Nos frères sont bloqués, il n'entends et ne voit que par la rue ; autrement dit la direction qu'ils ont emprunté est parsemé d'embûche, et il ne le voit pas à cause du voile bandant leurs yeux. Malgré qu'il ne soit pas aveugle, ni sourd, il ne voit pas, et n'entends pas. Ils suivent tous la trace des pseudo-anciens ; ses même hommes qui se sont donné un statut, une grade, qu'on doit tous respectés. Je dirais que les vrais ancien, sont dans vos maisons ; vos parents, c'est ceux qu'on traite de blédard qui savent conseiller, et leurs paroles sont sage comme leurs actes. Nos frères oublient que nos parents possèdent une grande sagesse c'est ce qui fait leur force. Si, ils étaient venu en France et aurait commencé par vendre la mort, tous autant qu'on est serions riche et vivrons non pas dans HLM, mais sûrement dans une luxueuse maison qui deviendrai prison !
L'amour et la tendresse ils ne connaissent pas ; c'est quelque chose qu'ils doivent apprendre petit à petit, c'est regrettable ! Tout être humain, possède une certaine douceur mais nos frères cette douceur, ils le transforment en haine et violence. On n'en oublie parfois que se sont des personnes avec un cœur battant dans leur poitrine. Ses même frères font souffrir leur entourage, et broie sans pitié les cœurs de leur proche.. ses même proches qui finissent pas déverser des flots de larmes.
En ce jour, je suis une femme lapidé par l'amour. Cet amour me broie et me tue de l'intérieur, je vois l'homme que j'aime se faire du mal à lui même, c'est comme un suicide qu'il fait devant mes yeux. Aimé un homme noyé dans la violence et dans le danger, ça fait mal ! L'amour est un titan, elle possède un pouvoir immense sur notre raison, et notre cœur, c'est pas quelque chose de futile qui partira en un rien de temps ; c'est quelque chose qui reste ronger ton cœur peu à peu sans que tu ne comprenne, et cette douleur que ton cœur crie, tu la montre avec des larmes, rien que des larmes.. un liquide incolore coulant de tes yeux, mais qui provient de ton cœur. L'amour c'est pire qu'une prison, tu ne prends pas des mois ni des années, mais tu es condamné à perpétuité. Je me demande comment j'ai pu tomber amoureuse de cet homme aux milles aspects.
Une tonne de question me trottent dans le système nerveux. Combien de temps tout ça durera ? Combien de temps devrai-je souffrir pour un banlieusard ? Le mérite-t-il ? Suis-je assez forte pour vivre le restant de mes jours avec un homme comme lui ? Je pense à la promesse qu'il m'a faîte de s'arrêter très bientôt mais est-ce vrai ? Mon mari n'est pas un mythomane, il préfère faire souffrir avec la vérité qu'avec le mensonge. Le soucis, c'est qu'un alcoolique à toujours dis qu'il arrêterait de boire à un moment précis, mais ne le fait jamais ; l'addiction mène à la perte. Des doutes parsèment mon cerveau. J'ai peur tout simplement !
La douleur intérieur m'avait donné un choque. Mes neurones ont pris en compte ses paroles que peu de temps après qu'il les ai prononcé ; les battements de mon cœur s'accélérait, j'étais essoufflée, c'était comme si j'avais couru un marathon. En même temps, je scrutais son visage. Une seule perle avait coulé de ses yeux gris, et pour moi c'était comme un océan entier. Je ressentais le besoin qu'il avait de moi, mais aussi le besoin qu'il avait de se venger. La vengeance est un plat qui se mange froid dise-t-il, mais on oublie qu'après l'avoir manger, peu de temps après on la vomit à cause de sa froideur. Quel vengeance veut-il accomplir ? Pendant combien de toi vais-je devoir l'attendre ? C'était que des questions qui me passaient par la tête.
