes yeux) j'ai réussi à avoir ma pause et je n'ai malheuresement pas de siège pour m'assoir (après avoir dit ça elle sauta sur mes genoux je la regardai faire intéréssée pas ce qu'elle allait faire, cela ne se fit pas attendre elle commença a se tortiller sur mon pénis ce qui n'eut aucun effet sur moi)
- ma belle (dis-je en lui murmurant à l'oreille) j'ai une copine ce que tu fais là ne sert à rien, je suis en couple et je l'aime et ce n'est qu'elle qui a de l'effet sur moi, excuse moi trésor."

Et je la dégagea de mes genoux ne prenant pas le temps de savoir si je lui avais fais mal ou quelque chose dans le genre m'en foutant royalement.

Je partis loin de ce bar de malheur ou deux meufs m'avaient abordées a pas beaucoup de temps d'intervalles. En y repensant c'est louche mais bon...

Je me dirigeai vers mon bungalow bien contente de retrouver ma soumise hum hum je veux dire ma copine.

J'étais en train de marcher tout heureux quand quelqu'un me percuta. Rooh qui est le con qui m'a foncé dessus?

"AAAAAAAAAAAAAH BORDELLLL SALOOOP !!!!!!! JE PEUX PLUS MARCHER !!!!"

Je me retourna interloqué nan mais ça va là de m'insulter ? Quand je me retournais je vis une très belle blonde aux yeux bleus (qui me disais quelque chose) en brassière de sport avec un beau corps etc... Mmmh... Je me repris en me rappelant qu'elle avait gâché mon moment "heureux".

"T'as quoi là? (Dis-je agressivement, meme si elle est jolie elle m'a insulté la salope !)
- mal ! A cause de toi ! Ramène moi a mon bungalow
- tu m'as pris pour mère Teresa ou quoi?
- tu m'as fais tomber t'assumes ! Accessoirement tu m'as estropié donc tu me dois bien ça !
- (je fis les gros yeux) tu déconnes ou quoi ? C'est toi tu m'as foncé dedans pour pas dire carrément me sauter dessus !
- discutes pas pas tu me ramenes CHEZ MOI !
- Nan ! T'es malade toi !
- dépêches toi de m'y ramener sinon tu auras ma mort sur la conscience
- mdr et comment tu vas t'y prendre (lui demandais-je hilare)
- en bloquant ma respiration
- (je souffla avant de m'accroupir devant elle) pour moi c'est du bluff chérie
- ah ouais? (Dit-elle avec un air de defis)
-yep (dis-je en me relevant mais en la regardant quand même)"

Et elle coupa sa respiration la conne. Je la vis me regarder d'un air supérieur la bouche fermée et le nez pincé. Et elle me regardait, et elle commençait à devenir rouge. Et je m'affola et céda :

"C'est bon c'est bon ! STOOOOOOP RESPIRE !! (Voyant qu'elle ne faisait pas ce que je disais et que sa tete devenait de plus en plus rouge je dis) JE TE RAMENE C'EST BON !!!!"

Et me regarda, repris "son souffle" et déclara satisfaite :

"Bah approche je vais pas me bouger toute seule non plus"

Je souffla, m'approcha et la mis sur mon dos, aah la belle salope.

Puis elle dit toute contente :

"Je crois qu'on va rester longtemps ensemble donc moi, c'est Perrie enchanté !
- comment ça longtemps ensemble ?
- bah tu vois l'autre bout du camping, bah mon bungalow est là
- tu déconnes ? (Dis-je en serrant les dents afin de ne pas peter un cable comme je sais si bien le faire)
- accessoirement non, aller avance cher destrier (car je m'étais arrêté quelque peu décontenancé et coléreux parce qu'elle m'avait dit)
- (je soufflais fort) alors tu t'appelles comment ? ( déclara t-elle)
- Dylan
- ah moi c'est Perrie ! (Je secouai la tête, *mon dieu où je suis tombé* pensais-je)"

Et elle commença un monologue a la con que je n'écoutais pas, mais au bout de cinq minutes je perdis patience :

"Ferme ta gueule putain t'es insupportable et vraiment a enfermé ! Ta voix de crécelle j'en peux clairement plus donc dis moi où est ton bungalow pour de bon pour me foutre la paix"

Et elle m'obéit, LE BONHEUR !!

*dix minutes plus tard*

Je sentis une petite main timide me tapoter l'épaule. Je fis comme si de rien. Puis elle murmura
"Dylan, hééééé Dylan !"
Je ne répondis toujours rien, saoulé par avance par ce qu'elle allait dire.

"Dylan c'est important !
- (je souffla pour une énième fois je crois) quoi?
- je sais pas où on est là"

Je fis les gros yeux, quoi? Je la déposa et me retournait vers elle en colère

"PARDOOOON ?!!?"

Et elle comença a marcher pour réflé...

"MAIS TU MARCHES !!!"

"Heum..." Elle me regarda comme cramée ?

Je me retournais pour voir où on était. Par chance je savais où j'étais. Je commençais a partir quand elle me dit :

"Me laisse pas seule !"

Je la regarda d'un air haineux avant de m'en aller et en lui répondant :

"Va te faire foutre Blondie"

*20 minutes plus tard*

Après 20 minutes de marche je vis mon bungalow, enfin celui de Lau que j'ai squatter. Fin bref.

En parlant d'elle elle va morfler la pauvre je suis juste HYPER vener de mettre fais avoir. Et puis bon on s'en fout elle sera la au mauvais moment, ce n'est pas de ma faute.

Je sortis ma clef et ouvrit la porte.

Je ne vis personne, normalement elle m'attend cacher et recroqueviller dans un coin de la chambre avec son air de chien battu et de victime qui lui va si bien.

Je cherchais dans toutes les pièces.

Mais elle est où bordel?

J'arrivais a regarder dans la salle de bain, il faisait extrêmement froid ce qui n'est pas normal dans une pièce chauffée.

Je levais alors mes yeux vers la fenêtre.

La fenêtre entrouverte.

Mais non elle n'a pas fait ça. Je serrais les poings avant de ne plus me contenir.

Je les balança dans le miroir et gueula :

"AAAAAAAAAAAAAH LA SALOPE, SELENA TU ES UNE FEMME MORTE !!!"