Partie 43 : « Dans notre univers. »

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Un  an que nous sommes uni devant le Tout-Puissant, et juste un mois uni  devant la loi

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Un an que nous sommes uni devant le Tout-Puissant, et juste un mois uni devant la loi. Mon couple a connu des hauts et des bas.. les mauvais passages de ma vie sont comme les souvenirs de mon enfance, elle reste encrée en moi et ne peut être effacée. On garde les bon moments et efface les mauvais dit-on, mais tôt ou tard les mauvais aléas de la vie reviennent à la charge, et les effacer est parfois compliqué, donc je préfère tout garder stocker dans ma mémoire, pour me rappeler des difficultés de la vie et surtout prendre conscience qu'il y a pire dans le monde et dire Al Hamdûllillah. Quand on a des problèmes, on oublie que dans les quatre coins du globe il y a des personnes, des familles qui sont dans une impasse et qui n'arrive pas à en sortir.. tel est l'être humain, il a besoin d'un électrochoc pour ne pas oublier que tout le monde à des problèmes et que se plaindre ne changera rien ! Parfois, on a envie de baisser les bras, et se dire que combattre serait une perte de temps, mais absolument pas ! « Se battre » est un verbe qu'on connaît tous dans notre vie, et si tout le monde abandonner dès le premier effort, serions-nous là aujourd'hui ? Si nos parents avaient baissés les bras..

Mon mariage, m'as appris des choses que je connaissais déjà, mais qui sont difficile à faire, comme par exemple la patience ; la patience est une vertu paraît-il, et je confirme. Être patient c'est une qualité énorme, mon mari m'as appris à l'être. Toute les fois où il m'as dit des choses qui ne plaisait pas, et que je prenais sur moi était une grande épreuve ; parfois des mots blesse mais apprendre à se contrôler et ne pas dire d'autre mot qui ne ferait qu'envenimer la chose est la meilleure solution. Je confirme la difficulté, mais regarder dans notre entourage combien de couple marié se sont séparés à cause de dispute qui terminer mal ? Combien d'entre eux se sont retrouvés dans une grande impasse car l'un à quitter l'autre ? Combien ? Des deux côtés, un contrôle de soi doit être appris ; attendre que l'autre se soit calmer pour aller lui parler, arranger les choses tranquillement sans cris et sans colère.. la colère est le pire ennemi d'un être doté de raison.
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La veille de l'aïd, j'étais dans la cuisine en pleine préparation de gâteau ; pour la première fois je faisais des gâteaux pour l'aïd sans ma mère à mes côtés. C'est étrange comme sensation, du jour au lendemain, je me réveille dans une autre maison, j'ai d'autre responsabilité, et je dois veiller à ce que mon foyer ne s'effondre pas. Étrange est la sensation quand on fait ses choses banale qu'on avait l'habitude de faire avec nos proches. Toute la journée, j'étais avec Sakeena au fourneau ; on a passé un moment entre fille, ce qui nous as énormément fait du bien :

- Sakeena : Ils reviennent dans pas longtemps je le sens.

- Tu le sens pas, tu le sais.. je t'es vu lire le message hein.

- Sakeena : Ghizlane, ghizlane..

- Ça fait bizarre de t'entendre me rappeler de cette manière. -en souriant-

- Sakeena : Ça fait longtemps.

- Oui..

- Sakeena : J'ai arrêté les cours.

- Ah bon ?

- Sakeena : Oui, maintenant je suis animatrice dans le quartier.. sans mentir j'aurais aimé aussi habiter dans une maison comme avant.

- On est deux à avoir arrêter, j'ai pensé reprendre à la rentrée, mais je pense me tourner vers un autre métier, mais je compte en parler avec mon père avant de le faire.. normal t'avais l'habitude avec 3ami Nordine, d'ailleurs il va bien ?

- Sakeena : Je te conseille de continuer, il te reste trois ans c'est pas long et ça te tenais à cœur d'être psychologue. Mon amour de père va très bien, il me manque c'est fou !