Il me lâcha finalement, et donna un coup sur le mini-meuble où se trouvait les médicaments, et il a fuis dans une autre pièce. J'ai laissé tombé mon corps tout le long du mur, j'étais en pleure... j'avais mal..mal car l'homme que j'aime ne me dis pas vraiment tout... mal car il me manque.. mal car je l'aime... mal car je veux qu'on retourne à notre vie... mal car il souffre. Je me suis remémoré la scène en boucle dans ma tête, les paroles les plus violent me sont revenu, ses paroles m'ont touché comme une balle touche sa proie. Je me suis recroquevillé sur moi-même, j'ai croisé mes bras, et j'ai posé ma tête.
Cet homme est fissuré de l'intérieur ; il pleure intérieurement et ses larmes intensifie sa douleur . Un homme de son type est pour moi un mourant, qui cherche tout simplement à s'achever par n'importe qu'elle moyen, et laisser son âme quitter son corps tout en continuant ses bêtises. Mes larmes coulent à flot, et mouille mon bras. Je renifle, je me concentre pour que tout ça s'arrête mais c'est impossible. J'ai accumulé tellement de chose, que mon cœur semble lourd, au point que mon corps n'arrive pas à le tenir ; j'ai la sensation d'être dans une boîte enfermée, et que quelqu'un me presse les poumons pour m'empêcher de respirer c'est atroce !
Il y a tellement de faiblesse en moi, j'en oublie que la force existe dans tout homme. « Les larmes prouvent leur amour, elles n'apportent pas leurs remède. » cette citation célèbre de Shakespeare est véridique. Je pleure par amour, mais pleurer ne résout rien... les pleures servent simplement à vider et non guérir.
Une main se posa sur ma tête, et caresser mes cheveux. J'ai levée la tête et c'était Hâlim avec un mouchoir à la main ; j'ai remarqué qu'il s'était douché, de l'eau sur ses cheveux mettaient des gouttes par terre. J'ai pris le mouchoir de sa main d'un geste brusque, me suit mouché, et j'ai essuyé mes larmes avec mes deux mains :
- Prends une serviette et sèche tes cheveux.. t'es pas rétablit !
Même dans le pire des cas, je m'inquiète pour sa santé, comme dirait Marcel Achard : « L'amour, c'est être toujours inquiet de l'autre. ». Je me suis levé, j'ai pris mon sac et j'ai commencée à chercher la salle-de-bain. J'avais besoin d'évacuer le surplus d'information que j'avais assimilé. Dans la douche, j'ai commencé à réfléchir, réfléchir et encore réfléchir, sans trouver de solution à ses multiple problème. J'ai mis une longue et simple 3abaya, et j'ai fais un chignon. Je me suis ensuite dirigé vers la cuisine pour trouver de quoi nous nourrir. En ouvrant le mini-réfrigérateur, j'ai trouvé un jus d'orange, des bananes, et des pommes. J'ai mis du jus dans deux verres différent, et j'ai commencé à coupé les bananes et les pommes pour faire une mini-salade de fruit. Après les avoir couper, j'ai tout mis dans un bol.
Hâlim était assis sur le clic-clac qu'il avait mis en canapé et était en train de fumer. Je suis partie ramasser le petit meuble -qui était une table de chevet- qu'il avait éjecter peu de temps avant, et l'ai placé devant lui. Sans lui adresser un mot, je suis partie dans la cuisine chercher le bol avec son verre. J'ai tout déposé sur la table de chevet sous son regard. Sans qu'il comprenne, j'ai pris la cigarette dans ses mains, je l'ai mis au sol et l'ai écrasé.
- Mange !
Je suis repartie dans la cuisine pour boire le verre de jus tout en mangeant une pomme. Je repensais à l'Algérie ; ce pays me manquer énormément. Les paroles de sa grand-mère me revenait en tête. Chaque visage d'un membre de sa famille défilent comme un film. Tous ces beaux souvenirs sont enlaidie par les événements qui se sont succédait.
