Le grand jeu 1.1

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Après le coup de fil, tout s'est déroulé tellement vite. Nous avions fait nos bagages, avions téléphoné au pilote qui était quelque par, mais proche d'ici en train de s'amuser pour lui dire que nous partions.

Arrivés, nous étions allés chez moi, notre chez-nous à New York, avions prit une douche rapide et avions prit une voiture pour aller au poste de police.

En ce moment, nous allions descendre de la voiture pour entrer.

- Prête ?

- Quand tu veux.

Il m'embrassa rapidement avant de sortir de la voiture. Je pris mon sac à main et descendis de la voiture.

Je lui tendis la main, il la saisit et ensemble, nous entrâmes.

À mon gout, j'étais venue à cet endroit trop en un si peu de temps. J'avais l'impression de reculer de plusieurs années et je n'aimais pas.

- Bonjour, je suis Zachary Denver, ma femme et moi sommes venus rencontrer John Alec, dit Z en exerçant une plus grande pression pour me calmer.

- Oui, suivez-moi.

On suivit le jeune officier en silence jusqu'au bureau de l'homme où, il cogna contre la porte.

Après nous avoir annoncés, le jeune homme nous dit d'entrer avant de nous laisser.

Quand on entra dans le bureau, on vit un homme dans la cinquantaine nous regarder.

Il se leva, nous tendit la main.

- Les jeunes mariés dont les médias parlent beaucoup, comment allez-vous ? Encore navré de vous avoir dérangé pendant votre voyage d'amour.

- Bien et vous ? Il y avait urgence alors nous sommes venus, ce n'est rien de très grave, voulus-je rassurer l'homme pendant que Zack, lui, n'avait rien dit après avoir serrer la main de l'homme.

- Ce n'est pas ce que pense votre mari, je dirais.

Je caressai la main du père de mon enfant et lui sourit.

- Peut-être bien, mais il a compris que c'était une urgence.

- Je ne serai pas trop long, asseyez-vous, nous invita le policier.

On s'assit sagement et attendit qu'il parle.

- Lundi, dans la matinée, nous avons été demandé par une femme qui a entendu des hurlements chez sa voisine. Nous sommes allez, cependant il était trop tard. Les occupants de l'appartement avaient déserté.

En quoi tout cela nous regardait ?

- Enfin, presque tous, nous avons trouver une fillette d'environ cinq ans en très mauvais état.

Je sentis une forte nausée s'emparer de moi. Quelqu'un avait osé faire une telle chose à un enfant ?

- Nous l'avons, bien évidemment, reconduit à l'hôpital. Elle va beaucoup mieux, elle était mal nourrie, ne dormait pas et a des marques de coups sur le corps.

Je mis la main devant ma bouche pour empêcher mon cri d'horreur et regardai l'homme avec une colère grandissante.

Aucun enfant ne méritait un tel traitement.

- Nous avons cherché des informations sur cet enfant, avons fouillé l'appartement de fond en comble, cependant nous n'avons pas pu trouver d'information. Étrangement, dans notre système, il n'y a aucune information sur elle non plus.

Il nous regarda tour à tour avant de continuer.

- Hier, je lui ai rendu visite et nous regardions la télévision quand elle vous a vu, les deux, il nous montra.

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