- Je réfléchis encore, et on verra bien. J'imagine, le mien aussi me manque, ma mère aussi, mon frère..

- Sakeena : À la rentrée il sera en Terminal c'est ça ?

- Oui..

- Sakeena : Le temps passe vite non ?

- Oui, dire qu'il y a peu on était pas mariée, on était dans le bus à se raconter beaucoup de chose..

- Sakeena : Bientôt on aura des petits qui courons partout.

Son sourire en disait long sur son désir d'avoir un enfant. On était deux dans le même cas ; j'attends avec impatience les symptômes de la femme enceinte, voir mon ventre grossir, aller chez le gynécologue avec mon mari, être heureux d'accueillir le fruit de notre amour. Je veux accomplir le rêve de mon mari, lui donner un enfant. Mon cœur se languit de l'arrivée d'un petit.

- Sakeena : Oh ! Toujours aussi rêveuse.

- Ils sont là !

Criai-je inconsciemment.

- Sakeena : J'étais pas la seule à être pressée de revoir mon mari à ce que je vois.

Elle a commencé à me taquiner, jusqu'à l'arriver de nos maris. Ils avaient tout les deux des sachets de vêtements dans les mains. On a passé le reste de la soirée ensemble ; on a rompu notre jeune entre amis, avec le sourire et le contentement d'être ensemble.

Après leur départ, je suis partie prendre ma douche. J'ai enfilée une chemise de Hâlim – ses chemises qui lui servent pour les entretiens- la chemise que j'avais mise, était deux fois plus grande que moi, on aurait dit une petite robe, même les manches étaient trop longue. Avant de rentrer dans la chambre, je me suis baissée pour rattraper mes cheveux et faire un chignon haut, au moment où j'ai levé la tête j'ai eu le cœur qui a faillit lâché, Hâlim se poster devant moi avec un sourire jusqu'aux oreilles.

- Tu m'as fait peur !

M'exclamai-je en le fixant tout en faisant mon chignon.

- Hâlim : Depuis ce matin tu m'as pas pris dans tes bras, tu le sais ça ?

- Non je le savais pas. -en lui souriant- Tu me laisse passé ?

- Hâlim : Tu fais ta rebelle ?

- Même pas.

- Hâlim : Je t'ai acheté un truc pour demain, mais si c'est comme ça bah je vais le brûler !

- Je t'ai rien demandé, donc brûle-le c'est pas grave.

- Hâlim : T'es sûre ?

Demanda-t-il en me souriant.

- Oui.

- Hâlim : Sûre, sûre ?

- Oui sans hésitation. De toute façon, je sais que tu le feras pas.

- Hâlim : On va voir.

Il est rentré dans la chambre, je l'ai suivit. J'ai détaché mes cheveux et ai pris la brosse à cheveux sur la table de chevet. Je brossais mes cheveux en attendant ce qu'il allait faire. Il tenait dans sa main une très belle robe, il a mit sa main dans sa poche et en a sortit un briquet, quand j'ai vu ça je me sentais obligé de réagir. Il est capable de le faire, et sans pitié ! J'ai laissé la brosse à cheveux, et me suis assise à côté de lui sur le lit.

- Hâlim : Tu dis que j'en suis pas capable ?

J'ai posée ma tête sur son épaule.

- Tu m'as manqué aujourd'hui.

- Hâlim : Maintenant je te manque ?

- Bien sûr.

- Hâlim : T'as pas oublié quelque chose ?

- Si.

Je lui prends le briquet des mains, et le pose sur la table de chevet. J'ai levée la tête pour lui faire un bisou sur la joue.

- Hâlim : Aïe zebi !

Je lui avais mordu la joue. J'étais fière de moi. Nos deux comportements étaient très souvent gamins , on se cherchait de tout les moyens possible. Souvent on se courait après pour une broutille, d'autre fois on se battait pour voir qui a raison. Notre chambre était le front ; la guerre s'y passait tout le temps.

- Pas de gros mot.