Le nuage où je me trouvais lors de notre voyage a disparu.. c'est un nuage gris qui se forment au dessus de moi. La météo de mon cœur a signalé un intempérie.. la pluie est déjà tombé, il ne manque plus que le tourbillon pour tout dévasté sur son passage. Les bras de mon mari aurait été l'abri où je me serais réfugié quand la tempête se lèvera, mais c'est impossible, car c'est lui qui provoque ces nombreux intempéries.
Après avoir fini de manger, je suis retournée dans le salon pour voir si il avait fini mais il n'avait pas touché aux fruits et avait mis loin de lui la table de chevet.
- Pourquoi t'as pas mangé ?
- Hâlim : J'aime pas les fruits.
- Débrouilles-toi mais manges tout !
J'allais reprendre la table de chevet pour la remettre devant lui, mais il a attrapé mon bras. Il m'a posé sur ses genoux sans faire d'effort. Je voulais pas d'approche avec lui après tout ça ; j'allais me levé mais il m'a remis sur ses genoux immédiatement.
- Lâche-moi !
- Hâlim : T'es pas belle quand t'es en colère.
- Je m'en fou, lâche-moi !
Il me prends la mâchoire doucement pour que je le regarde.
- Hâlim : Tu me fais peur quand t'as cette tête.
- Si tu veux pas que je te frappe, lâche-moi !
- Hâlim : Ma princesse..
- La princesse est devenu une sorcière !
- Hâlim : Ma sorcière alors..
- Tu peux me laisser ?
- Hâlim : Non. Je veux te parler.
- Je veux pas moi !
- Hâlim : On parle tranquille.
- Je veux pas !
Il m'a pris par la nuque ; mon corps a frémit. Je me suis retrouvé à le regarder dans les yeux. Il m'a volé un baiser.
- Hâlim : Smeh (*Désolé)
- Pourquoi tu t'excuses ? C'est toi le boss, le meilleur dans le business !
Dis-je d'un ton ironique.
- Hâlim : Je suis sérieux Hâyat..
- OK !
Je faisais l'indifférente, mais mon cœur lui criait tellement de chose. L'amour m'a fait perdre plusieurs de mes neurones.
- Hâlim : Te voir pleuré à cause de moi, ça me tue !
- Si tu veux plus me voir pleuré, arrête ce que tu fais, et on rentre.
- Hâlim : C'est pas aussi simple, je suis rancunier Hâyat, et je dois finir tout ce que j'ai commencé avant de rentrer.
- La rancune te mènera à quoi ? À rien. Tu dois finir quoi ? Qu'est-ce qui est plus important que moi ? Ta vengeance, ton business ? 99 % business, 1 % ta femme.. bravo !
- Hâlim : Dis pas de la merde. T'es plus importante que tout.
- Écoutes-moi alors. Prouve-moi que je représente plus que tes conneries.
- Hâlim : Je dois finir ce que j'ai commencé.. comprends-moi.
- Tu veux que je comprenne quoi ? Tu m'a rien expliqué.. rien !
Il détache sa main de ma nuque et baisse la tête :
- Hâlim : Je suis partie en taule à cause d'un mec qui m'a balancé, sinon jamais je serais tombé... Pour les braquages c'est moi qui met tout en place, j'ai pris la place depuis trois ans d'un mec qui avait fini dans la drogue donc il servait plus à rien. Pour ce faire plus d'argent, les mecs qui se chargent d'aller braquer m'ont appelé, au début ils me voulaient seulement pour faire les plans, et bousiller les alarmes.. mais j'ai pas accepter je voulais aussi participer... -en se raclant la gorge- commencé guetteur, être vendeur, et finir dans les plans de braquage, pour moi ça devenait un très bon jeu et j'étais le maître... les flics commençaient à être sur nos traces donc on a arrêté un moment. Pour moi, la taule c'est pour les gens cons, sans cervelle qui se font attraper pour un rien, j'avais oublié que ça pourrait m'arriver un jour.. Hâyat, je me croyais invincible, je pensais être le meilleur en tout. Un jour, l'autre drogué est revenu pour réclamer sa place que j'avais pris, on s'est foutu de lui et il s'est barré. Quelques jours plus tard, j'avais tout préparer pour un braquage, et ce jour-là les flics m'ont pas raté.. il nous as balance, plusieurs d'entre nous se sont trouvé au trou.. et quand j'ai appris que c'était lui j'ai promis de me venger, pour me venger faut que je fasse un dernier plan pour un braquage.. je dois le finir, il a envoyé des mecs pour en finir avec moi.. c'est par sa faute que tu m'as vu dans ses états.
