-PDV ZACK -
Malaise? Bizarre? Froideur? Quels mots pourrais-je utiliser pour décrire cette rencontre avec elle? Dire que je ne venais que de pénétrer dans son bureau.
Étais-je le seul dans cet état? Ce malaise, cet inconfort, j'étais leur seule victime?
Je m'assis et arrangeai mon costume avant de déposer mes papiers sur son bureau, vers elle.
J'allais me mettre à parler quand elle me devança.
– Tu me donnes une minute? Je dois juste aller me prendre un verre d'eau.
Je hochai simplement la tête. Je n'avais rien de plus important que ce rendez-vous et je lui avais réservé la matinée complète.
Elle se leva et immédiatement mes yeux partirent parcourir son corps.
Ses mèches sombres tombaient en cascade sur ses épaules, les recouvrant avec élégance. Je me souvins immédiatement de ma main dans ses cheveux, de leur douceur, de la façon dont ses mèches glissaient entre mes doigts.
Elle se déplaça et incapable de lui résister, je la suivis des yeux.
Sa veste bleue, boutonnée juste un peu, cachait un bustier en dentelle qui laissait voir parfaitement la perfection qu'était sa poitrine. Qu'est-ce qui n'était pas parfait chez elle?
Ses seins étaient parfaits pour mes mains, ils semblaient tellement sensibles, si délicats. En revoyant la scène, je me rendis compte que je commençais à me sentir à l'étroit dans mon pantalon.
Xan marcha pour quitter son bureau et je vis ses fesses. Rondes, fermes, douces, sa peau au complet était douce, veloutée même. Mes yeux remontèrent... sa taille...
Je me voyais encore la tenir par la taille. Je la voyais sur moi, le visage magnifique avec ce teint rosé qui lui allait parfaitement, la bouche légèrement ouverte, ses cheveux caressant ses épaules à chacun de nos mouvements.
J'entendais même ses gémissements de plaisir.
Je mis mes mains devant moi pour cacher mon érection. Je ne faisais que la regarder, que la regarder marcher et j'étais aussi raide et prêt? Merde.
Elle se pencha et je luttai de toutes mes forces contre mon désir d'aller la rejoindre et de la prendre dans toutes les positions possibles.
La caresser, la faire gémir, toucher ses cheveux, caresser ses seins qui étaient faits pour moi, prendre ses tétons dans ma bouche, regarder les bouts rosés devenir encore plus tendus, la gouter, je voulais lui faire des choses que jamais elle n'avait imaginées. Tellement de choses.
Tout mon corps la voulait, mon cerveau, mon intelligence était en train de lui aussi, abandonner.
Ses jambes, je les regardais maintenant. Tout était parfait. Elle serait encore plus parfaite si elle était mienne.
Je l'entendis soupirer et c'est à ce moment que je me mis à douter encore plus de ma capacité à laisser mon cul sur cette chaise. Un soupir pourrait presque faire en sorte que je vienne dans mon pantalon ou pire, et si la fermeture éclair de mon pantalon me lâchait? Ce pantalon coutait cher pour la marque, pas pour l'excellence de sa qualité.
Encore un autre et s'en sera terminé pour moi.
La seconde qui suivit ces pensées, j'étais debout avec une chose entre mes jambes qui ne paraitra certainement pas inaperçue et qui me faisait souffrir le martyre.
Je fis un premier pas vers elle avant de m'arrêter. Une réalité venait de me violer le cerveau. Je l'avais «plaqué» je n'avais aucun droit sur elle.
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Piegés ✅
Romanzi rosa / ChickLitExtrait: 1- Comme dit le dicton telle mère telle fille, tu ne dois pas savoir le faire sans te faire payer alors, je vais te payer et on couchera ensemble. Les putes restent putes, hein ? 2- ''Tu sais, l'individu avec des seins, des cheve...