- Hâlim : Je vais te couper la langue !

J'ai retiré la langue une nouvelle fois, la robe lui est tombé volontairement des mains. J'ai même pas eu le temps de courir, qu'il était déjà sur moi à me donner des petite gifles. Je me débattais mais ça ne servait à rien, il avait le contrôle total. Quand il a décidé finalement de s'arrêter, c'était pour me fixer, et il sait très bien que son regard je n'arrive pas à le soutenir plus d'une minute. Quand je tournais la tête à gauche pour ne pas le regarder, il me la mettait droite.. on a dû jouer à ça quelques minutes avant qu'il ne se décide à parler :

- Hâlim : Pourquoi tu me regardes jamais longtemps dans les yeux ?

- Je sais pas.

- Hâlim : Je veux une réponse clair, obliger tu le sais.

- Non, je sais pas.

- Hâlim : Ma dulcinée elle sait pas, c'est vrai ça ?

- Ze3ma (*genre) ta dulcinée ? -en lâchant un petit rire- monsieur sort les grands mot maintenant ?

- Hâlim : J'ai un côté poète.

- Ton côté poète est peut-être le fruit de ton imagination parce que je l'ai jamais entendu.

- Hâlim : Tu veux que je te dise deux vers là tout de suite ?

- Vas-y chère poète du 20ème siècle, montrez-moi votre talent.

- Hâlim : -en se raclant la gorge- Ô Hâyat...en plus d'être une bonne cuisinière, tu fais une bonne serpillière.. Ô Hâyat...

- Poète du dimanche oui, tu m'écrase bouge !

- Hâlim : Du dimanche ?

- Oui du dimanche !

- Hâlim : Attends, le dimanche il sert à rien donc moi je sers à rien c'est ça ce que tu voulais dire ?

- Très bonne conclusion !

- Hâlim : En plus de me couper dans ma récitation poétique, tu m'insultes ?

- La serpillière elle te demande de sortir !

- Hâlim : Tu m'as même pas laisser finir -en rigolant-

- Oust !

- Hâlim : J'ai une putain d'inspiration là tout de suite !

- Je veux même pas t'écouter !

- Hâlim : T'es obligé.. oublie pas que t'es prisonnière là.

-...

Il m'a pris la mâchoire pour que je mette ma tête droite, et que je le regarde. Pour ne pas que je détourne mon regard, il a maintenu son geste. J'ai donc fermé les yeux comme une enfant.

- Hâlim : Zawjati (*Ma femme) les battements de mon cœur te reviennent.

Quand il m'as dit ça, dans mon cœur c'était la fête. Des frissons sont venus sans invitation, pour me faire perdre les moyens. Rare sont les fois, où il me déclare sa flamme de cette manière ; j'ai lentement ouvert les yeux, pour les refermés quelques seconde après, puisque nos souffles sont venus s'additionnaient. Le rythme de mon cœur s'accélérait, au point que les tambours en perdait le tempo. Après ce petit baiser, j'ai ouvert les yeux, il me souriait d'un sourire fière. Il s'est enfin levé, et je me suis assise sur le lit. Je ne m'étais pas vraiment remit de sa déclaration ;

- Hâlim : T'es bien habillée dis donc.

Je lui ai même pas laissée le temps de dire « ouf » que j'avais fais ma Yamakasi et me suis enfuie de la chambre. Contre toute attente, il m'as poursuivit dans toute la maison.. notre rituelle ! Je savais pertinemment que cette nuit serait gamine, et pleine de bêtise. Effectivement, cette nuit-là a était bercer par l'euphorie.