J'étais abasourdie. Ma vie devient carrément un film d'action ; pour moi c'était un vendeur de drogue comme tant d'autre dans nos quartiers, je ne me doutais pas de chose aussi dangereux, digne d'un criminel.
- Tu...-en avalant ma salive- vous allez le tuer ?
- Hâlim : Regarde-moi dans les yeux.. tu penses que je suis un assassin ? Je peux avoir une arme sur moi, voler, frapper, mais tuer j'en suis pas capable. C'est pas mon rôle d'ôter une vie.
- Et c'est ton rôle de faire des plans de braquage ?
- Hâlim : C'est le dernier Hâyat, le dernier.. il doit pourrir en prison comme nous on l'as était.
- Comment ?
- Hâlim : Il va chercher à bousiller notre plan, comme il est toujours en train de fumer, une meuf du quartier qu'on connaît très bien va se trouver chez lui avec lui, et va déposer tout les plans que j'aurais fais dans sa maison. Un jeune va contacté les flics, et ça sera son tour de connaître le hebs (*prison).
- Tu me dis ça si naturellement Hâlim, comme si c'était normal, tu me fais peur.. Tu prends conscience de ce que tu es entrain de faire ? Imagine votre plan il tombe à l'eau, il se passera quoi ? Tu retournes en prison ?
- Hâlim : On douille pas Néant, on le douille pas ! Tu dois pas avoir peur de moi Hâyat, je te l'ai déjà dis.
- Tu... je te croyais pas aussi méchant, sans scrupule !
- Hâlim : Si je me suis retrouvé au trou c'est par sa faute, il doit payer !
- T'es pas Dieu pour le faire payer...pourquoi je te parle de Dieu, tu sais même pas qu'il existe ! Lâche-moi Hâlim, lâche-moi !
Il avait soif de vengeance ! Tout ses paroles ont assommer mon cœur ! J'étais perdu ! C'est comme si il me faisait du mal volontairement. Mes cris fusent dans la pièce, je veux savoir pourquoi, pourquoi autant de rage en lui, je veux savoir combien de temps j'allais vivre dans cette situation avec lui, je lui criais que je l'aimais mais lui le vois pas.. il ne voit que par sa vengeance. Je tremblais à force de crier, aucune larme ne sortait.. J'avais besoin de lui faire comprendre ce que je ressentais.
Les vices de la cité l'ont détruit : des fruits rongés par la vengeance ont semé des graines qui ont poussé dans son cœur. J'avais l'impression de crier devant un mur, il était stoïque ; il ne répondait pas à mes questions. Il s'était même allongé sur le canapé, la main derrière la tête en train de fixer le plafond.
Soudain, il me coupa dans mon élan :
- Hâlim : Je sais que t'as raison, mais si je finis pas ce que j'ai commencé on vivra pas tranquille..
-...
- Hâlim : Je peux te prouver que tu représente tout, mais si je le fais en lâchant tout ça, soit tu me perdras, soit je te perdrais, dans les deux cas on souffrirait tout les deux.
Je me suis dirigé vers la fenêtre et j'ai ouvert. J'avais besoin de respirer, j'étouffais dans cette appartement. Entendre la vérité fait vraiment mal parfois.. j'aurais préféré cette fois-ci un mensonge. La peine prends le dessus sur le bonheur. Le paysage était pire que ceux que je vois par la fenêtre de ma chambre ; des tours complètement détruite, ça se voit que c'est un endroit où personne ne met les pieds. Plusieurs tagues différent se trouve sur les murs de ces bétons... comment peut-on rester ici ? C'est un taudis.
