Piegés ✅

Méprisée

Coucou coucou!! Bien ou bien? En ce dimanche matin ensoleillé, je vous offre ce chapitre, la dernière fois on m'a dit que le dernier chapitre avait été long alors pour compenser le dernier chapitre, je vais publier un autre d'ici quelques minutes. J'ai juste besoin de jeter un petit coup d'œil sur ce que j'ai écrit. J'espère que vous passerez une bonne semaine.

J'ai aussi changé la photo de couverture, mais si vous avez une meilleure idée pour la couverture, dites-le-moi j'adorerais parce que ce je ne suis pas super bonne pour ce genre de chose.

Votez si vous aimez! ;)

Bisous!!!

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–Trois jours plus tard —

– Nico, ne fais pas ça.

En ce jeudi soir, mon neveu avait plus que de l'énergie. Trop pour moi puisque ces derniers jours, je ne dormais que peu.

– Zio, giocare me, parvint-il à dire.

Je souris en m'agenouillai devant lui.

– Tu l'as mal dit, c'est : giocare con me, ripetuto con io Nico.

*(Traduction : Joue avec moi, répète avec moi, Nico.)*

Comme demandé, il tenta de répéter, mais échoua misérablement. Déçus, ses yeux commencèrent à être remplis de larmes.

Je ris et le soulevai dans mes bras.

Peut-être qu'il n'avait pas autant d'énergie que je le pensais, il n'était pas autant pleurnichard, habituellement. Je tentai de l'apaiser en caressant son petit dos tout en me dirigeant vers la cuisine.

– Votre fils est fatigué, dis-je à James et à Xan.

Nico avait adopté Xan et elle aussi elle l'avait fait, alors, il était son fils même si ce n'était pas le cas sur papier.

– Je m'en occupe, dirent-ils en même temps.

Et voilà.

– Je m'en occupe déjà, je ne venais que vous avertir que peu importe ce que vous faites dans cette cuisine, vous devriez vous dépêcher, il doit grignoter avant de dormir.

Tout le monde était chez James pour le reste de la semaine question de passer du temps ensemble. Si je ne me trompais pas, Mae allait aussi passer puisque Nadia devait partir quelque part.

– Ta copine n'est même pas capable de faire une sauce bolognaise, ce n'est pas de ma faute.

– Nous ne sommes pas ensemble, répondit Xan rapidement, et oui, je l'ai réussie.

J'évitai de penser à l'effet que les mots de Xan venaient de créer en moi.

– Tu as réussi?

– Oui, ça m'a pris du temps, par contre.

– Exactement, c'est pour ça que ce n'est pas encore prêt.

Xan massacra mon frère du regard ce qui me fit rire.

– Ne vous tuez pas, je vous laisse, je vais lui donner son bain.

– Merci, me dirent-ils.

Je montai avec mon neveu dans mes bras et préparai son bain. J'étais appuyé contre le chambranle de la porte du petit dressing de mon neveu, en train de le regarder chercher soigneusement ce qu'il voulait mettre comme pyjama quand mon cellulaire se mit à sonner.

– Oui? Décrochai-je les yeux toujours sur Nico?

– J'ai besoin de l'argent maintenant.

– Bonsoir, j'écartai le cellulaire, Nico, pas celui-là, tu dois prendre un vêtement qui pourra te tenir au chaud, je remis le cellulaire contre mon oreille.