*

Je me suis réveillée, en me tournant mon mari n'était plus sur le lit. J'étais à moitié réveillé ; j'ai passée ma main sur mon visage, en les enlevant j'ai cru qu'une lumière s'était posé sur mon visage, à m'en faire perdre la vue. Il était en face de moi, vêtu d'un qamis d'une blancheur éclatante. Pendant un moment, je croyais rêvé ; j'ai passée une nouvelle fois ma main sur mon visage et ce n'était pas du tout un beau rêve. Mon mari était bel et bien vêtu d'un qamis, l'habille le plus aimé de notre bien aimé prophète -que la paix et le salut de Dieu soit sur lui-. C'est la deuxième fois, que je le vois vêtu de cette manière, la première fois lors de notre mariage religieux et aujourd'hui pour ce jour béni. Je suis descendu du lit, et me suis approchée de lui pour bien le voir. Ses mains sont venus prendre mon visage, et il a déposé un léger baiser sur mon front ; on aurait dit une brise printanière, la douceur y résider incontestablement. Inconsciemment, je souriais. Il était extrêmement beau ! Ce matin-là, j'ai mis la belle robe qu'il m'avait acheté, avec un voile qui allait avec ; ensemble nous nous sommes dirigés vers la mosquée la plus proche. Je n'arrivais pas à le croire ; mon mari et moi allions ensemble à la mosquée, et en plus à pied. La surprise demeurer tellement que pendant tout le chemin, je le regardais à en oublier de regarder où je mettais les pieds.

Après avoir fait la prière de l'aïd, on s'est retrouvé pour rentrer à la maison. Il avait un de ses sourires que je voulais garder éternellement. Dès qu'on a mis les pieds dans la maison, j'ai sauté sur lui, et lui donner plusieurs petit bisous sur tout le visage ; voir son mari autant heureux, ne peut rendre qu'heureuse l'élue de son cœur. Il m'as prit par la taille, tout en me portant il me secouée, on était tout les deux dans le même état.. on était ainsi quelques minutes avant qu'il ne me pose par terre. Notre moment de folie fini, j'ai pris des gâteaux que j'avais faîtes avec Sakeena pour en emmener chez mes parents, chez ceux de Hâlim, chez Djibril etc..

En arrivant chez moi, l'accueil était chaleureuse, ils étaient tous tellement bien habillés.. la nostalgie est venu un moment s'installer, je me suis rappelé nos multiples fête de l'aïd en famille, nos multiples fou rire. Hâlim m'as fait revenir sur terre en me prenant discrètement la main. Je lui ai souris, et suit partie me blottir dans les bras de mon père. Le premier homme de ma vie, est très important à mes yeux, le seul qui sache lire en moi sans même me voir, celui qui me connaît mieux que personne ; mon commandant. Il est passé par beaucoup de chose, et nous aime au point de soulever une montagne à notre demande. Ensuite, j'ai pris ma mère dans mes bras, cet perle, celle qui a porté le monde sur ses épaules juste pour nous assurer une bonne vie, la femme soldat qui combat n'importe qu'elle problème pour ses enfants avec fierté. Pour finir, mon petit frère, qui allait dans très peu de temps être majeure. Ce petit est devenu un homme avant l'heure, les valeurs que lui ont inculqués mon père il ne les oublie pas, et fait tout pour les rendre fière.. je ne changerais ma famille pour rien au monde, même si on m'offrait tout l'or du monde sur un plateau d'argent. J'avais ensuite eu pour la deuxième fois la chance de voir le plus beau tableau au monde en face de moi ; mon père et mon mari s'enlacer. On est ensuite partie dans le quartier de Hâlim, les petits sont venus lui sauter dessus.. c'était mignon de voir mon mari aussi épanouie face à des enfants. Chez lui, tout le monde était heureux de nous voir, sa mère l'as même appelé par son prénom ce qui m'as donné des frissons.

Dans la voiture, j'étais fière de lui et je ne manquais pas de lui montrer, en l'embêtant. Quand, j'ai vu qu'on prenait un autre chemin, j'en ai conclu qu'on allait pas rentrer. De nouvelle tour, un nouveau quartier, d'autre frère et sœur en Allah bien habillé. Il s'est garé à quelques pas du quartier, et attendait quoi ? Je ne sais pas.

- On est où ?

- Hâlim : Là ou habite Lyna et Samir.

- C'est vrai ?

