Alisya jeune fille de 17 ans, vit dans un petit village loin de la ville. Sa mère la maltraitait et a même pousser son père à se suicider. Quel est son but? Avait t-il une raison à tout ceci ?
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Ps: c'est bourré de faute dsl..
Mais quand j'y pense c'est vraiment louche ce qu'il vient de dire " un endroit où personne ne vient et où nous serons tranquille". Je rougis et il partit a rire.
- t'inquiète juste chez moi, alors tu viens ?; dit-il avec un grand sourir
- euh.. Et bien je.. Oui laisse moi me changer, je viens ; ouff je sais vraiment pas si c'est une bonne idée. En espérant qu'elle soit de bonne humeur.
- cool !! J'vais t'attendre dans mon chars
- okay
Je me dépêche, dans ma chambre d'enlever les bandages sur ma tête et de me mettre une paire de jeans avec un chandail gris à manche longue moulant. Je me met une retouche de maquillage.
Je le rejoin dans l'auto.
- Je suis content que tu aies accepter
- J'avais manquée une pratique alors.. Il fallait bien reprendre cette journée.
Il partit l'auto, et le reste du voyage ce fus en silence. J'étais perdue dans mes penser. Si elle revient et je ne suis pas là comment elle va réagir? La dernière fois que j'ai fais une fugue c'était il y 2 ans. Flash back**
J'en peux plus, je veux partir ! Je dois partir ! Ma mère est partie à la messe personne ne pourra m'empêcher de partir. Je fis mon sac à dos. Je le remplie surtout de nourriture, on sait jamais peut être que la ville voisine est loin. Je dois avoir des provisions. Je sortie en courant de la maison. J'étais exitée et en même temps apeurée de partir. J'étais maintenant devant la sortie de la ville. Puis un passant m'interloqua - vous partez? Je me retourna pour voir son visage, tout le monde dans ce petit village se connait. A peu près.
- M. Harrison, oui à vrai dire je veux découvrir le monde, et même peut-être faire le tour. Ça serait géniale n'esce pas ? J'étais tellement nerveuse, c'était la première excuse que j'ai trouver..
- vous délirez ?! Vous n'aviez même pas finit vos étude ! Votre mère va s'inquiète pour vous. Je ne peux pas vous laissez partir comme sa ! Aller ! Il m'enpoigna le bras avec sa main et me traîna jusqu'à chez moi. Au début j'ai essayer de me débattre mais il était trop fort pour moi. En plus, il a même attendu ma mère pour lui dire la nouvelle de ma tentative.
Je vous laisse imaginer comment ma mère a réagis.. Disons que ça n'a pas donner le goût de réessayer. ***
On arrive enfin devant une grosse maison blanche. Je dirais même un manoir!
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- Tu habites là dans ?! ; je savais qu'il était riche mais là.
- ouais, sa te plait pas ?
- Si si bien au contraire, c'est énorme !
- pas tant que sa, il existe des maisons beaucoup plus grande. Mais c'est vrai comparer la tienne, elle est immense
Nous entrons dans sa maison, tout était bien décorer, très chic.
- on vas aller dans la salle de pratique à ma mère elle a un piano à queue. Tu pourras t'en servir.
Nous montions les marches, entra dans une pièce bien éclairer et décorer. ( médias) c'était jolie. Nous nous installons que commençâmes à jouer. Il me donna quelques conseils. Puis ensuite, une servante est venue nous apporter un gouter. En fait, juste quelques biscuits avec un verre de lait chacun. Nous arrêtions pour manger en discutant. Nous sommes parler de tout et de rien. Ce mec est vraiment sympa. Je commence vraiment à l'apprécier.
- Si non as-tu déja eu un petit copain?
- c'est quoi cette question là ?; en riant
- je sais pas, on apprend juste à ce connaitre ;)
- non, je me suis pas vraiment interresser à ce genre de relation et toi je suis sûr que tu as en fait tomber plusieur à pieds
- Qu'es qui te fait dire sa?
- Vu ton sourir charmeur, ton physique, ton statue de riche, des parents célèbres dans la musique, et en plus tu sais comment t'y prendre avec une fille
- Esce que tu es entrain de dire que je suis parfait?
- Personne n'est parfait on sait jamais peut être au fond tu es gros psycophate, mangeur de chaire humaine. Ou bien même derrière ce petit jeu du mec parfait et populaire de l'école. Tu es un parfait salaud.
- tu penses vraiment sa de moi??
- on verra avec le temps; dis je avec un clin d'oeil Il fit mine de paraître choquer. Ce qui nous fait rire. Point de vue Daven Je me sens tellement désoler pour elle, je l'aime bien. Pourtant je le sais, un jour elle ne pourra plus sourir comme à présent, car le plan à déja commencer..