- Je veux resté ici avec toi.
M'exclamai-je en allant vers lui.
- Hâlim : Non.
- Je veux voir ce que tu fais Hâlim, je veux connaître le sombre décor que cache Néant.
- Hâlim : C'est pas pour toi tout ça.
- Tu m'aimes ?
- Hâlim : Joue pas avec ça !
- Si tu m'aime, prouve-le moi en me laissant voir une seule fois ce que tu fais.
Il s'est levé et s'est avancé vers moi. Il a attrapé mon nez avec ses deux doigts et m'a sourie. Un sourire nerveux ? Je sais pas !
*
Dans la journée Djibril est venu avec un sac. J'étais assise sur le canapé à couper des concombres, pour le déjeuner.
- Djibril : Tu va faire quoi avec ça ?
- Hâlim : T'occupes ! Ziad t'as dis à quel heure les mecs viennent ?
- Djibril : Dans une heure.
- Hâlim : Merci.
- Djibril : Pourquoi ?
- Hâlim : L'autre grosse.
- Oh, je suis là !
- Hâlim : Tais-toi, fais tes légumes ou je sais pas quoi -en s'adressant à moi- ! Tu viens la chercher demain Djibril, elle reste pas ici plus longtemps.
- Djibril : Me dis pas, que elle va resté avec toi et que tout ça c'est pour elle.
- Hâlim : T'inquiète.
- Djibril : Tu fais une grosse connerie.
- Hâlim : Je sais ce que je fais. Demain oublie pas.
- Djibril : Vous êtes tarée !
- Passe le salam à Sakeena.
Dis-je à Djibril.
Il sortit de l'appartement juste après. Hâlim est venu vers moi en me lançant le sac.
- T'as faillit faire tomber mes concombres !
- Hâlim : Regarde ce qu'il y a dedans au lieu de raconter ta vie.
J'ai regardé à l'intérieur et il y avait un livre et un voile noir. En regardant bien le voile noir je me suis rendu compte que c'était un Niqab.
- Hâlim : Tu veux voir l'envers du décor, tu peux, mais personne te verra toi, c'est trop dangereux. Quand ils vont arrivés tu parle pas, je veux pas t'entendre dire un mot Hâyat !
- Et le livre ?
- Hâlim : Tu t'assois là, et tu lis jusqu'à qu'ils partent.
- D'accord.
- Hâlim : Première et dernière fois.
- Oui.
J'étais apeurée. Jamais je n'aurais pensé être au côté de mon mari pour voir ce genre de chose. On était uni pour le meilleur et pour le pire, mais le pire je ne l'imaginais pas ainsi. J'avais l'impression d'être l'actrice du film de ma propre vie.. une princesse reste une princesse, un bandit reste un bandit, c'était le cas de Hâlim. Pour détendre l'atmosphère, il m'a levé et m'a pris dans ses bras. Je l'ai serré fort, j'avais peur de ce qui allait arrivée et il le savait.. je regrette un peu ma demande. Il me faisait des petits bisous dans le cou en guise de chatouille, ensuite s'est détaché de moi et a déposé ses lèvres sur les miennes, et m'a mordu. J'ai sortie un « Aïe ! ». Notre complicité revenait peu à peu, malgré mon anxiété on s'est taquiné comme à notre habitude ; dans ces moment-là mon amour pour lui grandit.
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Hâyat - « Destin enflammés, cœurs carbonisés.»
General FictionL'homme aux milles facette, deviendra l'antibiotique de ce cœur carbonisés. Je ne suis pas l'auteur de cette histoire je tient juste a partager cette magnifique histoire car pour moi elle mérite d'être lu par tous le monde . J'ai bien sur demandé l'...