- Hâlim : Ouais.

- On descends ?

- Hâlim : Vas-y.

Sur la route, il regardait autour de lui comme un enfant perdu. Son corps était là, mais son esprit ailleurs et j'en étais consciente ! Depuis notre mariage, il n'avait pas revu sa sœur, ni son ami par fierté. Ça se voit qu'il leur pardonne tout, mais quelque chose bloque en lui. Soudain, il s'est arrêté. J'ai regardé dans la direction, qui l'avait laissé scotché au sol ; c'était Lyna les yeux bandé devant son immeuble en train de courir derrière des enfants, son mari assis sur les escaliers à les fixer. Hâlim ne bougeait plus, j'étais assez septique sur le fait qu'il avance encore plus, donc je lui ai pris la main, pour qu'on avance. Je voulais que la relation qu'il entretient avec sa sœur soit comme auparavant. Samir nous voyant arrivée s'est levé, je lui ai un signe de tête de ne pas prévenir Lyna qui était à fond dans son jeu. Je me suis reculé en laissant Hâlim seule avec tout les enfants et sa sœur ; il ne bougeait pas, c'était comme si ses membres n'étaient plus fonctionnel. Au même moment, sa sœur le tenait et tenté de savoir c'était qui.

- Lyna : Samir, me dis pas que tu joues aussi ? Samir ? Pourquoi tu parles pas ?

Elle a enlevé le tissu qui lui bandait les yeux et est restée choquer quelques seconde avant de me regarder et ensuite regarder son mari. Des perles se sont échappés de ses yeux, un petit s'est approché de lui et lui a tiré son caftan :

- Le petit : Pourquoi tu pleures Lyli ?

Il insistait mais personne ne prêtait attention à lui, un petit bout d'à peine cinq ans ; je tombais amoureuse de sa petite tête toute mignonne. Il est partie voir Samir, pour se plaindre ; j'ai esquissé un sourire. Sans que personne ne s'y attende Hâlim a prit les devant et a prit sa sœur dans ses bras, celle-ci pleurer à flot.

- Hâlim : J'ai été fière, et con en même temps.. wallah je t'aime petite sœur...

Émue je l'étais! Je voulais que ce moment dure une éternité ; la réconciliation de deux être liée par le sang très émouvant. Ce fût le tour de Samir d'être embrassé, je voyais mon mari enfin apaisé. Heureuse je l'étais !

À notre retour à la maison, je suis partie directement dans la chambre. J'ai cherchée les bracelets que sa grand-mère m'avait offerte, et le collier qu'il m'avait offert. J'ai enlevée mon voile, me suis détachée les cheveux, pour ensuite mettre le collier. Pour finir, j'ai mis les bracelets. Il était obligatoirement sur la terrasse, donc j'y suis allée. Il était assis à son endroit favoris, il avait les traits crispés mais en me voyant arrivée il a rangé son portable et m'as sourit. Il est descendu du balcon et s'est dirigée vers moi et m'as serrée fort dans ses bras.

- Hâlim : Tu te fais belle pour moi ?

Me chuchota-t-il.

- Mmh.

- Hâlim : T'es magnifique.

- Merci.

Il se détacha de moi, et déposa deux léger baiser sur ma bouche pour ensuite me reprendre dans ses bras. Des papillons ont prit leur envole dans mon ventre, j'étais aux anges !

- Hâlim : Faut pas que t'oublie que je tiens grave à toi.

- Je le sais..

- Hâlim : S'il arrive quelque chose, oublie pas que je ne suis pas ce que les gens diront de moi, surtout que je suis un innocent, victime des vices de la rue.. sur ta vie je t'aime plus que tout..

Son comportement était étrange. Il avait changé d'un coup, devenait plus affectueux comme s'il redoutait quelque chose. Il s'est détaché à nouveau de moi, et m'as sourit. Tout l'amour que je ressens pour lui dépasse l'imaginable.

Hâyat - « Destin enflammés, cœurs carbonisés.»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant